Ce mardi 29 mai 2012, le tribunal de commerce de Paris devait rendre sa décision - déjà reportée d'une semaine le 21 mai 2012 - à propos de l'attribution des actifs de SeaFrance. Elle sera finalement connue jeudi 31 mai, selon l'AFP.
Les ferries de la compagnie liquidée depuis janvier 2012, sont notamment convoités par DFDS – LD Lines, Stena Lines et Eurotunnel. Ce dernier groupe propose 65 millions d'euros pour la reprise intégrale de tous les actifs corporels et incorporels.
C'est cette offre qui semble avoir le plus de chance d'être retenue par la cours. Elle est en tout cas soutenue par les anciens employés.
Leur avocat, Me Brun, le confirme dans le colonne du quotidien régional Nord Éclair. "Quel meilleur projet vous pourriez avoir avec une reprise de l'ordre de 65 millions d'euros, adossée à 526 emplois en CDI ?
Depuis le 9 janvier (2012, ndlr), je ne vois pas quelle offre on pourrait avoir de mieux. D'ailleurs les deux autres sont à des années lumière de celle-là."
L'avocat précise que dès que le tribunal aura donné son accord, le transporteur pourra reprendre ses activités sous l'appellation SeaFrance. "Avec la coopérative ouvrière, associée soit en direct, soit dans le cadre d'une société d'exploitation, et 526 emplois vont renaître."
Les ferries de la compagnie liquidée depuis janvier 2012, sont notamment convoités par DFDS – LD Lines, Stena Lines et Eurotunnel. Ce dernier groupe propose 65 millions d'euros pour la reprise intégrale de tous les actifs corporels et incorporels.
C'est cette offre qui semble avoir le plus de chance d'être retenue par la cours. Elle est en tout cas soutenue par les anciens employés.
Leur avocat, Me Brun, le confirme dans le colonne du quotidien régional Nord Éclair. "Quel meilleur projet vous pourriez avoir avec une reprise de l'ordre de 65 millions d'euros, adossée à 526 emplois en CDI ?
Depuis le 9 janvier (2012, ndlr), je ne vois pas quelle offre on pourrait avoir de mieux. D'ailleurs les deux autres sont à des années lumière de celle-là."
L'avocat précise que dès que le tribunal aura donné son accord, le transporteur pourra reprendre ses activités sous l'appellation SeaFrance. "Avec la coopérative ouvrière, associée soit en direct, soit dans le cadre d'une société d'exploitation, et 526 emplois vont renaître."
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