Selon un communiqué, "Les parties n'ont pour l'heure pas encore déterminé de manière précise comment les activités de Virgin Express NV/SA et de SN Brussels Airlines seraient conjointement gérées. Toutefois, il est prévu que les deux compagnies aériennes resteront des entités légales distinctes. Virgin restera une compagnie cotée en bourse sur Euronext et sur le Nasdaq (OTC Bulletin Board).
Le Conseil d'Administration de VEX PLC et le Conseil d'Administration de SN Airholding sont convaincus que cette lettre d'intention non engageante et les transactions qu'elle envisage rencontreront au mieux les intérêts des différentes parties concernées, de leur personnel, de leurs actionnaires et de leurs clients.
Si les deux compagnies étaient placées sous son contrôle, SN Airholding offrirait au marché deux compagnies aériennes présentant des marques et des produits distincts et répondant aux besoins croissants du marché concurrentiel en Belgique : une compagnie flexible ' full service ' (service complet) et une compagnie ' low fare ' (à bas tarifs). SN Airholding veillerait à ce qu'il n'y ait pas de confusion entre les produits offerts auprès des clients.
Modalités de la "lettre d'intention non engageante"
Bien que les détails n'aient pas encore été finalisés, la lettre d'intention non engageante (LOI) prévoit que "Virgin Express apporterait ses actions dans Virgin Express NV/SA au capital de SN Airholding".
En échange VEX PLC recevrait des actions dans ce dernier à concurrence de 29,9% du capital total sur une base diluée, les 70,1% restant détenus par les actionnaires actuels de SN Airholding.
Ce holding détiendrait 100% des actions de Virgin Express NV/SA et 92% des actions de SN Brussels Airlines (8 % des actions de SN Brussels Airlines restant la propriété de SIC, autre actionnaire. Virgin Express se verrait accorder une option de vente de ses 29,9% d'actions au prix de 64 Mie, payable en deux versements. Cette option de vente pourrait être exercée à tout moment à partir du 1er janvier 2005 jusqu'au 31 décembre 2006 compris.
Les autres clauses de la lettre d'intention prévoient que les actionnaires des deux compagnies signeraient un accord d'actionnaires afin de définir ensemble, entre autres choses, les principes de corporate gouvernance et que "Virgin Express aurait le droit de nommer deux administrateurs au conseil d'administration du holding."
Le Conseil d'Administration de VEX PLC et le Conseil d'Administration de SN Airholding sont convaincus que cette lettre d'intention non engageante et les transactions qu'elle envisage rencontreront au mieux les intérêts des différentes parties concernées, de leur personnel, de leurs actionnaires et de leurs clients.
Si les deux compagnies étaient placées sous son contrôle, SN Airholding offrirait au marché deux compagnies aériennes présentant des marques et des produits distincts et répondant aux besoins croissants du marché concurrentiel en Belgique : une compagnie flexible ' full service ' (service complet) et une compagnie ' low fare ' (à bas tarifs). SN Airholding veillerait à ce qu'il n'y ait pas de confusion entre les produits offerts auprès des clients.
Modalités de la "lettre d'intention non engageante"
Bien que les détails n'aient pas encore été finalisés, la lettre d'intention non engageante (LOI) prévoit que "Virgin Express apporterait ses actions dans Virgin Express NV/SA au capital de SN Airholding".
En échange VEX PLC recevrait des actions dans ce dernier à concurrence de 29,9% du capital total sur une base diluée, les 70,1% restant détenus par les actionnaires actuels de SN Airholding.
Ce holding détiendrait 100% des actions de Virgin Express NV/SA et 92% des actions de SN Brussels Airlines (8 % des actions de SN Brussels Airlines restant la propriété de SIC, autre actionnaire. Virgin Express se verrait accorder une option de vente de ses 29,9% d'actions au prix de 64 Mie, payable en deux versements. Cette option de vente pourrait être exercée à tout moment à partir du 1er janvier 2005 jusqu'au 31 décembre 2006 compris.
Les autres clauses de la lettre d'intention prévoient que les actionnaires des deux compagnies signeraient un accord d'actionnaires afin de définir ensemble, entre autres choses, les principes de corporate gouvernance et que "Virgin Express aurait le droit de nommer deux administrateurs au conseil d'administration du holding."