La Commission européenne a donné son accord sur le principe de la privatisation de la compagnie mais il faudra parallèlement que l’Etat grec récupère les 850 millions d’euros qu’il a injectés dans le groupe depuis une dizaine d’années. Une somme jugée comme une aide illégale par la Commission européenne.
D’après certaines sources, le groupe serait séparé en trois entités dont la compagnie aérienne stricto census qui réemploierait ,après leurs licenciements, une partie des 8 000 employés. Le gouvernement grec se serait engagé à offrir aux employés moins chanceux des emplois dans l’administration.
L’activité du réseau domestique serait maintenue à l’identique tandis que le réseau international serait réduit fortement. Comme pour Alitalia, un pool d’hommes d’affaires grecs seraient intéressés.
Cargo et maintenance devraient être vendus séparément. Et l’Etat grec prendrait à sa charge les dettes accumulées par la compagnie nationale. Aucun calendrier n’est néanmoins fixé pour la réalisation de ce projet.
D’après certaines sources, le groupe serait séparé en trois entités dont la compagnie aérienne stricto census qui réemploierait ,après leurs licenciements, une partie des 8 000 employés. Le gouvernement grec se serait engagé à offrir aux employés moins chanceux des emplois dans l’administration.
L’activité du réseau domestique serait maintenue à l’identique tandis que le réseau international serait réduit fortement. Comme pour Alitalia, un pool d’hommes d’affaires grecs seraient intéressés.
Cargo et maintenance devraient être vendus séparément. Et l’Etat grec prendrait à sa charge les dettes accumulées par la compagnie nationale. Aucun calendrier n’est néanmoins fixé pour la réalisation de ce projet.