Demonchy réagit et annonce que plus de 30% des adhérents souahitent « la demande d’une réunion extraordinaire d’une assemblée générale ordinaire »
Alors que les 8 administrateurs envoyaient une lettre circulaire à l’ensemble des adhérents du réseau en fin de semaine dernière, Philippe Demonchy réagit en début de semaine.
Il annonce que plus de 30% des adhérents ont déjà répondu positivement à « la demande d’une réunion extraordinaire d’une assemblée générale ordinaire » alors que 20 % suffisent selon les statuts. « Le conseil d’administration, qui se réunit mardi au siège du réseau, aura à en définir les modalités d’organisation », ajoutait Philippe Demonchy.
« C’est effectivement ce que nous avons fait. Lors de l’assemblée générale qui se tiendra le 30 mars, les sociétaires pourront s’exprimer comme ils le demandent » explique Gilbert Vairon, administrateur du réseau. Une assemblée générale qui s’est passée dans le calme et n’a pas remis en cause le vote du 8 février dernier. « Concernant la position de Philippe Demonchy, rien n’a changé. Il conservera un poste d’administrateur. »
Tout se jouera le 30 mars
Mais un poste d’administrateur qui sera renouvelable cette année. Se représentera-t-il ? « La question ne lui a pas été posée » explique Gilbert Vairon. L’avenir du réseau se jouera donc lors de l’assemblée générale du mercredi 30 mars. « C’est à l’issue de cette AG que les actes de candidature serons officialisés et nous procéderons donc au vote du président de Selectour pour qu’il y ait passation de pouvoir le lendemain lors du départ de Philippe Demonchy. » Le moins qu’on puisse dire, c’est que les candidats ne se ruineront pas en frais de campagne…
Actuellement, il y en a deux connus : François Xavier de Bouärd et Gérard Letailleur. Y en aura-t-il d’autres le 30 mars prochain ? Quand à la marge de manœuvre de Philippe Demonchy, elle apparaît de plus en plus étroite, tant à Selectour qu’au Snav. Et pourtant, cette situation délicate dans laquelle se trouve actuellement le président de Selectour était prévisible. « Cela fait maintenant plus de deux ans que nous discutons sur les modalités de succession. Philippe Demonchy était au courant de l’avancée des travaux . »
A moins d’un mois d’une échéance qui s’annonce capitale pour le réseau Selectour, il y a fort à parier que les deux partis en présence vont multiplier les tractations. « L’assemblée générale d’hier n’a rien réglé » confesse d’ailleurs un administrateur. Ses collègues souhaitent en tout cas régler au plus vite cette succession difficile et de surcroît trop médiatique à leur goût : « des cafouillages à la succession et un tel déballage sur la place publique, ça la fiche mal » résume Gilbert Vairon. Avec un président qui va se retrouver sans préparation préalable projeté tout de suite au commande du réseau et de l ‘Alliance, de surcroît la veille du passage à la commission 0, Selectour aurait pu mieux la jouer.
Hervé Ducruet - herve.ducruet@tourmag.com
Il annonce que plus de 30% des adhérents ont déjà répondu positivement à « la demande d’une réunion extraordinaire d’une assemblée générale ordinaire » alors que 20 % suffisent selon les statuts. « Le conseil d’administration, qui se réunit mardi au siège du réseau, aura à en définir les modalités d’organisation », ajoutait Philippe Demonchy.
« C’est effectivement ce que nous avons fait. Lors de l’assemblée générale qui se tiendra le 30 mars, les sociétaires pourront s’exprimer comme ils le demandent » explique Gilbert Vairon, administrateur du réseau. Une assemblée générale qui s’est passée dans le calme et n’a pas remis en cause le vote du 8 février dernier. « Concernant la position de Philippe Demonchy, rien n’a changé. Il conservera un poste d’administrateur. »
Tout se jouera le 30 mars
Mais un poste d’administrateur qui sera renouvelable cette année. Se représentera-t-il ? « La question ne lui a pas été posée » explique Gilbert Vairon. L’avenir du réseau se jouera donc lors de l’assemblée générale du mercredi 30 mars. « C’est à l’issue de cette AG que les actes de candidature serons officialisés et nous procéderons donc au vote du président de Selectour pour qu’il y ait passation de pouvoir le lendemain lors du départ de Philippe Demonchy. » Le moins qu’on puisse dire, c’est que les candidats ne se ruineront pas en frais de campagne…
Actuellement, il y en a deux connus : François Xavier de Bouärd et Gérard Letailleur. Y en aura-t-il d’autres le 30 mars prochain ? Quand à la marge de manœuvre de Philippe Demonchy, elle apparaît de plus en plus étroite, tant à Selectour qu’au Snav. Et pourtant, cette situation délicate dans laquelle se trouve actuellement le président de Selectour était prévisible. « Cela fait maintenant plus de deux ans que nous discutons sur les modalités de succession. Philippe Demonchy était au courant de l’avancée des travaux . »
A moins d’un mois d’une échéance qui s’annonce capitale pour le réseau Selectour, il y a fort à parier que les deux partis en présence vont multiplier les tractations. « L’assemblée générale d’hier n’a rien réglé » confesse d’ailleurs un administrateur. Ses collègues souhaitent en tout cas régler au plus vite cette succession difficile et de surcroît trop médiatique à leur goût : « des cafouillages à la succession et un tel déballage sur la place publique, ça la fiche mal » résume Gilbert Vairon. Avec un président qui va se retrouver sans préparation préalable projeté tout de suite au commande du réseau et de l ‘Alliance, de surcroît la veille du passage à la commission 0, Selectour aurait pu mieux la jouer.
Hervé Ducruet - herve.ducruet@tourmag.com