Tout commença en 1938. Davis Packard et William Hewlett inventaient, dans un garage de la Silicon Valley, leur premier audio-oscillateur électronique. 76 ans plus tard, Hewlett Packard a fait des émules.
D’Apple à Google en passant par Facebook, la plupart des géants des nouvelles technologies sont concentrés dans cette « vallée de tous les possibles » qui s’étire sur 400 kilomètres carrés, au sud de San Francisco.
Son PIB équivaut à celui de... l’Irlande ! Plus de 60 000 Français sont aussi installés dans la région, dont de nombreux jeunes patrons.
Ils trouvent ici un terreau fertile à leur créativité.
En février 2014, François Hollande est d’ailleurs venu inaugurer l’ «US French Tech Hub», un lieu d’accueil pour les start-up françaises.
De quoi doper encore un peu plus le trafic affaires entre la France et la belle californienne.
Déjà, les «frenchies» sont le troisième marché international de la ville, avec plus de 250 000 visiteurs (affaires et touristes) chaque année !
D’Apple à Google en passant par Facebook, la plupart des géants des nouvelles technologies sont concentrés dans cette « vallée de tous les possibles » qui s’étire sur 400 kilomètres carrés, au sud de San Francisco.
Son PIB équivaut à celui de... l’Irlande ! Plus de 60 000 Français sont aussi installés dans la région, dont de nombreux jeunes patrons.
Ils trouvent ici un terreau fertile à leur créativité.
En février 2014, François Hollande est d’ailleurs venu inaugurer l’ «US French Tech Hub», un lieu d’accueil pour les start-up françaises.
De quoi doper encore un peu plus le trafic affaires entre la France et la belle californienne.
Déjà, les «frenchies» sont le troisième marché international de la ville, avec plus de 250 000 visiteurs (affaires et touristes) chaque année !
Hippies et Beat Génération
Avec 850 000 habitants, San Francisco est une petite cité à l’échelle des Etats-Unis. Mais elle tient une place à part dans le pays.
Terre d’immigration (avec le plus grand Chinatown d’Amérique), elle n’a pris son essor qu’au milieu du 19ème siècle avec la ruée vers l’or, avant d’être rasée de la carte par un tremblement de terre en 1906.
Elle risque à tout moment de subir à nouveau la colère de la terre.
Est-ce cette épée de Damoclès qui rend ses habitants si philosophes ? Toujours est-il que c’est à «Frisco» que naquirent le mouvement hippie et la Beat Génération, que la communauté gay fit son premier coming-out.
Tous ont insufflé un message de tolérance qui perdure encore aujourd’hui, dans la création artistique, dans les rapports humains et dans la qualité de vie. Les habitants adorent d’ailleurs organiser des barbecues le week-end dans les parcs, en partageant un vin de la Nappa Valley voisine...
Hommes d’affaires et touristes plébiscitent cet état d’esprit, mas aussi la beauté de la ville, avec ses formes rebondies et ses rues en montagne russe qui descendent jusqu’aux gratte-ciel de Financial District.
Du sommet des collines de Twin Peaks, la vue sur la baie fermée par le Golden Gate Bridge (2,7 kms de long) permet d’appréhender la topographie ; avant de s’enfoncer dans les quartiers historiques aux maisons victoriennes pour pénétrer l’âme de la ville, là où rôdent les fantômes de Jack Kerouac et Jimi Hendrix : Pacific Height et ses demeures cossues, Mission District aux accents hispaniques ou South of Market, nouveau paradis des noctambules...
Si les cable cars, ces tramways brinque-balants qui dévalent les collines, sont pris d’assaut, prenez votre courage à... deux pieds !
Mais attention : la balade est sportive tant les dénivelés sont vertigineux, comme sur California Street immortalisée par Steve Mac Queen dans le film Bullit.
Terre d’immigration (avec le plus grand Chinatown d’Amérique), elle n’a pris son essor qu’au milieu du 19ème siècle avec la ruée vers l’or, avant d’être rasée de la carte par un tremblement de terre en 1906.
Elle risque à tout moment de subir à nouveau la colère de la terre.
Est-ce cette épée de Damoclès qui rend ses habitants si philosophes ? Toujours est-il que c’est à «Frisco» que naquirent le mouvement hippie et la Beat Génération, que la communauté gay fit son premier coming-out.
Tous ont insufflé un message de tolérance qui perdure encore aujourd’hui, dans la création artistique, dans les rapports humains et dans la qualité de vie. Les habitants adorent d’ailleurs organiser des barbecues le week-end dans les parcs, en partageant un vin de la Nappa Valley voisine...
Hommes d’affaires et touristes plébiscitent cet état d’esprit, mas aussi la beauté de la ville, avec ses formes rebondies et ses rues en montagne russe qui descendent jusqu’aux gratte-ciel de Financial District.
Du sommet des collines de Twin Peaks, la vue sur la baie fermée par le Golden Gate Bridge (2,7 kms de long) permet d’appréhender la topographie ; avant de s’enfoncer dans les quartiers historiques aux maisons victoriennes pour pénétrer l’âme de la ville, là où rôdent les fantômes de Jack Kerouac et Jimi Hendrix : Pacific Height et ses demeures cossues, Mission District aux accents hispaniques ou South of Market, nouveau paradis des noctambules...
Si les cable cars, ces tramways brinque-balants qui dévalent les collines, sont pris d’assaut, prenez votre courage à... deux pieds !
Mais attention : la balade est sportive tant les dénivelés sont vertigineux, comme sur California Street immortalisée par Steve Mac Queen dans le film Bullit.
Boutiques-hôtels à la pelle
A coup sûr, cette beauté fatale et cette philosophie de vie rejaillissent sur le succès économique de San Francisco.
Depuis Paris, XL Airways et United Airlines ont mis en place depuis quatre ans des vols directs pour répondre à la demande et concurrencer Air France.
Alors que sur place, le centre de conventions Moscone Center s’offre un lifting à 56 millions de dollars ! De nouveaux boutique-hôtels en phase avec les aspirations européennes - comme Clift Hotel redésigné par Philippe Starck, Vertigo Hotel, Diva Hotel ou Zetta - renouvellent le parc de 33 000 chambres.
Alors que l’offre culturelle ne cesse de s’enrichir, à l’image du Musée d’Art Moderne (SFMoma) ; comme pour mieux aborder un avenir qui semble radieux.
Il est vrai que dans le sillage du Net, d’autres industries prennent le relais, notamment dans le domaine des bio- technologies où les Français sont également à la pointe. Voilà la promesse de futurs échanges fructueux...
Cette effervescence a permis à « Frisco » de passer la crise sans trop de casse même si, ne l’oublions pas, la Californie demeure le plus endetté des Etats d’Amérique...
Depuis Paris, XL Airways et United Airlines ont mis en place depuis quatre ans des vols directs pour répondre à la demande et concurrencer Air France.
Alors que sur place, le centre de conventions Moscone Center s’offre un lifting à 56 millions de dollars ! De nouveaux boutique-hôtels en phase avec les aspirations européennes - comme Clift Hotel redésigné par Philippe Starck, Vertigo Hotel, Diva Hotel ou Zetta - renouvellent le parc de 33 000 chambres.
Alors que l’offre culturelle ne cesse de s’enrichir, à l’image du Musée d’Art Moderne (SFMoma) ; comme pour mieux aborder un avenir qui semble radieux.
Il est vrai que dans le sillage du Net, d’autres industries prennent le relais, notamment dans le domaine des bio- technologies où les Français sont également à la pointe. Voilà la promesse de futurs échanges fructueux...
Cette effervescence a permis à « Frisco » de passer la crise sans trop de casse même si, ne l’oublions pas, la Californie demeure le plus endetté des Etats d’Amérique...
Les incontournables
■ Alcatraz
Installé sur une île au cœur de la baie (20 mn de traversée), le plus célèbre pénitencier des Etats-Unis «accueillit» 1545 prisonniers de 1934 à 1963, dont Al Capone.
On visite les sinistres cellules avec un excellent audio-guide bourré d’anecdotes ; et accompagné par le cri sinistre des mouettes qui ont colonisé l’île ! Réservation conseillée.
www.alcatrazcruises.com
■ La Baie et le Golden Gate Bridge
Plutôt que la salle de sport de votre hôtel, louez un vélo (www.baycitybike.com) pour entretenir votre forme (environ 35 $ la journée).
En une quinzaine de kilomètres, vous longerez la baie, traverserez le vertigineux Golden Gate avant de terminer votre course dans le village de Sausalito, fameux pour ses house-boats. Le retour à San Francisco peut se faire en ferry.
■ Fisherman’s Wharf
L’ancien quartier des pêcheurs (accessible par le cable-car depuis le centre) est devenu un parc de loisirs à ciel ouvert.
On y va pour humer son ambiance maritime et déguster un sandwich au crabe, découvrir les bateaux historiques (navire à aube, goélette, trois-mâts...) le long de Hyde Street Pier et observer les otaries qui se dorent au soleil sur les pontons du Pier 39 !
■ Walt Disney Museum
Parmi les nombreux musées, celui consacré à Walt Disney vaut le coup d’oeil.
Aménagé dans un ancien bâtiment militaire du Parc Presidio, il raconte la success-story de l’inventeur de Mickey à coups de documents passionnants, de la création du personnage Oswald the Lucky Rabbit à la conception de Disneyworld.
www.waltdisney.org
■ Haight-Ashbury
C’est le quartier emblématique, celui des rues pentues et des hippies. Il en reste une ambiance décalée, notamment sur Haight Street bordée de boutiques underground qui attirent une jeunesse lookée.
Les maisons victoriennes (les fameuses Painted Laides) bordant Alamo Square Park sont à deux pas. Idéal pour une pause, avec pour décor la plus célèbre vue de San Francisco...
■ Le Golden Gate Park
Ce parc urbain plus vaste que Central Park à New York vaut aussi pour ses musées : De Young Museum (arts primitifs, art contemporain américain) couvert d’une « peau de cuivre », conçu par les architectes Herzog et de Meuron; ou la California Academy of Sciences, œuvre éco-durable de Renzo Piano, fameuse pour son planétarium et son exposition sur les tremblements de terre, avec simulation d’un séisme !
Installé sur une île au cœur de la baie (20 mn de traversée), le plus célèbre pénitencier des Etats-Unis «accueillit» 1545 prisonniers de 1934 à 1963, dont Al Capone.
On visite les sinistres cellules avec un excellent audio-guide bourré d’anecdotes ; et accompagné par le cri sinistre des mouettes qui ont colonisé l’île ! Réservation conseillée.
www.alcatrazcruises.com
■ La Baie et le Golden Gate Bridge
Plutôt que la salle de sport de votre hôtel, louez un vélo (www.baycitybike.com) pour entretenir votre forme (environ 35 $ la journée).
En une quinzaine de kilomètres, vous longerez la baie, traverserez le vertigineux Golden Gate avant de terminer votre course dans le village de Sausalito, fameux pour ses house-boats. Le retour à San Francisco peut se faire en ferry.
■ Fisherman’s Wharf
L’ancien quartier des pêcheurs (accessible par le cable-car depuis le centre) est devenu un parc de loisirs à ciel ouvert.
On y va pour humer son ambiance maritime et déguster un sandwich au crabe, découvrir les bateaux historiques (navire à aube, goélette, trois-mâts...) le long de Hyde Street Pier et observer les otaries qui se dorent au soleil sur les pontons du Pier 39 !
■ Walt Disney Museum
Parmi les nombreux musées, celui consacré à Walt Disney vaut le coup d’oeil.
Aménagé dans un ancien bâtiment militaire du Parc Presidio, il raconte la success-story de l’inventeur de Mickey à coups de documents passionnants, de la création du personnage Oswald the Lucky Rabbit à la conception de Disneyworld.
www.waltdisney.org
■ Haight-Ashbury
C’est le quartier emblématique, celui des rues pentues et des hippies. Il en reste une ambiance décalée, notamment sur Haight Street bordée de boutiques underground qui attirent une jeunesse lookée.
Les maisons victoriennes (les fameuses Painted Laides) bordant Alamo Square Park sont à deux pas. Idéal pour une pause, avec pour décor la plus célèbre vue de San Francisco...
■ Le Golden Gate Park
Ce parc urbain plus vaste que Central Park à New York vaut aussi pour ses musées : De Young Museum (arts primitifs, art contemporain américain) couvert d’une « peau de cuivre », conçu par les architectes Herzog et de Meuron; ou la California Academy of Sciences, œuvre éco-durable de Renzo Piano, fameuse pour son planétarium et son exposition sur les tremblements de terre, avec simulation d’un séisme !
Notre sélection d'hôtels
■ Sir Francis Drake
Inaugurée en 1928, l’adresse cultive une ambiance «hauts plafonds, boiseries et moulures », à deux pas d’Union Square, centre névralgique de la ville. Rénové il y a trois ans, l’hôtel propose 416 chambres à la décoration baroque où dominent les gris, rouges et mauves...
On regrettera des salles de bain petites.
Un restaurant italien (Scala), plusieurs salles de réunion, une jolie ballroom (300 p.) et un chatoyant roof top/bar (Starlight Room) complètent l’offre.
Deux initiatives sympas : une dégustation de vins gratuite chaque soir, et le prêt de vélos...
www.sirfrancisdrake.com
■ Nikko
Le groupe japonais propose 532 chambres dans ce gratte-ciel, près d’Union Square. Rénovées en 2012, les chambres de facture classique se déclinent en beige.
On apprécie les salles de bain avec douche et baignoire, et les trois étages Imperial Club (internet gratuit, salon pour le petit déjeuner...).
Salles de séminaires, club-lounge Feinstein’s (avec spectacles) parfait pour un cocktail, grand centre de fitness avec piscine mais à l’accès payant (20 $ par séjour).
www.hotelnikkosf.com
■ Argonaut
Dans un entrepôt de 1907 de Fisherman’s Wharf, l’hôtel est excentré par rapport au Financial District (quelques minutes en taxi) mais permet de changer d’air.
Parmi les 252 chambres, préférez celle offrant une vue sur la baie. Toutes jouent sur les clichés maritimes (boussoles, maquettes de bateau...) avec murs en brique et portes en acier pour certaines.
Le Blue Mermaid Chowder House & Bar sert une cuisine à base de poissons et crustacés dans un décor «vieux port ».
Fitness center, plusieurs salles de réunions....
www.argonauthotel.com
■ Zetta
Ouverte en février 2013 aux confins du quartier de South of Market, c’est l’adresse tendance. Cadres affairés et « hipsters » apprécient ses 116 chambres vastes et sobres déclinant une palette de gris et ses équipements : transfert de sa tablette sur la télé, wifi gratuit pour dix appareils...
Restaurant Le Cavalier très fashion, avec banquettes en cuir et faux trophées empaillés aux murs.
On aime aussi la salle de jeu avec billard, baby-foot, table de poing-pong...
www.viceroyhotelgroup.com/en/zetta
■ Four Seasons
Ambiance chic et raffinée pour l’hôtel installé sur Market Street, à deux pas du centre de conventions.
90 pièces d’art contemporain décorent les parties communes et les 277 chambres, à l’élégante sobre.
Au-delà du service hors pair, on apprécie le restaurant MKT à l’ambiance urbaine chic (bois, cuir...) et le complexe sportif sous l’hôtel (fitness, piscine, spas...) accessible gratuitement.
www.fourseasons.com
Inaugurée en 1928, l’adresse cultive une ambiance «hauts plafonds, boiseries et moulures », à deux pas d’Union Square, centre névralgique de la ville. Rénové il y a trois ans, l’hôtel propose 416 chambres à la décoration baroque où dominent les gris, rouges et mauves...
On regrettera des salles de bain petites.
Un restaurant italien (Scala), plusieurs salles de réunion, une jolie ballroom (300 p.) et un chatoyant roof top/bar (Starlight Room) complètent l’offre.
Deux initiatives sympas : une dégustation de vins gratuite chaque soir, et le prêt de vélos...
www.sirfrancisdrake.com
■ Nikko
Le groupe japonais propose 532 chambres dans ce gratte-ciel, près d’Union Square. Rénovées en 2012, les chambres de facture classique se déclinent en beige.
On apprécie les salles de bain avec douche et baignoire, et les trois étages Imperial Club (internet gratuit, salon pour le petit déjeuner...).
Salles de séminaires, club-lounge Feinstein’s (avec spectacles) parfait pour un cocktail, grand centre de fitness avec piscine mais à l’accès payant (20 $ par séjour).
www.hotelnikkosf.com
■ Argonaut
Dans un entrepôt de 1907 de Fisherman’s Wharf, l’hôtel est excentré par rapport au Financial District (quelques minutes en taxi) mais permet de changer d’air.
Parmi les 252 chambres, préférez celle offrant une vue sur la baie. Toutes jouent sur les clichés maritimes (boussoles, maquettes de bateau...) avec murs en brique et portes en acier pour certaines.
Le Blue Mermaid Chowder House & Bar sert une cuisine à base de poissons et crustacés dans un décor «vieux port ».
Fitness center, plusieurs salles de réunions....
www.argonauthotel.com
■ Zetta
Ouverte en février 2013 aux confins du quartier de South of Market, c’est l’adresse tendance. Cadres affairés et « hipsters » apprécient ses 116 chambres vastes et sobres déclinant une palette de gris et ses équipements : transfert de sa tablette sur la télé, wifi gratuit pour dix appareils...
Restaurant Le Cavalier très fashion, avec banquettes en cuir et faux trophées empaillés aux murs.
On aime aussi la salle de jeu avec billard, baby-foot, table de poing-pong...
www.viceroyhotelgroup.com/en/zetta
■ Four Seasons
Ambiance chic et raffinée pour l’hôtel installé sur Market Street, à deux pas du centre de conventions.
90 pièces d’art contemporain décorent les parties communes et les 277 chambres, à l’élégante sobre.
Au-delà du service hors pair, on apprécie le restaurant MKT à l’ambiance urbaine chic (bois, cuir...) et le complexe sportif sous l’hôtel (fitness, piscine, spas...) accessible gratuitement.
www.fourseasons.com
Nos bonnes adresses
■ Biscuit & Blues
Jazz et blues au programme de cette salle située près d’Union Square, idéale pour une soirée d’affaires (menus aux accents louisianais) ou une pause musicale autour d’un cocktail.
www.biscuitsandblues.com
■ Capurro’s
Dans le quartier de Fisherman’s Wharf, un restaurant décontracté tenu par une famille italienne depuis 1946, qui propose une carte méditerranéenne où le poisson tient une place de choix.
A privilégier pour le déjeuner.
www.capurros.com
■ John’s Grill
Au cœur du quartier animé d’Union Square, le restaurant séduira les amateurs de viandes, dans un cadre façon gangsters des années 30. Des images en noir et blanc de célébrités décorent les murs, comme un hommage au Faucon Maltais qui a pour toile de fond cette adresse mythique...
www.johnsgrill.com
■ Redwood Room
Ambiance glamour pour le bar Redwood Room du mythique Clift Hôtel, redesigné par Starck.
On négocie un contrat autour d’un cocktail en s’extasiant devant le bar en bois, creusé dans un seul séquoia selon la légende ! www.morganshotelgroup.com
Jazz et blues au programme de cette salle située près d’Union Square, idéale pour une soirée d’affaires (menus aux accents louisianais) ou une pause musicale autour d’un cocktail.
www.biscuitsandblues.com
■ Capurro’s
Dans le quartier de Fisherman’s Wharf, un restaurant décontracté tenu par une famille italienne depuis 1946, qui propose une carte méditerranéenne où le poisson tient une place de choix.
A privilégier pour le déjeuner.
www.capurros.com
■ John’s Grill
Au cœur du quartier animé d’Union Square, le restaurant séduira les amateurs de viandes, dans un cadre façon gangsters des années 30. Des images en noir et blanc de célébrités décorent les murs, comme un hommage au Faucon Maltais qui a pour toile de fond cette adresse mythique...
www.johnsgrill.com
■ Redwood Room
Ambiance glamour pour le bar Redwood Room du mythique Clift Hôtel, redesigné par Starck.
On négocie un contrat autour d’un cocktail en s’extasiant devant le bar en bois, creusé dans un seul séquoia selon la légende ! www.morganshotelgroup.com
Pour le shopping
■ Hayes Valley
Derrière le Civic Center, c’est le nouveau quartier à la mode.
Les SDF qui squattaient ses rues arborées ont laissé place aux restaurants bios, aux boutiques de jeunes créateurs, aux galeries d’art et aux magasins de déco, dans une ambiance «village».
Comme Residents Apparel Gallery (541 Octavia Street), qui concentre designers spécialistes de la mode et de la déco.
■ Union Square et Market Street
Le quartier concentre les grands magasins (Macy’s, Bloomingdales...), les enseignes de luxe et les marques américaines dans le vent.
Né à San Francisco, Levi’s a ouvert un flagship de 650 m2 sur Market Street (n° 815), où l’on peut même faire réaliser son jean sur mesure !
A deux pas, le centre commercial Westfield concentre plusieurs centaines d’enseignes, dont Abercrombie & Fitch et Superdry.
www.westfield.com/sanfrancisco
Derrière le Civic Center, c’est le nouveau quartier à la mode.
Les SDF qui squattaient ses rues arborées ont laissé place aux restaurants bios, aux boutiques de jeunes créateurs, aux galeries d’art et aux magasins de déco, dans une ambiance «village».
Comme Residents Apparel Gallery (541 Octavia Street), qui concentre designers spécialistes de la mode et de la déco.
■ Union Square et Market Street
Le quartier concentre les grands magasins (Macy’s, Bloomingdales...), les enseignes de luxe et les marques américaines dans le vent.
Né à San Francisco, Levi’s a ouvert un flagship de 650 m2 sur Market Street (n° 815), où l’on peut même faire réaliser son jean sur mesure !
A deux pas, le centre commercial Westfield concentre plusieurs centaines d’enseignes, dont Abercrombie & Fitch et Superdry.
www.westfield.com/sanfrancisco
Carnet pratique
■ Où se renseigner ?
www.onlyinsanfrancisco.fr
■ Accès : trois compagnies proposent des vols directs : Air France, United Airlines et XL Airways.
■ Formalités : demande d’entrée aux Etats-Unis à remplir sur https://esta.cbp.dhs.gov avant le départ. Il faut également s’acquitter d’une taxe de 14 $, à régler sur internet.
■ Décalage horaire : - 9 heures.
■ Climat : doux toute l’année. Il pleut souvent en hiver et le brouillard n’est pas rare en été.
■ Monnaie : le dollar américain vaut environ 0,89 €.
www.onlyinsanfrancisco.fr
■ Accès : trois compagnies proposent des vols directs : Air France, United Airlines et XL Airways.
■ Formalités : demande d’entrée aux Etats-Unis à remplir sur https://esta.cbp.dhs.gov avant le départ. Il faut également s’acquitter d’une taxe de 14 $, à régler sur internet.
■ Décalage horaire : - 9 heures.
■ Climat : doux toute l’année. Il pleut souvent en hiver et le brouillard n’est pas rare en été.
■ Monnaie : le dollar américain vaut environ 0,89 €.