Michel Seyt est le président de la FNTV - Photo : FNTV
Le président de la Fédération nationale des transports de voyageurs (FNTV), Michel Seyt, vient d'écrire une lettre ouverte à l'ensemble des candidats à l'élection présidentielle de 2017 en France.
Il y demande au futur Président de la République française "de libérer les entreprises des normes et démarches administratives qui étouffent les entrepreneurs français et les placent dans une situation qui les empêchent de développer au rythme où ils souhaiteraient leurs activités."
Il estime que le secteur "souffre de la complexité et du nombre d'obligations et de contraintes auxquelles doivent se soumettre" les chefs d'entreprises. Selon lui, ils sont "écrasés par la bureaucratie administrative, fiscale, sociale et comptable", ce qui les empêche de "consacrer leur énergie à imaginer des solutions pour que leurs clients bénéficient d'offres de service de qualité, attractives et compétitives."
Michel Seyt considère, par ailleurs, que les secrétaires d’État qui ont eu en charge la simplification de administrative de l’État français "ont malheureusement échoué dans leur tâche qui nous paraît pourtant essentielle pour que la France renoue avec la croissance".
Il réclame du prochain Président français de "favoriser la création d'emplois en simplifiant le code du travail, en allégeant les charges qui pèsent (…) sur les entreprises, en supprimant les effets de seuils qui nuisent aux embauches et (…) revenir sur la réforme de la pénibilité."
Pour le président de la FNTV, il est même "scandaleux de laisser penser que le travail est quelque chose de pénible qui pèse sur la vie active de nos salariés alors que le travail est une source de liberté pour toutes les personnes qui ont la chance de ne pas être en situation de chômage."
Il y demande au futur Président de la République française "de libérer les entreprises des normes et démarches administratives qui étouffent les entrepreneurs français et les placent dans une situation qui les empêchent de développer au rythme où ils souhaiteraient leurs activités."
Il estime que le secteur "souffre de la complexité et du nombre d'obligations et de contraintes auxquelles doivent se soumettre" les chefs d'entreprises. Selon lui, ils sont "écrasés par la bureaucratie administrative, fiscale, sociale et comptable", ce qui les empêche de "consacrer leur énergie à imaginer des solutions pour que leurs clients bénéficient d'offres de service de qualité, attractives et compétitives."
Michel Seyt considère, par ailleurs, que les secrétaires d’État qui ont eu en charge la simplification de administrative de l’État français "ont malheureusement échoué dans leur tâche qui nous paraît pourtant essentielle pour que la France renoue avec la croissance".
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