« Le conseil portuaire, mis en place par le département, désormais propriétaire des infrastructures portuaires, fait une trop grande place aux revendications des riverains au détriment des professionnels du port de commerce, comme les compagnies qui assurent la desserte de la Corse, le trafic marchandise ou la croisière.
Résultat : leurs désidératas sont pris en compte en priorité par la ville qui réaménage actuellement toute la voirie à leur profit ou pour les activités purement touristiques (restaurants, commerces…) sans tenir compte des besoins des acteurs commerciaux et notamment de la croisière. » souligne Jean Laget, Pdg de Voyages Mathez.
Il regrette l’absence de vision des élus azuréens sur le marché de la croisière.
Le projet de nouvelle digue envisagée il y a quelques années avait au moins le mérite d’éloigner le trafic purement commercial du bassin historique et urbain, en accueillant de grandes unités de 300 m, comme l'a fait Monaco.
"Si un équipement de cette nature existait, Nice pourrait être la tête de ligne privilégiée en Méditerranée occidentale pour de grandes compagnies.
J’ai rencontré les dirigeants de Costa il y a quelques années, qui m’avaient confirmé que si un quai existait à Nice pour leurs grandes unités, il en baserait au moins une en tête de ligne. "
Résultat : leurs désidératas sont pris en compte en priorité par la ville qui réaménage actuellement toute la voirie à leur profit ou pour les activités purement touristiques (restaurants, commerces…) sans tenir compte des besoins des acteurs commerciaux et notamment de la croisière. » souligne Jean Laget, Pdg de Voyages Mathez.
Il regrette l’absence de vision des élus azuréens sur le marché de la croisière.
Le projet de nouvelle digue envisagée il y a quelques années avait au moins le mérite d’éloigner le trafic purement commercial du bassin historique et urbain, en accueillant de grandes unités de 300 m, comme l'a fait Monaco.
"Si un équipement de cette nature existait, Nice pourrait être la tête de ligne privilégiée en Méditerranée occidentale pour de grandes compagnies.
J’ai rencontré les dirigeants de Costa il y a quelques années, qui m’avaient confirmé que si un quai existait à Nice pour leurs grandes unités, il en baserait au moins une en tête de ligne. "
Nice dispose quasiment d’un aéroport accolé au port
Mais au delà de l’équipement l’avantage de Nice sur ce marché : c’est sa situation par rapport aux circuits croisières vers la l’Italie, la Côte Adriatique ou la Grèce.
« Palma ou Barcelone sont à 7 et 8 h plus éloignés des escales alors qu’à Gênes-Savone l’hôtellerie, l’aéroport et l’attractivité touristique sont insuffisants ».
Un navire de 2500 passagers coûte 400.000 euros par jour. Une sacré économie de carburants sans compter la débauche de C02.
Cet élément joue en faveur de Nice qui dispose quasiment d’un aéroport accolé au port, d’une infrastructure hôtelière et d’une région touristiquement attractive pour les compagnies de croisière.
En tête de ligne 50 % des passagers arrivent deux jours avant le départ et restent deux jours après et les retombées économiques potentielles sont énormes.
"Je les évalue à 100 M€ par an avec la création de 1.000 à 1500 emplois". Une opportunité qui, dans la conjoncture économique actuelle, constituerait un vrai ballon d’oxygène pour l’économie niçoise.
« Palma ou Barcelone sont à 7 et 8 h plus éloignés des escales alors qu’à Gênes-Savone l’hôtellerie, l’aéroport et l’attractivité touristique sont insuffisants ».
Un navire de 2500 passagers coûte 400.000 euros par jour. Une sacré économie de carburants sans compter la débauche de C02.
Cet élément joue en faveur de Nice qui dispose quasiment d’un aéroport accolé au port, d’une infrastructure hôtelière et d’une région touristiquement attractive pour les compagnies de croisière.
En tête de ligne 50 % des passagers arrivent deux jours avant le départ et restent deux jours après et les retombées économiques potentielles sont énormes.
"Je les évalue à 100 M€ par an avec la création de 1.000 à 1500 emplois". Une opportunité qui, dans la conjoncture économique actuelle, constituerait un vrai ballon d’oxygène pour l’économie niçoise.
French Riviera Cruise Club : concours pour faire revenir les croisiéristes
Depuis 2007, le French Riviera Cruise Club organise un jeu-concours sur son site web (www.frcc.fr) afin de permettre aux croisiéristes qui ont fait escale dans l’un des ports de Nice ou de Cannes de gagner un séjour de rêve sur la Côte d’Azur.
Ce jeu-concours a pour objectif de consolider une base de données qui permet aux offices de tourisme des destinations d’envoyer de la documentation aux croisiéristes et ainsi leur donner envie de revenir par leurs propres moyens.
Cette année, le prix comprenait 3 nuits à l’Hôtel La Pérouse à Nice (4 étoiles), 2 nuits à l’Hôtel All Suites Résidence à Cannes (4 étoiles), un dîner pour deux au restaurant « La Mère Germaine » à Villefranche/Mer et la location d’une voiture pour la durée du séjour offerte par le Comité Régional du Tourisme.
C’est une passagère espagnole, qui avait fait escale au port de Villefranche sur Mer, au mois de septembre dernier, à bord du navire « Grand Celebration » qui a emporté le prix.
Ce jeu-concours a pour objectif de consolider une base de données qui permet aux offices de tourisme des destinations d’envoyer de la documentation aux croisiéristes et ainsi leur donner envie de revenir par leurs propres moyens.
Cette année, le prix comprenait 3 nuits à l’Hôtel La Pérouse à Nice (4 étoiles), 2 nuits à l’Hôtel All Suites Résidence à Cannes (4 étoiles), un dîner pour deux au restaurant « La Mère Germaine » à Villefranche/Mer et la location d’une voiture pour la durée du séjour offerte par le Comité Régional du Tourisme.
C’est une passagère espagnole, qui avait fait escale au port de Villefranche sur Mer, au mois de septembre dernier, à bord du navire « Grand Celebration » qui a emporté le prix.