Ryanair annonce un taux de remplissage de 96% - crédit photo Ryanair
La low-cost Ryanair publie ce 5 juin 2018 les résultats pour le mois de mai 2018, et les compteurs sont tous au vert.
Le taux de remplissage augmente de 1% par rapport à mai 2017 et se situe à 96% sur les tarifs les plus bas.
Le trafic global augmente de 6% pour atteindre 12,5 millions de passagers. Le trafic annuel sur la période est de 132,1 millions de clients et progresse de 8%.
Le taux de remplissage augmente de 1% par rapport à mai 2017 et se situe à 96% sur les tarifs les plus bas.
Le trafic global augmente de 6% pour atteindre 12,5 millions de passagers. Le trafic annuel sur la période est de 132,1 millions de clients et progresse de 8%.
Autres articles
-
Bordeaux : Ryanair rémunère 14 salariés sans travail ni mission ! [ABO]
-
Ryanair peut-elle (vraiment) supprimer 50% de son offre en France ? [ABO]
-
Taxe Chirac : Ryanair menace de stopper ses activités dans 10 aéroports français
-
Incidents en série : mais que se passe-t-il chez Ryanair ?
-
Guerre eDreams ODIGEO vs Ryanair : Un partout, balle au centre !
Des chiffres plutôt positifs pour la compagnie, même si les grèves de contrôleurs aériens a causé 1100 annulations de vols contre... 43 en mai 2017 ! Entre grèves et orages, 200 000 clients ont vu leur vol annulé ce mois-ci.
Kenny Jacobs, directeur marketing de Ryanair demande à la commission de l'Union Européenne de "prendre les mesures nécessaires pour limiter les grèves des contrôleurs aériens et le manque d'effectif, perturbant les voyages prévus par les clients européens cet été".
Kenny Jacobs, directeur marketing de Ryanair demande à la commission de l'Union Européenne de "prendre les mesures nécessaires pour limiter les grèves des contrôleurs aériens et le manque d'effectif, perturbant les voyages prévus par les clients européens cet été".
![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
