Cette "mobilisation s'est surtout traduite par des rassemblements devant les comités départementaux du tourisme et les offices du tourisme avec distributions de tracts", a indiqué Marie-Christine Boully (CFE-CGC), porte-parole de l'intersyndicale.
"Notre but n'était pas de faire grève mais de montrer notre détermination à reprendre des négociations sur des bases plus saines", a-t-elle ajouté, lors d'un rassemblement d'une vingtaine de personnes devant l'office du tourisme d'Ile-de-France à Paris.
Un statut à revoir
Dans un tract national commun, l'intersyndicale demande "5% d'augmentation salariale" et dénonce les "0% en 2005 après le 0,5%" en 2004" estimant qu'il faut "rompre avec la dégradation constante du pouvoir d'achat observée dans la branche depuis 1999".
Les syndicats dénoncent en outre "l'absence de dialogue social, de politique de formation" et la "non application de la grille de classifications".
"Nous sommes dans des organismes semi-publics - offices et comités départementaux et régionaux du Tourisme, gîtes de France etc.. - régis par des collectivités territoriales, mais nous ne bénéficions ni du statut de fonctionnaire ni des avantages du privé", a expliqué la porte-parole de l'inter-syndicale en soulignant la responsabilité des élus.
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
"Notre but n'était pas de faire grève mais de montrer notre détermination à reprendre des négociations sur des bases plus saines", a-t-elle ajouté, lors d'un rassemblement d'une vingtaine de personnes devant l'office du tourisme d'Ile-de-France à Paris.
Un statut à revoir
Dans un tract national commun, l'intersyndicale demande "5% d'augmentation salariale" et dénonce les "0% en 2005 après le 0,5%" en 2004" estimant qu'il faut "rompre avec la dégradation constante du pouvoir d'achat observée dans la branche depuis 1999".
Les syndicats dénoncent en outre "l'absence de dialogue social, de politique de formation" et la "non application de la grille de classifications".
"Nous sommes dans des organismes semi-publics - offices et comités départementaux et régionaux du Tourisme, gîtes de France etc.. - régis par des collectivités territoriales, mais nous ne bénéficions ni du statut de fonctionnaire ni des avantages du privé", a expliqué la porte-parole de l'inter-syndicale en soulignant la responsabilité des élus.
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