Selon Ryanair, "plus de 80,000 de passagers (66%) participant au sondage en ligne au cours des deux dernières semaines ont indiqué qu’ils resteraient debout sur des vols courts d’une heure si cela voulait dire des tarifs gratuits."
"Plus de 120,000 passagers ont participé au sondage; 72,000 (60%) étaient d’accord pour avoir le choix de rester debout sur des vols courts comme ils le font déjà sur les trains, les bus et les métros tandis qu’une minorité de 50,000 (42%) ont indiqué qu’ils resteraient debout s’ils devaient payer 50% de moins que les passagers assis."
Question Oui Non
1 - Si vous deviez bénéficier d’un tarif gratuit seriez-vous disposé à voyager debout sur un vol d’une heure
OUI - 66%
NON - 34%
2 - Si vous deviez payer 50% du tarif appliqué aux passagers assis, seriez-vous disposé à voyager debout sur un vol d’une heure ?
OUI - 42%
NON - 58%
3 - Pensez-vous que les passagers doivent avoir le choix de voyager debout sur des vols de courte durée comme c’est le cas dans les trains, les bus et les métros
NON - 60%
OUI - 40%
"Plus de 120,000 passagers ont participé au sondage; 72,000 (60%) étaient d’accord pour avoir le choix de rester debout sur des vols courts comme ils le font déjà sur les trains, les bus et les métros tandis qu’une minorité de 50,000 (42%) ont indiqué qu’ils resteraient debout s’ils devaient payer 50% de moins que les passagers assis."
Question Oui Non
1 - Si vous deviez bénéficier d’un tarif gratuit seriez-vous disposé à voyager debout sur un vol d’une heure
OUI - 66%
NON - 34%
2 - Si vous deviez payer 50% du tarif appliqué aux passagers assis, seriez-vous disposé à voyager debout sur un vol d’une heure ?
OUI - 42%
NON - 58%
3 - Pensez-vous que les passagers doivent avoir le choix de voyager debout sur des vols de courte durée comme c’est le cas dans les trains, les bus et les métros
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Ndlr - On connaît le côté trublion voire provocateur de la low cost qui a trouvé, avec les sondages, une nouvelle manière de communiquer, spectaculaire et bon marché.
Il n'empêche que chez Airbus, les responsables interrogés ont déclaré récemment n'étudier aucun projet de ce type avec Ryanair et que les normes de sécurité dans le secteur aérien étaient "difficilement compatibles avec l'éventualité de voyager débout".
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