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"Depuis le début de l’année 2006, l’OTCP et le Comité Régional de Tourisme ont cessé presque toute communication statistique sur la fréquentation touristique de Paris et de l’Ile-de-France.
Cette situation est directement liée aux difficultés rencontrées par l’enquête de fréquentation hôtelière réalisée par l’Insee pour la Direction du Tourisme au niveau national et dont nous finançons un approfondissement à l’échelle de Paris et de l’Ile-de-France.
Ces difficultés sont le résultat d’un changement de méthodologie de l’enquête et d’une diminution du taux de réponse des hôteliers. En effet, si les données issues de la nouvelle méthode sont présentées comme plus fiables, l’Insee indique que l’enquête est plus sensible que précédemment à l’absence de réponses.
Or, depuis 2004 et malgré le caractère obligatoire de cette enquête d’utilité publique, le nombre et la qualité des réponses envoyées par les hôteliers déclinent. Un palier a été franchi en janvier 2006 : à partir de cette date, les statistiques de fréquentation (à l’exception des taux d’occupation) ne sont plus suffisamment fiables pour être publiées.
Une enquête "plus sensible que précédemment à l’absence de réponses"...
L’OTCP et le CRT regrettent profondément la dégradation de la statistique publique et la perte de données essentielles pour l’ensemble du secteur touristique de la région Ile-de-France. Nous regrettons également de n’avoir été informés qu’au mois de mai des problèmes rencontrés.
L’OTCP et le CRT feront tout ce qui est en leur pouvoir pour inciter les hôteliers à répondre à nouveau à l’enquête et pour alerter les instances nationales en charge du tourisme.
Plusieurs actions sont déjà projetées, comme l’envoi d’une lettre commune au ministre délégué au Tourisme, la sensibilisation des hôteliers via les différents supports de communication de l’OTCP et du CRT, un rapprochement avec le Synhorcat et l’UMIH, l’organisation de séminaires et de réunions présentant l’intérêt de l’enquête et s’efforçant
d’identifier d’éventuels verrous expliquant les nonréponses, etc.
Nous réfléchissons également à la mise en place rapide de nouveaux outils d’observation statistique qui, même s’ils ne se substitueront pas à l’enquête Insee, nous permettront de suivre plus précisément l’évolution de la conjoncture."
Cette situation est directement liée aux difficultés rencontrées par l’enquête de fréquentation hôtelière réalisée par l’Insee pour la Direction du Tourisme au niveau national et dont nous finançons un approfondissement à l’échelle de Paris et de l’Ile-de-France.
Ces difficultés sont le résultat d’un changement de méthodologie de l’enquête et d’une diminution du taux de réponse des hôteliers. En effet, si les données issues de la nouvelle méthode sont présentées comme plus fiables, l’Insee indique que l’enquête est plus sensible que précédemment à l’absence de réponses.
Or, depuis 2004 et malgré le caractère obligatoire de cette enquête d’utilité publique, le nombre et la qualité des réponses envoyées par les hôteliers déclinent. Un palier a été franchi en janvier 2006 : à partir de cette date, les statistiques de fréquentation (à l’exception des taux d’occupation) ne sont plus suffisamment fiables pour être publiées.
Une enquête "plus sensible que précédemment à l’absence de réponses"...
L’OTCP et le CRT regrettent profondément la dégradation de la statistique publique et la perte de données essentielles pour l’ensemble du secteur touristique de la région Ile-de-France. Nous regrettons également de n’avoir été informés qu’au mois de mai des problèmes rencontrés.
L’OTCP et le CRT feront tout ce qui est en leur pouvoir pour inciter les hôteliers à répondre à nouveau à l’enquête et pour alerter les instances nationales en charge du tourisme.
Plusieurs actions sont déjà projetées, comme l’envoi d’une lettre commune au ministre délégué au Tourisme, la sensibilisation des hôteliers via les différents supports de communication de l’OTCP et du CRT, un rapprochement avec le Synhorcat et l’UMIH, l’organisation de séminaires et de réunions présentant l’intérêt de l’enquête et s’efforçant
d’identifier d’éventuels verrous expliquant les nonréponses, etc.
Nous réfléchissons également à la mise en place rapide de nouveaux outils d’observation statistique qui, même s’ils ne se substitueront pas à l’enquête Insee, nous permettront de suivre plus précisément l’évolution de la conjoncture."
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