Cette société d'économie mixte (SEM) s'appellera SETE (Société d'Exploitation de la Tour Eiffel). Y seront aussi présents EDF, Unibail, LVMH, Dexia et l'entreprise de construction Eiffage. Elle se portera candidate à la délégation de service public pour l'exploitation de la vedette du tourisme parisien, monument payant le plus visité au monde (plus de 6 millions d'entrées par an).
La Tour est propriété intégrale, terrain et édifice, de la Ville de Paris qui, en 1981, en avait confié la gestion pour 25 ans à la SNTE (Société Nouvelle d'Exploitation de la Tour Eiffel) détenue à 70% par la SEM immobilière SAGI et à 30% par la ville.
Plutôt que de reconduire la SNTE, la mairie a profité de l'échéance pour se conformer à la loi qui oblige les collectivités locales à être majoritaires dans les SEM. La Ville attend de la nouvelle structure une meilleure rémunération : actuellement elle reçoit 5,7 millions d'euros de redevance par an pour pour un chiffre d'affaires de la Tour de plus de 48 millions d'euros.
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
La Tour est propriété intégrale, terrain et édifice, de la Ville de Paris qui, en 1981, en avait confié la gestion pour 25 ans à la SNTE (Société Nouvelle d'Exploitation de la Tour Eiffel) détenue à 70% par la SEM immobilière SAGI et à 30% par la ville.
Plutôt que de reconduire la SNTE, la mairie a profité de l'échéance pour se conformer à la loi qui oblige les collectivités locales à être majoritaires dans les SEM. La Ville attend de la nouvelle structure une meilleure rémunération : actuellement elle reçoit 5,7 millions d'euros de redevance par an pour pour un chiffre d'affaires de la Tour de plus de 48 millions d'euros.
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