Après l’assemblée générale agitée de mardi dernier qui a confirmé la non possibilité pour Philippe Demonchy d’assumer la direction de l’Alliance et de Selectour Finances, le président fondateur de Selectour s’est exprimé par voie de communiqué.
Il a rappelé qu’il était à l'origine de « cette nouvelle structure juridique de la Coopérative Selectour Voyages avec le président du Conseil d'administration d'une part et directeur général d'autre part .»
Il a également souligné qu’il n'avait "pas été invité à participer - alors même qu’il a des mandats du Conseil d’Administration - aux choix des futurs représentants de la Coopérative Selectour Voyages dans ses sociétés filiales : Alliance.T et Selectour Finances".
Enfin, en conclusion, le président de Selectour a déclaré que « rien dans les statuts de Selectour Voyages et dans l’organisation juridique de la coopérative n’imposait une manifestation de rupture qui s’est manifestée par la prise de position de certains administrateurs ; alors même que les défis économiques que doit relever la coopérative sont l’essentiel et que jusqu’à ce jour l’esprit de consensus a su prévaloir au sein du réseau depuis 35 ans. »
Election au SNAV pas remise en cause
Philippe Demonchy, qui ne gardera qu’un unique poste d’administrateur pourrait bien le perdre. Cette année, comme le stipule les statuts de Selectour, 4 administrateurs sont sortant dont le président de Selectour. S’il n’était pas élu, non seulement il ne pourrait plus occuper aucune fonction chez Selectour mais pourra-t-il prétendre toujours au titre de futur président du SNAV ? Malgré nos relances, Philippe Demonchy reste muet.
« Pour se présenter, il faut être agent de voyage en activité, être élu dans son conseil, producteur, indépendant, réseau… pour pouvoir monter au Conseil National qui élit le président » explique césar Balderacchi. « Sauf s’il est sortant au conseil national, Philippe Demonchy peut se présenter s’il le souhaite» confirme le président du SNAV. L’inactivité forcée du futur ex-président pourrait alors bien être courte. Il n’y a que 27 jours entre le 31 mars, date de son départ de la présidence de Selectour, et les élections du SNAV.
Hervé Ducruet - herve.ducruet@tourmag.com
Il a rappelé qu’il était à l'origine de « cette nouvelle structure juridique de la Coopérative Selectour Voyages avec le président du Conseil d'administration d'une part et directeur général d'autre part .»
Il a également souligné qu’il n'avait "pas été invité à participer - alors même qu’il a des mandats du Conseil d’Administration - aux choix des futurs représentants de la Coopérative Selectour Voyages dans ses sociétés filiales : Alliance.T et Selectour Finances".
Enfin, en conclusion, le président de Selectour a déclaré que « rien dans les statuts de Selectour Voyages et dans l’organisation juridique de la coopérative n’imposait une manifestation de rupture qui s’est manifestée par la prise de position de certains administrateurs ; alors même que les défis économiques que doit relever la coopérative sont l’essentiel et que jusqu’à ce jour l’esprit de consensus a su prévaloir au sein du réseau depuis 35 ans. »
Election au SNAV pas remise en cause
Philippe Demonchy, qui ne gardera qu’un unique poste d’administrateur pourrait bien le perdre. Cette année, comme le stipule les statuts de Selectour, 4 administrateurs sont sortant dont le président de Selectour. S’il n’était pas élu, non seulement il ne pourrait plus occuper aucune fonction chez Selectour mais pourra-t-il prétendre toujours au titre de futur président du SNAV ? Malgré nos relances, Philippe Demonchy reste muet.
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Hervé Ducruet - herve.ducruet@tourmag.com
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