
Les low cost fleurissent sur le tarmac de Marrakech, chassant les compagnies régulières (Cliquer pour agrandir)
Pour l’instant, un seul vol, celui du matin est commercialisé sur le site.
La compagnie négocie actuellement une seconde paire de slots pour le vol du soir à la conférence Iata sur les horaires qui se tient actuellement. « Mais nous avons bon espoir d’y arriver », commente Hélène Abraham, directrice commerciale de la compagnie.
Cette cession du Paris-Marrakech était dans les cartons. « C’est la seule ligne qu’Air France a prévu de nous céder depuis le départ ». Il faudra néanmoins que Transavia préserve une partie des sièges pour les groupes qu’Air France a déjà commercialisé sur cette destination pour la saison prochaine.
« A condition, bien sûr, que les groupes en question acceptent d’être transférés sur nos avions». De son côté, Transavia présente actuellement son produit aux tour-opérateurs.
Avec l’ouverture de Marrakech, sa sixième escale marocaine, après Agadir, Fès, Ouarzazate, Oujda et bientôt Essaouira, Transavia devient un incontournable de la destination qui continue de voir le trafic charter diminuer au profit des low cost… et les tarifs moyens tenir la tendance à la baisse.
Mais que deviendra l’accord de code share qu’Air France avait passé avec Royal Air Maroc ? Officieusement, la compagnie marocaine ne souhaiterait pas passer le même type d’accord avec une compagnie considérée comme low cost.
Une partie de la réponse viendra également de la conférence internationale des horaires. Un vol supplémentaire de la RAM pourrait être la solution.
Affaire à suivre...
La compagnie négocie actuellement une seconde paire de slots pour le vol du soir à la conférence Iata sur les horaires qui se tient actuellement. « Mais nous avons bon espoir d’y arriver », commente Hélène Abraham, directrice commerciale de la compagnie.
Cette cession du Paris-Marrakech était dans les cartons. « C’est la seule ligne qu’Air France a prévu de nous céder depuis le départ ». Il faudra néanmoins que Transavia préserve une partie des sièges pour les groupes qu’Air France a déjà commercialisé sur cette destination pour la saison prochaine.
« A condition, bien sûr, que les groupes en question acceptent d’être transférés sur nos avions». De son côté, Transavia présente actuellement son produit aux tour-opérateurs.
Avec l’ouverture de Marrakech, sa sixième escale marocaine, après Agadir, Fès, Ouarzazate, Oujda et bientôt Essaouira, Transavia devient un incontournable de la destination qui continue de voir le trafic charter diminuer au profit des low cost… et les tarifs moyens tenir la tendance à la baisse.
Mais que deviendra l’accord de code share qu’Air France avait passé avec Royal Air Maroc ? Officieusement, la compagnie marocaine ne souhaiterait pas passer le même type d’accord avec une compagnie considérée comme low cost.
Une partie de la réponse viendra également de la conférence internationale des horaires. Un vol supplémentaire de la RAM pourrait être la solution.
Affaire à suivre...