Opération Mimosa : « C’est Transavia qui y a renoncé car l’opération ne paraissait pas assez rentable. Cette année nous sommes prudents. Nous avons déjà été recapitalisés une fois. Cela suffit et le projet s’arrête là »
Fin février, à un mois de la clôture de son exercice financier, la compagnie enregistrait une perte opérationnelle de 600 000 euros.
Une amélioration considérable par rapport à la perte de 13 millions d’euros sur l’exercice précédent.
Ce qui fait dire à Lionel Guérin, le président de Transavia France que sa compagnie sera, sauf événements exceptionnels, à l’équilibre, voire bénéficiaire, l’année prochaine.
Avec un modèle économique hybride, basé sur la vente de billets Loisirs en B2B (55%) mais également sur la commercialisation de sièges aux tour-opérateurs (45% des pax). 25% des vols sont d’ailleurs des charters purs.
« Si Transavia fonctionne bien c’est grâce aux TO », souligne Lionel Guérin.
D’ailleurs la nouvelle mise en place de vols au départ de Nantes s’est également construite sur la demande des producteurs.
Une amélioration considérable par rapport à la perte de 13 millions d’euros sur l’exercice précédent.
Ce qui fait dire à Lionel Guérin, le président de Transavia France que sa compagnie sera, sauf événements exceptionnels, à l’équilibre, voire bénéficiaire, l’année prochaine.
Avec un modèle économique hybride, basé sur la vente de billets Loisirs en B2B (55%) mais également sur la commercialisation de sièges aux tour-opérateurs (45% des pax). 25% des vols sont d’ailleurs des charters purs.
« Si Transavia fonctionne bien c’est grâce aux TO », souligne Lionel Guérin.
D’ailleurs la nouvelle mise en place de vols au départ de Nantes s’est également construite sur la demande des producteurs.
Transavia s'implante à Lyon et Nantes
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Les bons résultats relatifs de la compagnie encouragent au développement.
Cet été, Transavia desservira pas moins de 26 destinations (au lieu de 16 l’été dernier), et fera entrer un appareil supplémentaire dans sa flotte pour la porter à neuf avions.
Parmi les nouvelles destinations desservies au départ de Paris : Izmir en Turquie, Reykjavik en Islande, Fès au Maroc ou encore Ibiza en Espagne.
Le transporteur s’installe également pour la première fois en province.
A Nantes où un appareil sera basé pour voler sur sept destinations (Djerba, Funchal, Héraklion, Marrakech, Monastir, Palma et Porto. A Lyon également, avec trois destinations au programme (Djerba, Héraklion et Monastir).
En revanche, Transavia a renoncé au projet Mimosa qui consistait à remplacer les vols domestiques opérés par Britair et Régional au départ de Nice pour le compte d‘Air France.
« C’est Transavia qui y a renoncé car l’opération ne paraissait pas assez rentable. Cette année nous sommes prudents. Nous avons déjà été recapitalisés une fois. Cela suffit et le projet s’arrête là », commente Lionel Guérin.
Cet été, Transavia desservira pas moins de 26 destinations (au lieu de 16 l’été dernier), et fera entrer un appareil supplémentaire dans sa flotte pour la porter à neuf avions.
Parmi les nouvelles destinations desservies au départ de Paris : Izmir en Turquie, Reykjavik en Islande, Fès au Maroc ou encore Ibiza en Espagne.
Le transporteur s’installe également pour la première fois en province.
A Nantes où un appareil sera basé pour voler sur sept destinations (Djerba, Funchal, Héraklion, Marrakech, Monastir, Palma et Porto. A Lyon également, avec trois destinations au programme (Djerba, Héraklion et Monastir).
En revanche, Transavia a renoncé au projet Mimosa qui consistait à remplacer les vols domestiques opérés par Britair et Régional au départ de Nice pour le compte d‘Air France.
« C’est Transavia qui y a renoncé car l’opération ne paraissait pas assez rentable. Cette année nous sommes prudents. Nous avons déjà été recapitalisés une fois. Cela suffit et le projet s’arrête là », commente Lionel Guérin.