"Madame la Secrétaire d''Etat chargée du Commerce extérieur, de la promotion du Tourisme et des Français de l’étranger, auprès du ministre des Affaires étrangères et du Développement international,
Il est certainement grand temps de rappeler aux centrales de réservations, qu’ils ne sont pas propriétaires des établissements hôteliers de France et d’ailleurs.
Les OTA’s représentent un outil fantastique dans la commercialisation de nos établissements hôteliers, mais pas à n’importe quel prix et pas n’importe comment.
Dans une situation difficile pour les indépendants, il est nécessaire de mobiliser et sensibiliser l’ensemble des partenaires, sinon la petite hôtellerie familiale et indépendante risque fort de disparaitre.
Nous subissons les réglementations, les taxes, la para-hôtellerie, devons-nous subir l’humiliation, avant notre disparition. Les OTA’s sont normalement des partenaires, mais avec le temps, ils sont devenus les décideurs unilatéral de l’avenir d’une profession.
Ils basent leurs principes sur le fait routinier d’une communication internet indispensable et n’imagine plus qu’ils doivent un service de qualité aux hôteliers et aux clients. Ils ont oublié que sans hôteliers point de clients.
Il est certainement grand temps de rappeler aux centrales de réservations, qu’ils ne sont pas propriétaires des établissements hôteliers de France et d’ailleurs.
Les OTA’s représentent un outil fantastique dans la commercialisation de nos établissements hôteliers, mais pas à n’importe quel prix et pas n’importe comment.
Dans une situation difficile pour les indépendants, il est nécessaire de mobiliser et sensibiliser l’ensemble des partenaires, sinon la petite hôtellerie familiale et indépendante risque fort de disparaitre.
Nous subissons les réglementations, les taxes, la para-hôtellerie, devons-nous subir l’humiliation, avant notre disparition. Les OTA’s sont normalement des partenaires, mais avec le temps, ils sont devenus les décideurs unilatéral de l’avenir d’une profession.
Ils basent leurs principes sur le fait routinier d’une communication internet indispensable et n’imagine plus qu’ils doivent un service de qualité aux hôteliers et aux clients. Ils ont oublié que sans hôteliers point de clients.
Les commissions hallucinantes ne sont pas justifiées
Les commissions hallucinantes ne sont pas justifiées.
D’autant plus qu’elles devraient être prélevées sur des montants hors taxes. Les taux des commissions devraient être fixés sur un taux maximum de 8% HT et non 15 voir 23% sur du TTC.
L’obligation de transparence est nécessaire. Le seul fait d’obliger les OTA à identifier le coût de leurs services lors d’une réservation internet, permettrait aux clients de comprendre que les prix pratiqués par ses OTA’s ne sont pas sans conséquence sur leur propre facture.
Les centrales doivent proposer des contrats que l’hôtelier valide ou pas en fonction de ses impératifs les OTA’s ne doivent pas imposer de parité ou quotité.
La marque est le fait de l’entreprise et non de l’intermédiaire, son utilisation doit être soumise à obligations. La notion de client doit être respectée, soit les OTA’s ont un statut de TO et ils ont donc des devoirs vis-à-vis de leurs clients, soit les clients sont clients de l’hôtel et l’hôtel assume ses responsabilité.
L’hôtel est garant de sa marque C’est à chaque entreprise hôtelière Française de choisir la qualité de ses services, de fixer ses exigences, d’établir un rapport qualité prix, et surtout d’être attentif pour affiner une relation clientèle.
D’autant plus qu’elles devraient être prélevées sur des montants hors taxes. Les taux des commissions devraient être fixés sur un taux maximum de 8% HT et non 15 voir 23% sur du TTC.
L’obligation de transparence est nécessaire. Le seul fait d’obliger les OTA à identifier le coût de leurs services lors d’une réservation internet, permettrait aux clients de comprendre que les prix pratiqués par ses OTA’s ne sont pas sans conséquence sur leur propre facture.
Les centrales doivent proposer des contrats que l’hôtelier valide ou pas en fonction de ses impératifs les OTA’s ne doivent pas imposer de parité ou quotité.
La marque est le fait de l’entreprise et non de l’intermédiaire, son utilisation doit être soumise à obligations. La notion de client doit être respectée, soit les OTA’s ont un statut de TO et ils ont donc des devoirs vis-à-vis de leurs clients, soit les clients sont clients de l’hôtel et l’hôtel assume ses responsabilité.
L’hôtel est garant de sa marque C’est à chaque entreprise hôtelière Française de choisir la qualité de ses services, de fixer ses exigences, d’établir un rapport qualité prix, et surtout d’être attentif pour affiner une relation clientèle.
2014 sera une année décisive
En plaçant le client au coeur du système les OTA’s ont réussi à contraindre les hôteliers, par un système de notation, des commentaires, d’avertissements.
Les centrales en gérant les avis et commentaires doivent être contraintes à la norme AFNOR. Il faut également bannir l’anonymat des commentaires.
Si nous ne voulons pas qu’un jour les OTA’s s’affichent en grand sur les murs de nos établissements. Il est temps d’encadrer les règles du partenariat :
- De développer une campagne de médiatisation : pour dénoncer les conditions des OTA’s, auprès de la clientèle française.
- D’engager la mise en place d’un réseau national de réservation qui puisse répondre aux attentes des hôteliers indépendants français.
- D’introduire une réflexion sur la concurrence des maisons, tables et chambres d’hôtes ainsi que sur les sites de réservation de ces chambres à louer à la nuitée.
Nous hôtellerie familiale et indépendante sommes aujourd’hui au bord du gouffre. 2014 sera une année décisive pour bon nombre de petits établissements.
Sans votre soutien nous serons contrains de transformer nos société en auto-entreprises et nos établissements en parahôtellerie ou bien disparaître.
Il est grand temps de montrer aux divers « traders » du tourisme, que les hôteliers français ne sont pas fatalistes et qu’ils peuvent prendre leur destin en main.
En vous remerciant Monsieur le premier Ministre, Monsieur le ministre des Affaires étrangères et du Développement international Madame la Secrétaire d''Etat chargée du Commerce extérieur, de la promotion du Tourisme et des Français de l’étranger, auprès du ministre des Affaires étrangères et du Développement international, de bien vouloir entendre les hôteliers indépendants français, avant qu’ils n’existent plus.
Je vous prie d’agréer Monsieur Manuel Valls, Monsieur Laurent Fabius, Madame Fleur Pellerin, nos salutations les meilleurs."
Le Relais du Luberon.
Les centrales en gérant les avis et commentaires doivent être contraintes à la norme AFNOR. Il faut également bannir l’anonymat des commentaires.
Si nous ne voulons pas qu’un jour les OTA’s s’affichent en grand sur les murs de nos établissements. Il est temps d’encadrer les règles du partenariat :
- De développer une campagne de médiatisation : pour dénoncer les conditions des OTA’s, auprès de la clientèle française.
- D’engager la mise en place d’un réseau national de réservation qui puisse répondre aux attentes des hôteliers indépendants français.
- D’introduire une réflexion sur la concurrence des maisons, tables et chambres d’hôtes ainsi que sur les sites de réservation de ces chambres à louer à la nuitée.
Nous hôtellerie familiale et indépendante sommes aujourd’hui au bord du gouffre. 2014 sera une année décisive pour bon nombre de petits établissements.
Sans votre soutien nous serons contrains de transformer nos société en auto-entreprises et nos établissements en parahôtellerie ou bien disparaître.
Il est grand temps de montrer aux divers « traders » du tourisme, que les hôteliers français ne sont pas fatalistes et qu’ils peuvent prendre leur destin en main.
En vous remerciant Monsieur le premier Ministre, Monsieur le ministre des Affaires étrangères et du Développement international Madame la Secrétaire d''Etat chargée du Commerce extérieur, de la promotion du Tourisme et des Français de l’étranger, auprès du ministre des Affaires étrangères et du Développement international, de bien vouloir entendre les hôteliers indépendants français, avant qu’ils n’existent plus.
Je vous prie d’agréer Monsieur Manuel Valls, Monsieur Laurent Fabius, Madame Fleur Pellerin, nos salutations les meilleurs."
Le Relais du Luberon.