TourMaG.com – Vous avez renoncé à vous représenter à la présidence du Conseil des Distributeurs indépendants début février. Etait-ce parce que votre mandat arrivait à son terme ou faut-il y voir une démission symbolique ?
Adriana Minchella : « Je m’en suis déjà expliquée par le biais d’un courrier paru dans vos colonnes. Il semblerait donc, compte tenu des rumeurs qui circulent, que l’autisme soit une pathologie de confort chez certains. »
T.M.com – Vous annoncez aujourd’hui votre départ officiel du SNAV. Pourquoi ?
A.M. : « Tout simplement parce que je suis lasse de faire valoir en vain les droits des Indépendants auprès du SNAV, pourtant à la fois légitimés par leur nombre et par leur contribution financière.
Le SNAV est sans doute la structure idéale pour défendre les intérêts des réseaux et des multinationales. Il s’avère incapable de défendre ceux des petites et moyennes entreprises indépendantes que nous sommes.
Nous ne referons pas l’histoire et il est inutile d’épiloguer. Nous avons invité son président à recevoir et écouter les Indépendants (CEDIV ou pas) qui se sont déplacés d’un peu partout y compris des DOM.
Cette réunion qui s’est tenue au siège du SNAV le 21 juillet 2005, n’a été suivie d’aucun effet soit plus de 7 mois après. Il est toujours impossible d’y travailler. Pire, nous avons été exclus de la Commission Sociale, seule commission dans laquelle nous avions encore un rôle.
Personnellement, j’en prends acte et je m’en vais. »
T.M.com – Cette rupture concerne-t-elle uniquement la présidente du CEDIV ou l’ensemble des adhérents de l’Association ?
A.M. : « Nous sommes une association d’Indépendants. Je ne peux que respecter ce trait fondamental qui fait notre force. J’ai explicité par courrier ma position personnelle à mes adhérents. Ils choisiront.
Ce que je peux vous dire c’est que lors de notre Assemblée Générale, j’ai été approuvée et suivie à l’unanimité dans ce choix. Cette unanimité et cette confiance me touchent et m’honorent mais je comprendrais parfaitement ceux qui souhaitent ne pas démissionner. »
T.M.com – Combien d’adhérents avez-vous actuellement et combien sont adhérents au SNAV ?
A.M. : « 169 adhérents dont 70 adhérents au SNAV et 73 sympathisants. »
T.M.com – Suite à votre dernière AG, avez-vous acté le principe d’une alliance avec le réseau Manor ?
A.M. : « Oui tout à fait et à l’unanimité »
T.M.com – Comment voyez-vous l’avenir du CEDIV et quels sont vos projets de développement ?
A.M. : « L’avenir, je le vois avec enthousiasme car nous l’avons maintenant entre nos mains et cela galvanise les Indépendants que nous sommes. Des projets, nous en avons plutôt trop que pas assez, mais nous savons que nous devons consacrer autant de temps à consolider qu’à développer.
Nos projets se résument sur le fond en deux mots : ORGANISATION et RECONNAISSANCE des Indépendants. La forme est pour le moment confidentielle… »
Adriana Minchella : « Je m’en suis déjà expliquée par le biais d’un courrier paru dans vos colonnes. Il semblerait donc, compte tenu des rumeurs qui circulent, que l’autisme soit une pathologie de confort chez certains. »
T.M.com – Vous annoncez aujourd’hui votre départ officiel du SNAV. Pourquoi ?
A.M. : « Tout simplement parce que je suis lasse de faire valoir en vain les droits des Indépendants auprès du SNAV, pourtant à la fois légitimés par leur nombre et par leur contribution financière.
Le SNAV est sans doute la structure idéale pour défendre les intérêts des réseaux et des multinationales. Il s’avère incapable de défendre ceux des petites et moyennes entreprises indépendantes que nous sommes.
Nous ne referons pas l’histoire et il est inutile d’épiloguer. Nous avons invité son président à recevoir et écouter les Indépendants (CEDIV ou pas) qui se sont déplacés d’un peu partout y compris des DOM.
Cette réunion qui s’est tenue au siège du SNAV le 21 juillet 2005, n’a été suivie d’aucun effet soit plus de 7 mois après. Il est toujours impossible d’y travailler. Pire, nous avons été exclus de la Commission Sociale, seule commission dans laquelle nous avions encore un rôle.
Personnellement, j’en prends acte et je m’en vais. »
T.M.com – Cette rupture concerne-t-elle uniquement la présidente du CEDIV ou l’ensemble des adhérents de l’Association ?
A.M. : « Nous sommes une association d’Indépendants. Je ne peux que respecter ce trait fondamental qui fait notre force. J’ai explicité par courrier ma position personnelle à mes adhérents. Ils choisiront.
Ce que je peux vous dire c’est que lors de notre Assemblée Générale, j’ai été approuvée et suivie à l’unanimité dans ce choix. Cette unanimité et cette confiance me touchent et m’honorent mais je comprendrais parfaitement ceux qui souhaitent ne pas démissionner. »
T.M.com – Combien d’adhérents avez-vous actuellement et combien sont adhérents au SNAV ?
A.M. : « 169 adhérents dont 70 adhérents au SNAV et 73 sympathisants. »
T.M.com – Suite à votre dernière AG, avez-vous acté le principe d’une alliance avec le réseau Manor ?
A.M. : « Oui tout à fait et à l’unanimité »
T.M.com – Comment voyez-vous l’avenir du CEDIV et quels sont vos projets de développement ?
A.M. : « L’avenir, je le vois avec enthousiasme car nous l’avons maintenant entre nos mains et cela galvanise les Indépendants que nous sommes. Des projets, nous en avons plutôt trop que pas assez, mais nous savons que nous devons consacrer autant de temps à consolider qu’à développer.
Nos projets se résument sur le fond en deux mots : ORGANISATION et RECONNAISSANCE des Indépendants. La forme est pour le moment confidentielle… »