Pour cette très touristique destination l’heure est d’autant plus grave que nous entrons dans sa période de haute saison. Après Londres, les responsables du tourisme sri lankais sont de passage à Paris pour tenter de débloquer une situation lourdement pénalisante pour l’économie de leur pays.
« Nous demandons au Ministère des Affaires Etrangères de modifier le texte de la rubrique consacrée aux conseils aux voyageurs en remplaçant l’expression « il est conseillé de reconsidérer » par « il est conseillé une grande prudence », a déclaré hier Udaya Nanayakara, Chairman du Sri Lanka Tourist Board à l’occasion d’une conférence de presse.
Il a rappelé que depuis 1983, aucun des 5 millions de touristes qui avaient voyagé au Sri Lanka n’avait été victime d’un attentat et que tous les sites touristiques étaient préservés.
L’attitude de la France, 3e marché européen et 4e mondial, semble étonner les autorités sri lankaises. Le Royaume-Uni, la Belgique, la Suisse, les Pays-Bas n’auraient pas suspendu les ventes. Seule l’Italie rejoindrait la France dans sa politique de suspension.
« Nous demandons au Ministère des Affaires Etrangères de modifier le texte de la rubrique consacrée aux conseils aux voyageurs en remplaçant l’expression « il est conseillé de reconsidérer » par « il est conseillé une grande prudence », a déclaré hier Udaya Nanayakara, Chairman du Sri Lanka Tourist Board à l’occasion d’une conférence de presse.
Il a rappelé que depuis 1983, aucun des 5 millions de touristes qui avaient voyagé au Sri Lanka n’avait été victime d’un attentat et que tous les sites touristiques étaient préservés.
L’attitude de la France, 3e marché européen et 4e mondial, semble étonner les autorités sri lankaises. Le Royaume-Uni, la Belgique, la Suisse, les Pays-Bas n’auraient pas suspendu les ventes. Seule l’Italie rejoindrait la France dans sa politique de suspension.
En 23 ans pas 1 des 5 millions de visiteurs n’a été victime d’un attentat
CETO : ''avant toute reprise le Sri Lanka doit s’engager à clarifier son volet de sécurité...''
A entendre la délégation sri lankaise, un nouveau dialogue s’engagerait entre le parti au pouvoir et l’opposition en vue de modifier la constitution.
Le pays s’engagerait alors vers un système fédéral décentralisé. Mais seul l’avenir dira si le « nord-est » obtiendra l’indépendance qu’il réclame avec une violence accrue.
Au cours de la journée d’hier la délégation du Sri Lanka a argumenté auprès des Ministères des Affaires Etrangères et du Tourisme ainsi qu’auprès des voyagistes, du SNAV et du CETO.
Interrogé à ce sujet René-Marc Chikli estime qu’avant toute reprise le Sri Lanka doit s’engager à clarifier son volet de sécurité.
Quant à savoir s’il convient ou non de vendre le Sri Lanka avec une décharge signée par les clients, le président du CETO a déclaré que ce n’était pas une notion à communiquer en ce moment.
Rappelons à ce sujet qu’en cas de procès, une décharge ne pèse pas lourd devant un tribunal.
Le pays s’engagerait alors vers un système fédéral décentralisé. Mais seul l’avenir dira si le « nord-est » obtiendra l’indépendance qu’il réclame avec une violence accrue.
Au cours de la journée d’hier la délégation du Sri Lanka a argumenté auprès des Ministères des Affaires Etrangères et du Tourisme ainsi qu’auprès des voyagistes, du SNAV et du CETO.
Interrogé à ce sujet René-Marc Chikli estime qu’avant toute reprise le Sri Lanka doit s’engager à clarifier son volet de sécurité.
Quant à savoir s’il convient ou non de vendre le Sri Lanka avec une décharge signée par les clients, le président du CETO a déclaré que ce n’était pas une notion à communiquer en ce moment.
Rappelons à ce sujet qu’en cas de procès, une décharge ne pèse pas lourd devant un tribunal.