La low cost. Irlandaise est d’une santé robuste. Les résultats du dernier exercice sont là pour en attester. Le résultat opérationnel se monte à 481 millions d’euros, hors élément exceptionnel, en hausse de 20%. Quant au résultat net, même en baisse de 10%, il fait des envieux à 390,7 millions d’euros.
Le chiffre d’affaires s’établit à 2,71 milliards d’euros, + 21% pour 50,9 millions de passagers transportés, + 20%. Pour en arriver là, la compagnie a surtout développé des services payants : enregistrement au comptoir, bagages, etc. A noter également que les ventes annexes (hôtels, locations de voitures, assurances, etc) ont fait un bond de 35% à 488,1 millions d’euros.
Mais elle maintient son refus d’avoir recours aux surcharges carburant comme l’ensemble des compagnies concurrentes. Mieux encore, Michael O’Leary a annoncé hier à Londres que sa compagnie pouvait équilibrer ses comptes avec un baril à 130 dollars à condition d’appliquer une hausse de 5% sur les tarifs.
Le chiffre d’affaires s’établit à 2,71 milliards d’euros, + 21% pour 50,9 millions de passagers transportés, + 20%. Pour en arriver là, la compagnie a surtout développé des services payants : enregistrement au comptoir, bagages, etc. A noter également que les ventes annexes (hôtels, locations de voitures, assurances, etc) ont fait un bond de 35% à 488,1 millions d’euros.
Mais elle maintient son refus d’avoir recours aux surcharges carburant comme l’ensemble des compagnies concurrentes. Mieux encore, Michael O’Leary a annoncé hier à Londres que sa compagnie pouvait équilibrer ses comptes avec un baril à 130 dollars à condition d’appliquer une hausse de 5% sur les tarifs.
La compagnie prévoit de remiser 10% de sa flotte
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Pour autant, la compagnie prévoit de remiser 10% de sa flotte l’hiver prochain, soit une vingtaine d’appareils. Elle avait déjà eu retiré temporairement sept appareils l’hiver dernier mais cette année, l’hiver se profile plus rude.
Ce qui réjouit le très provocateur Michael O’Leary qui prédit déjà la faillite des concurrentes les moins solides. Pour lui, c’est clair : cinq compagnies européennes seulement survivront à la crise du pétrole : Air France-KLM, British Airways, Lufthansa, Easyjet et Ryanair.
Une crise qu'il explique totalement par la spéculation des fonds de pension sur les matières premières.
Ce qui réjouit le très provocateur Michael O’Leary qui prédit déjà la faillite des concurrentes les moins solides. Pour lui, c’est clair : cinq compagnies européennes seulement survivront à la crise du pétrole : Air France-KLM, British Airways, Lufthansa, Easyjet et Ryanair.
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