En trafic cumulé la baisse depuis le début de l’année s’établit à 3,3 %. Et mars ne devrait pas marquer un retournement de conjoncture avec la disparition du tarmac niçois des avions d’Air Littoral, qui fournissaient encore 60.000 passagers par mois en moyenne aux statistiques.
Seule lueur d’espoir, l’arrivée de trois nouvelles compagnies « low cost »: le suisse Helvetic avec 2 vols quotidiens sur Nice Zurich suivi le 28 mars par Duo sur Nice Birmingham et Thomson Fly le 31 sur Nice Coventry en attendant les ouvertures sur Berlin et Newcastle de la part d’Easyjet.
L’aéroport pénalisé par l’absence d’intérêt du Cohor
En effet, les low cost semblent aujourd’hui les seuls opérateurs intéressés par Nice Côte d’Azur. Pour s'en convaincre, il suffit de regarder du côté de la compagnie nationale le programme été qui est bien loin de contrebalancer la perte du réseau hub d’Air Littoral.
En redistribuant les créneaux sur Orly, la Cohor, association chargée de les gérer, a oublié, une fois de plus la ligne Nice Paris. Pourtant l’ex compagnie des gens du Sud possédait dans ses droits de trafics deux liaisons quotidiennes Nice Paris.
Or malgré les pétitions (25.000 signatures en novembre dernier) et la pression de la CCI de Nice et des élus sur le gouvernement et la Cohor rien ne bouge. Les créneaux ont été repris par huit compagnies dont aucune ne s’intéresse à l’axe Nice Paris.
Seule lueur d’espoir, l’arrivée de trois nouvelles compagnies « low cost »: le suisse Helvetic avec 2 vols quotidiens sur Nice Zurich suivi le 28 mars par Duo sur Nice Birmingham et Thomson Fly le 31 sur Nice Coventry en attendant les ouvertures sur Berlin et Newcastle de la part d’Easyjet.
L’aéroport pénalisé par l’absence d’intérêt du Cohor
En effet, les low cost semblent aujourd’hui les seuls opérateurs intéressés par Nice Côte d’Azur. Pour s'en convaincre, il suffit de regarder du côté de la compagnie nationale le programme été qui est bien loin de contrebalancer la perte du réseau hub d’Air Littoral.
En redistribuant les créneaux sur Orly, la Cohor, association chargée de les gérer, a oublié, une fois de plus la ligne Nice Paris. Pourtant l’ex compagnie des gens du Sud possédait dans ses droits de trafics deux liaisons quotidiennes Nice Paris.
Or malgré les pétitions (25.000 signatures en novembre dernier) et la pression de la CCI de Nice et des élus sur le gouvernement et la Cohor rien ne bouge. Les créneaux ont été repris par huit compagnies dont aucune ne s’intéresse à l’axe Nice Paris.