La période dérogatoire, mise en place le 1er janvier 2004, a pris fin lundi. Désormais, chaque passager est astreint à la présentation d'une pièce d'identité avant de prendre son vol, et ceci par deux fois : au moment de procéder à l'enregistrement des bagages tout d'abord, puis à l'instant de franchir la porte d'embarquement.
Cette nouvelle norme, qui s'ajoute à la kyrielle de mesures sécuritaires établies depuis le 11 septembre 2001, aussi minime soit-elle, n'est pas faite pour ravir l'ensemble des passagers, comme en témoigne Liliane Rey, responsable du passage au sol de l'aéroport de Tahiti-Faa'a.
Kyrielle de mesures sécuritaires...
"Si la clientèle internationale voit dans cette nouvelle obligation une forme de sûreté, la clientèle résidente ne l'a reçoit pas forcément très bien." En cas de refus d'obtempérer, les passagers se voient débarquer par les membres de la brigade de la gendarmerie aéroportuaire.
Afin que le changement s'opère en douceur, "des étapes d'informations mentionnant cette nouvelle règle ont été mises en place depuis plus d'un an", a expliqué Liliane Rey.
Cette nouvelle norme, qui s'ajoute à la kyrielle de mesures sécuritaires établies depuis le 11 septembre 2001, aussi minime soit-elle, n'est pas faite pour ravir l'ensemble des passagers, comme en témoigne Liliane Rey, responsable du passage au sol de l'aéroport de Tahiti-Faa'a.
Kyrielle de mesures sécuritaires...
"Si la clientèle internationale voit dans cette nouvelle obligation une forme de sûreté, la clientèle résidente ne l'a reçoit pas forcément très bien." En cas de refus d'obtempérer, les passagers se voient débarquer par les membres de la brigade de la gendarmerie aéroportuaire.
Afin que le changement s'opère en douceur, "des étapes d'informations mentionnant cette nouvelle règle ont été mises en place depuis plus d'un an", a expliqué Liliane Rey.