Sur 9 mois, le trafic de Paris Aéroport (Paris-Charles de Gaulle et Paris-Orly) chute de - 66,3 % à 27,8 millions de passagers. - Crédit Agence WTTJ pour Groupe ADP
Sur les 9 premiers mois de l'année, le trafic du groupe ADP accuse une baisse de 61,8 % à 72,3 millions de passagers par rapport à la même période en 2019 (hors trafic d'Istanbul Atatürk et hors trafic des aéroports de GMRen 2019).
Le chiffre d'affaires consolidé recule de 52,7 % à 1 669 millions d'euros sur la période par rapport à la même période en 2019 du fait de l'impact de la crise liée à l'épidémie de CoVid-19.
Pour Paris Aéroport (Paris-Charles de Gaulle et Paris-Orly), le trafic chute également de - 66,3 % à 27,8 millions de passagers.
Dans le contexte actuel, le groupe a revu à la baisse ses prévisions annuelles de trafic pour ses aéroports parisiens et passe de -63% à une fourchette comprise entre - 65 % et - 70 % pour l'année 2020 par rapport à 2019.
Par ailleurs, le groupe confirme que sur Roissy et Orly pourraient revenir au niveau atteint en 2019 à la fin de la période comprise entre 2024 et 2027.
Le chiffre d'affaires consolidé recule de 52,7 % à 1 669 millions d'euros sur la période par rapport à la même période en 2019 du fait de l'impact de la crise liée à l'épidémie de CoVid-19.
Pour Paris Aéroport (Paris-Charles de Gaulle et Paris-Orly), le trafic chute également de - 66,3 % à 27,8 millions de passagers.
Dans le contexte actuel, le groupe a revu à la baisse ses prévisions annuelles de trafic pour ses aéroports parisiens et passe de -63% à une fourchette comprise entre - 65 % et - 70 % pour l'année 2020 par rapport à 2019.
Par ailleurs, le groupe confirme que sur Roissy et Orly pourraient revenir au niveau atteint en 2019 à la fin de la période comprise entre 2024 et 2027.
Dans ces conditions, l'impact sur le chiffre d'affaires consolidé du groupe en 2020 serait d'environ - 2,3 à - 2,6 milliards d'euros.
Le Groupe ADP rappelle par ailleurs qu'il a engagé un important plan d'optimisation opérationnel et financier avec un objectif de réduction des charges courantes du groupe pour l'année 2020 d'environ 550 M€6 au total : cet objectif est revu à la hausse à une fourchette comprise entre 650 M€ et 700 M€ au total.
Concernant l'endettement financier, le Groupe ADP confirme l'objectif d'un ratio dette nette / EBITDA de l'ordre de 6x à 7x d'ici fin 2022.
Augustin de Romanet, Président-directeur général d'Aéroports de Paris – Groupe ADP, a déclaré : "La crise liée à l'épidémie de CoVid-19 continue d'affecter le secteur aéronautique et de peser sur la reprise du trafic aérien. La recrudescence de l'épidémie en France et en Europe nous amène à revoir à la baisse nos hypothèses de trafic (...)
Le Groupe ADP conserve une trésorerie solide lui assurant un niveau de liquidité suffisant. Dans un contexte très perturbé, marqué par la poursuite des incertitudes sanitaires, le Groupe ADP reste mobilisé pour maintenir son équilibre opérationnel et financier et adapter son modèle économique et social afin de permettre à l'entreprise de renouer avec une croissance rentable et durable."
Le Groupe ADP rappelle par ailleurs qu'il a engagé un important plan d'optimisation opérationnel et financier avec un objectif de réduction des charges courantes du groupe pour l'année 2020 d'environ 550 M€6 au total : cet objectif est revu à la hausse à une fourchette comprise entre 650 M€ et 700 M€ au total.
Concernant l'endettement financier, le Groupe ADP confirme l'objectif d'un ratio dette nette / EBITDA de l'ordre de 6x à 7x d'ici fin 2022.
Augustin de Romanet, Président-directeur général d'Aéroports de Paris – Groupe ADP, a déclaré : "La crise liée à l'épidémie de CoVid-19 continue d'affecter le secteur aéronautique et de peser sur la reprise du trafic aérien. La recrudescence de l'épidémie en France et en Europe nous amène à revoir à la baisse nos hypothèses de trafic (...)
Le Groupe ADP conserve une trésorerie solide lui assurant un niveau de liquidité suffisant. Dans un contexte très perturbé, marqué par la poursuite des incertitudes sanitaires, le Groupe ADP reste mobilisé pour maintenir son équilibre opérationnel et financier et adapter son modèle économique et social afin de permettre à l'entreprise de renouer avec une croissance rentable et durable."