- DR : CEDIV
Comme tout un chacun, j’attendais à l’annonce du nouveau gouvernement Castex la nomination d’un responsable Tourisme au sein de l’équipe du Premier Ministre. Que nenni !
C’est quand même un peu fort qu’au milieu de la tourmente nous soyons à ce point privé d’interlocuteur désigné pour le secteur.
Jean-Baptiste Lemoyne a, comme on dit, «fait le job». Il n’a pas déçu au plus fort de la crise sur différents points dont l’ordonnance et la pérennité de l’APST.
Mais il reste bon nombre de dossiers ouverts au premier rang desquels le remboursement des billets non volés pour cause du Covid-19 par de très nombreuses compagnies qui n’offrent aucune contre-garantie à leurs émissions d’avoir.
C’est quand même un peu fort qu’au milieu de la tourmente nous soyons à ce point privé d’interlocuteur désigné pour le secteur.
Jean-Baptiste Lemoyne a, comme on dit, «fait le job». Il n’a pas déçu au plus fort de la crise sur différents points dont l’ordonnance et la pérennité de l’APST.
Mais il reste bon nombre de dossiers ouverts au premier rang desquels le remboursement des billets non volés pour cause du Covid-19 par de très nombreuses compagnies qui n’offrent aucune contre-garantie à leurs émissions d’avoir.
Va-t-on passer l’été à attendre un plan ?
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Les agences attendent toujours la création d’un fonds d’indemnisation des victimes (consommateurs et professionnels) de la défaillance des compagnies aériennes. Qu’est ce qui bloque au niveau des instances dirigeantes du pays pour nommer rapidement la femme ou l’homme politique en capacité de poursuivre la tâche qui, reconnaissons-le au passage, avait été correctement menée jusqu’à là ?
Le reprise tant attendue, après le déconfinement, ne s’est pas faite sentir et les perspectives d’une reprise économique, dès la rentrée, a des allures de vœux pieux ! La filière vit d’espoir et cherche des motifs de confiance dans le futur immédiat.
Va-t-on passer l’été à attendre un plan ? Une feuille de route ? Une réforme de nos structures décisionnelles ?
Je sais, les français ne sont jamais aussi bons qu’au pied du mur et sous une pression extrême… mais personnellement je pense que nous y sommes et que le plus tôt sera le mieux pour être bien en ordre de marche dès la rentrée de septembre.
Le reprise tant attendue, après le déconfinement, ne s’est pas faite sentir et les perspectives d’une reprise économique, dès la rentrée, a des allures de vœux pieux ! La filière vit d’espoir et cherche des motifs de confiance dans le futur immédiat.
Va-t-on passer l’été à attendre un plan ? Une feuille de route ? Une réforme de nos structures décisionnelles ?
Je sais, les français ne sont jamais aussi bons qu’au pied du mur et sous une pression extrême… mais personnellement je pense que nous y sommes et que le plus tôt sera le mieux pour être bien en ordre de marche dès la rentrée de septembre.
Il vaut mieux aider les entreprises que de payer les indemnités de chômage aux salariés
Les aides et les mesures sociales, financières, fiscales sont salutaires devant tant de souffrances mais que se passera-t-il si la situation générale ne s’améliore pas ? Les priorités de l’automne ne seront pas celles de la filière mais plutôt l’emploi, l’aide aux entreprises et les jeunes.
Il va falloir décider rapidement un plan d’urgence. Les charges aussi réduites soient elles continuent à courir, aucune rentrée d’argent, les trésoreries sont exsangues ! Pour éviter les dépôts de bilan, les cessations d’activités, les faillites, il faut que nous puissions bénéficier du chômage à 100% et de l’autorisation d’avoir une activité réduite aux reports des dossiers de nos clients.
Il vaut mieux aider les entreprises que de payer les indemnités de chômage aux salariés victimes de ces situations extrêmes.
Alors ? Doit-on voir directement avec le ministère du travail, Bercy ou un autre interlocuteur ? Je pose la question et veux une réponse rapide et dans le même temps invite tous les patrons de réseau et des TO à se réunir pour évaluer très rapidement la situation et décider un plan d’action.
Il va falloir décider rapidement un plan d’urgence. Les charges aussi réduites soient elles continuent à courir, aucune rentrée d’argent, les trésoreries sont exsangues ! Pour éviter les dépôts de bilan, les cessations d’activités, les faillites, il faut que nous puissions bénéficier du chômage à 100% et de l’autorisation d’avoir une activité réduite aux reports des dossiers de nos clients.
Il vaut mieux aider les entreprises que de payer les indemnités de chômage aux salariés victimes de ces situations extrêmes.
Alors ? Doit-on voir directement avec le ministère du travail, Bercy ou un autre interlocuteur ? Je pose la question et veux une réponse rapide et dans le même temps invite tous les patrons de réseau et des TO à se réunir pour évaluer très rapidement la situation et décider un plan d’action.
À bon entendeur…
Cordialement
ADRIANA MINCHELLA
Cordialement
ADRIANA MINCHELLA