Ce palace 4 étoiles affilié à la chaîne des hôtels Concorde compte 188 chambres, dont 12 suites, et abrite un restaurant gastronomique, "Le Padouk", géré par Bruno Sohn, par deux fois étoilé au Michelin.
"On a misé sur cette façade légendaire pour créer un hôtel Art Déco qui soit à la fois confortable et doté des dernières technologies (Wifi, écrans plats, ADSL)", a déclaré Patrick Caron, directeur général de l'hôtel.
Le Palais de la Méditerranée est détenu à 75% par le groupe Société du Louvre (hôtellerie, produits de luxe) et à 25% par l'exploitant français de casinos Groupe Partouche.
Une histoire chaotique
"C'est un symbole qui revient à la vie, désormais tourné vers l'avenir après 25 ans de vicissitudes", a indiqué la direction de l'établissement.
L'édifice créé en 1929 et qui vit sa façade classée en 1989, avait déposé le bilan en avril 1978, en pleine guerre des casinos opposant Jean-Dominique Fratoni, ex-patron du casino "Ruhl", à l'ancien PDG du Palais de la Méditerranée, Renée le Roux, dont la fille, Agnès, disparut mystérieusement en octobre 1977.
Racheté par un groupe koweïtien en 1981 qui n'a jamais mené à bien ses projets immobiliers, le bâtiment en ruines a été détruit sur décision municipale en février 1990, à l'exception de sa façade récemment restaurée en coopération avec les Bâtiments de France.
La Rédaction avec Afp - 05 janvier 2004
redaction@tourmag.com
"On a misé sur cette façade légendaire pour créer un hôtel Art Déco qui soit à la fois confortable et doté des dernières technologies (Wifi, écrans plats, ADSL)", a déclaré Patrick Caron, directeur général de l'hôtel.
Le Palais de la Méditerranée est détenu à 75% par le groupe Société du Louvre (hôtellerie, produits de luxe) et à 25% par l'exploitant français de casinos Groupe Partouche.
Une histoire chaotique
"C'est un symbole qui revient à la vie, désormais tourné vers l'avenir après 25 ans de vicissitudes", a indiqué la direction de l'établissement.
L'édifice créé en 1929 et qui vit sa façade classée en 1989, avait déposé le bilan en avril 1978, en pleine guerre des casinos opposant Jean-Dominique Fratoni, ex-patron du casino "Ruhl", à l'ancien PDG du Palais de la Méditerranée, Renée le Roux, dont la fille, Agnès, disparut mystérieusement en octobre 1977.
Racheté par un groupe koweïtien en 1981 qui n'a jamais mené à bien ses projets immobiliers, le bâtiment en ruines a été détruit sur décision municipale en février 1990, à l'exception de sa façade récemment restaurée en coopération avec les Bâtiments de France.
La Rédaction avec Afp - 05 janvier 2004
redaction@tourmag.com