Explora project propose un séjour «Astronomie et randonnée dans les Pyrénées». Au programme, randonnées (parfois nocturnes), observation de la voûte céleste et découverte de biodiversité et de la vie en montagne. - Crédit : Explora Project
La jeune et ambitieuse agence Explora Project annonçait ce jeudi 7 juillet 2022 une levée de fonds de 4 millions d’euros.
Dans le sac du backpacker Stanislas Gruau, la volonté ferme de devenir « le leader européen du voyage pleine nature responsable », la première agence « no plane », de créer un réceptif digital : le Explora Hub et pour ce faire, de recruter.
Le spécialiste du voyage d’aventure se porte bien et se donne les moyens d’y arriver : il revendique 180 000 membres inscrits sur la plateforme et 4 000 voyageurs en 2022.
Engagée, l’entreprise souhaite changer les pratiques en s’approchant autant que possible d’un voyage le plus décarboné possible.
Intrigués par la promesse, nous avons demandé à Stanislas Gruau, co-fondateur d’Explora Project, de nous en dire plus.
Dans le sac du backpacker Stanislas Gruau, la volonté ferme de devenir « le leader européen du voyage pleine nature responsable », la première agence « no plane », de créer un réceptif digital : le Explora Hub et pour ce faire, de recruter.
Le spécialiste du voyage d’aventure se porte bien et se donne les moyens d’y arriver : il revendique 180 000 membres inscrits sur la plateforme et 4 000 voyageurs en 2022.
Engagée, l’entreprise souhaite changer les pratiques en s’approchant autant que possible d’un voyage le plus décarboné possible.
Intrigués par la promesse, nous avons demandé à Stanislas Gruau, co-fondateur d’Explora Project, de nous en dire plus.
Bientôt, 100% sans avion ?
TourMaG.com - C’est possible, ça, une agence qui propose 80% de ses trajets sans avion ?
Stanislas Gruau : Aujourd’hui, c’est économiquement difficile de se passer de l’avion à 100%, à la fois en pourcentage de marge et en panier moyen. Aucun gros acteur ne peut se passer de ce moyen de transport.
Nous revendiquons 80% de nos trajets en train et aucun long-courrier. On voudrait être la première agence de voyages « no plane », en nous appuyant sur d’autres moyens de transports.
Une partie de la feuille de route nous échappe en fonction des réglementations européennes et des infrastructures, mais on veut tendre vers le décarboné à 100 %.
Stanislas Gruau : Aujourd’hui, c’est économiquement difficile de se passer de l’avion à 100%, à la fois en pourcentage de marge et en panier moyen. Aucun gros acteur ne peut se passer de ce moyen de transport.
Nous revendiquons 80% de nos trajets en train et aucun long-courrier. On voudrait être la première agence de voyages « no plane », en nous appuyant sur d’autres moyens de transports.
Une partie de la feuille de route nous échappe en fonction des réglementations européennes et des infrastructures, mais on veut tendre vers le décarboné à 100 %.
TourMaG.com - Si c’est économiquement difficile, comment y arrivez-vous ?
Stanislas Gruau : On doit travailler sur la marge, car le panier moyen n’est pas le même que pour la plupart des acteurs. Pour contrebalancer, nous sommes créateurs de nos propres voyages.
Nous sommes à la fois tour-opérateur, agence réceptive et agence de voyages, ce qui nous permet de maximiser la marge brute.
Mais comme nous faisons le travail de trois acteurs, nous devons faire attention à ne pas augmenter les charges d’autant.
C’est notre gros enjeu et pour nous, la réponse est technologique. Et c’est tout le sujet de cette levée de fonds.
Elle devrait nous permettre de vraiment nous investir sur cette partie qu’on appelle le Explora hub. C’est une plateforme B2B, en réalité notre back office, où sont répertoriés nos prestataires.
En développant le hub, on souhaite automatiser 80% de nos opérations de logistique et monter un réceptif digital. Grâce à la tech, on améliore les marges. Et on prouve que se passer de l’avion, c’est soutenable.
Stanislas Gruau : On doit travailler sur la marge, car le panier moyen n’est pas le même que pour la plupart des acteurs. Pour contrebalancer, nous sommes créateurs de nos propres voyages.
Nous sommes à la fois tour-opérateur, agence réceptive et agence de voyages, ce qui nous permet de maximiser la marge brute.
Mais comme nous faisons le travail de trois acteurs, nous devons faire attention à ne pas augmenter les charges d’autant.
C’est notre gros enjeu et pour nous, la réponse est technologique. Et c’est tout le sujet de cette levée de fonds.
Elle devrait nous permettre de vraiment nous investir sur cette partie qu’on appelle le Explora hub. C’est une plateforme B2B, en réalité notre back office, où sont répertoriés nos prestataires.
En développant le hub, on souhaite automatiser 80% de nos opérations de logistique et monter un réceptif digital. Grâce à la tech, on améliore les marges. Et on prouve que se passer de l’avion, c’est soutenable.
un tourisme désintermédié et multi-local
TourMaG.com - En faisant le travail de trois acteurs, vous souhaitez être au plus près des voyageurs ?
Stanislas Gruau : On défend un tourisme désintermédié. Le client doit avoir un accès direct à celui qui apporte de la valeur, celui avec qui il va faire le voyage. On ne veut pas le faire passer de service en service, mais qu’il y ait un rapport direct.
Il y a trop d’intermédiaires qui ne servent à rien. Des marketplaces sans valeur ajoutée, qui ne sont que des revendeurs, ça n'a pas de sens. Elles avaient leur utilité il y a 20 ans, peut-être, quand faire un site, c'était compliqué, mais aujourd’hui ça n’a pas d’intérêt.
Stanislas Gruau : On défend un tourisme désintermédié. Le client doit avoir un accès direct à celui qui apporte de la valeur, celui avec qui il va faire le voyage. On ne veut pas le faire passer de service en service, mais qu’il y ait un rapport direct.
Il y a trop d’intermédiaires qui ne servent à rien. Des marketplaces sans valeur ajoutée, qui ne sont que des revendeurs, ça n'a pas de sens. Elles avaient leur utilité il y a 20 ans, peut-être, quand faire un site, c'était compliqué, mais aujourd’hui ça n’a pas d’intérêt.
TourMaG.com - Vous prévoyez 8 recrutements pour soutenir ces projets ?
Stanislas Gruau : Il y a deux types de recrutement
(NDLR, les annonces sont disponibles sur TourMaG.com).
Effectivement, des métiers autour du développement et de la tech pour faire avancer le hub et mieux gérer les marges.
Mais aussi du recrutement en production, pour étendre le catalogue, et notamment dans des postes en Europe.
Stanislas Gruau : Il y a deux types de recrutement
(NDLR, les annonces sont disponibles sur TourMaG.com).
Effectivement, des métiers autour du développement et de la tech pour faire avancer le hub et mieux gérer les marges.
Mais aussi du recrutement en production, pour étendre le catalogue, et notamment dans des postes en Europe.
TourMaG.com - Oui, parce que vous parliez aussi d’élargir votre offre en Europe ?
Stanislas Gruau : Nous voulons tester une ouverture de nos offres vers des pays connexes : la Suisse, le Benelux, l’Allemagne et l’Angleterre. Des marchés relativement proches pour pouvoir se passer d’avion.
J’ai le sentiment que l’internationalisation est quelque chose de plus évident pour ma génération de digital native que pour les autres générations. Il y a moins de barrières : on s’adresse à une cible qui consomme des contenus sur les réseaux sociaux dans sa langue et dans d’autres, il y a une uniformisation au sein de l’espace européen, c’est devenu plus naturel.
On revendique un tourisme « multi-local » et non global : il y a un espace européen uniforme dans lequel les Européens doivent pouvoir circuler. De la même manière qu’il y a un espace local en Amérique du Nord, par exemple, qui les rassemble eux.
C’est super de découvrir le monde, ok, mais je ne peux pas lancer un produit qui ne sera pas soutenable à terme. On doit changer nos habitudes et ça passe par des choix radicaux.
Comme celui de se passer de long-courrier. J’ai la conviction qu’on ne peut pas lancer une boîte qui pousse à l’hypercroissance, ce serait pousser à l’effondrement. On va essayer de ne pas aller trop loin, on va chercher un maillage de transports le plus éloigné possible des énergies fossiles.
Et on suit aussi la feuille de route du durable : redistribution des richesses, circuits courts, vrac, bio, zéro déchet, mesure d’empreinte carbone...
Stanislas Gruau : Nous voulons tester une ouverture de nos offres vers des pays connexes : la Suisse, le Benelux, l’Allemagne et l’Angleterre. Des marchés relativement proches pour pouvoir se passer d’avion.
J’ai le sentiment que l’internationalisation est quelque chose de plus évident pour ma génération de digital native que pour les autres générations. Il y a moins de barrières : on s’adresse à une cible qui consomme des contenus sur les réseaux sociaux dans sa langue et dans d’autres, il y a une uniformisation au sein de l’espace européen, c’est devenu plus naturel.
On revendique un tourisme « multi-local » et non global : il y a un espace européen uniforme dans lequel les Européens doivent pouvoir circuler. De la même manière qu’il y a un espace local en Amérique du Nord, par exemple, qui les rassemble eux.
C’est super de découvrir le monde, ok, mais je ne peux pas lancer un produit qui ne sera pas soutenable à terme. On doit changer nos habitudes et ça passe par des choix radicaux.
Comme celui de se passer de long-courrier. J’ai la conviction qu’on ne peut pas lancer une boîte qui pousse à l’hypercroissance, ce serait pousser à l’effondrement. On va essayer de ne pas aller trop loin, on va chercher un maillage de transports le plus éloigné possible des énergies fossiles.
Et on suit aussi la feuille de route du durable : redistribution des richesses, circuits courts, vrac, bio, zéro déchet, mesure d’empreinte carbone...
un calculateur d'empreinte carbone "maison"
TourMaG.com - Comment calculez-vous votre empreinte carbone ?
Stanislas Gruau : On a un calculateur dont le protocole est disponible et expliqué sur notre site. Il est validé par l’ADEME, d’abord à partir d’hypothèses que nous avons formulées, qui ont été affinées par les données réelles.
C’est un calcul de l’empreinte intégrale, qui reprend y compris ce qui n’est pas visible : la logistique, le transport du guide, etc.
Pour que ce soit lisible, on a créé une échelle de vertu carbone qui va de 1 à 5 feuilles, 5 étant la préconisation des Accords de Paris, c’est-à-dire 5 kg de CO2/jour. C’est ambitieux, mais c’est accessible, si le voyageur vient en train, en covoiturage, si la nourriture est en vrac et végétarienne…
C’est presque plus facile en voyage que dans la vraie vie. Quand on est en voyage, on s’autorise un niveau de rusticité. Mais c’est une bonne claque qui permet de se rendre compte à quel point on est loin de ce qu’on doit faire collectivement.
Le plus important, c'est de faire évoluer les gens. C’est la conduite du changement : pas par la contrainte, mais en les engageant et en ayant une ligne claire.
Stanislas Gruau : On a un calculateur dont le protocole est disponible et expliqué sur notre site. Il est validé par l’ADEME, d’abord à partir d’hypothèses que nous avons formulées, qui ont été affinées par les données réelles.
C’est un calcul de l’empreinte intégrale, qui reprend y compris ce qui n’est pas visible : la logistique, le transport du guide, etc.
Pour que ce soit lisible, on a créé une échelle de vertu carbone qui va de 1 à 5 feuilles, 5 étant la préconisation des Accords de Paris, c’est-à-dire 5 kg de CO2/jour. C’est ambitieux, mais c’est accessible, si le voyageur vient en train, en covoiturage, si la nourriture est en vrac et végétarienne…
C’est presque plus facile en voyage que dans la vraie vie. Quand on est en voyage, on s’autorise un niveau de rusticité. Mais c’est une bonne claque qui permet de se rendre compte à quel point on est loin de ce qu’on doit faire collectivement.
Le plus important, c'est de faire évoluer les gens. C’est la conduite du changement : pas par la contrainte, mais en les engageant et en ayant une ligne claire.
TourMaG.com - Oui, mais pour ça, il faut que les possibilités de transports en commun soient à la hauteur de vos besoins et ça n’est pas forcément le cas. Comment incitez-vous vos voyageurs à préférer le train ?
Stanislas Gruau : On n’est pas parfait, on a encore du chemin à faire et on a encore de l'avion, mais si on réduit chaque année, on peut y arriver.
En tous cas on s’en donne les moyens. Je ne dis pas que c’est simple, on essaie de faire du lobbying à Bercy parce qu’on a besoin d’infrastructures en face.
Outre la différence de prix qui est scandaleuse, beaucoup choisissent l’avion parce qu’il n’y a pas les moyens digitaux. Essayez de booker un trajet en train pour aller en Slovaquie ou en Croatie, c’est le parcours du combattant : un billet pour chaque changement, des différences de traitement entre les pays, c’est souvent mal traduit… Alors qu’en avion, en quelques clics et quelques minutes, c’est fait.
On subit ça aussi. On essaie de faciliter, de montrer les hubs, on donne des informations pratiques, on facilite les changements, on accompagne le process, mais c’est vrai que c’est compliqué.
D’autant qu’au sein d’un groupe, les gens viennent de partout en France et n’ont pas réservé au même moment : on doit attendre que tout le monde ait réservé pour parler de transport… On rend nos aventures accessibles via une gare, on favorise un maximum le covoiturage, on organise des navettes pour éviter la voiture individuelle, c’est un travail complexe.
C’est évident que c’est plus simple de brancher son agence sur une API, mais à quel prix ?
Stanislas Gruau : On n’est pas parfait, on a encore du chemin à faire et on a encore de l'avion, mais si on réduit chaque année, on peut y arriver.
En tous cas on s’en donne les moyens. Je ne dis pas que c’est simple, on essaie de faire du lobbying à Bercy parce qu’on a besoin d’infrastructures en face.
Outre la différence de prix qui est scandaleuse, beaucoup choisissent l’avion parce qu’il n’y a pas les moyens digitaux. Essayez de booker un trajet en train pour aller en Slovaquie ou en Croatie, c’est le parcours du combattant : un billet pour chaque changement, des différences de traitement entre les pays, c’est souvent mal traduit… Alors qu’en avion, en quelques clics et quelques minutes, c’est fait.
On subit ça aussi. On essaie de faciliter, de montrer les hubs, on donne des informations pratiques, on facilite les changements, on accompagne le process, mais c’est vrai que c’est compliqué.
D’autant qu’au sein d’un groupe, les gens viennent de partout en France et n’ont pas réservé au même moment : on doit attendre que tout le monde ait réservé pour parler de transport… On rend nos aventures accessibles via une gare, on favorise un maximum le covoiturage, on organise des navettes pour éviter la voiture individuelle, c’est un travail complexe.
C’est évident que c’est plus simple de brancher son agence sur une API, mais à quel prix ?
"la clé, c'est le sourcing"
TourMaG.com - Il y a aussi la question du vrac et du zéro déchet : comment favoriser ces pratiques dans le contexte du tourisme d’aventure ?
Stanislas Gruau : Ça ne concerne quasi que la nourriture. La clé, c’est le sourcing.
Pour les voyages en autonomie, nous commandons et acheminons de la nourriture bio en vrac via des partenaires comme Satoriz ou Bio c'Bon, qui remplissent des sacs en tissu, acheminés dans du carton.
La base est la même partout, ensuite le guide achète en local le jour J ou la veille. À l’international, on aimerait développer des partenariats similaires dans chaque pays.
On sélectionne aussi des refuges qui ont une démarche qui va dans notre sens : est-ce qu’ils utilisent des produits locaux, du bio, comment gèrent-t-ils leurs déchets… Là ça se vérifie avec l’expérience. C’est un peu comme les hypothèses pour l’empreinte carbone : c’est l’expérience qui nous dit si tel ou tel refuge respecte bien ses engagements.
Ça passe par le retour des participants, par les notes et les commentaires. D’ailleurs, on s’est déjà séparé de prestataires qui ne respectaient pas le cahier des charges suite aux remontées terrain. Les voyageurs, ce sont un peu les ambassadeurs de notre démarche. Je ne vais pas dire que ce sont des militants, mais bon, c’est une démarche collaborative et ils y sont attentifs.
Stanislas Gruau : Ça ne concerne quasi que la nourriture. La clé, c’est le sourcing.
Pour les voyages en autonomie, nous commandons et acheminons de la nourriture bio en vrac via des partenaires comme Satoriz ou Bio c'Bon, qui remplissent des sacs en tissu, acheminés dans du carton.
La base est la même partout, ensuite le guide achète en local le jour J ou la veille. À l’international, on aimerait développer des partenariats similaires dans chaque pays.
On sélectionne aussi des refuges qui ont une démarche qui va dans notre sens : est-ce qu’ils utilisent des produits locaux, du bio, comment gèrent-t-ils leurs déchets… Là ça se vérifie avec l’expérience. C’est un peu comme les hypothèses pour l’empreinte carbone : c’est l’expérience qui nous dit si tel ou tel refuge respecte bien ses engagements.
Ça passe par le retour des participants, par les notes et les commentaires. D’ailleurs, on s’est déjà séparé de prestataires qui ne respectaient pas le cahier des charges suite aux remontées terrain. Les voyageurs, ce sont un peu les ambassadeurs de notre démarche. Je ne vais pas dire que ce sont des militants, mais bon, c’est une démarche collaborative et ils y sont attentifs.
TourMaG.com - Ce mot, « militant », il fait parfois peur à certains. Mais vous, que mettez-vous derrière ?
Stanislas Gruau : C’est : de quelle manière et avec quelle force on va porter un message ?
Nous mettons notre énergie au bon endroit. On ne cherche pas convertir les 10 à 20 % d’irréductibles qui vont finir par disparaître parce que c’est le sens de l’histoire. Toute cette arrière-garde qui se confronte à tout ça et nous voit comme des activistes vert / vert foncé.
On ne s’y intéresse pas, on n’est pas dans les polémiques sur les réseaux sociaux : on s’affirme par l’action.
C’est un militantisme pragmatique : on a besoin de transparence, de précision, d’engagement. Et si je veux que tout ça ait un impact, il faut que ma boîte marche.
Il faut être précis sur ces sujets-là. L’écologie ça n’est pas une philosophie, ce sont des totaux de calculs d’empreinte carbone sur un fichier Excel.
Stanislas Gruau : C’est : de quelle manière et avec quelle force on va porter un message ?
Nous mettons notre énergie au bon endroit. On ne cherche pas convertir les 10 à 20 % d’irréductibles qui vont finir par disparaître parce que c’est le sens de l’histoire. Toute cette arrière-garde qui se confronte à tout ça et nous voit comme des activistes vert / vert foncé.
On ne s’y intéresse pas, on n’est pas dans les polémiques sur les réseaux sociaux : on s’affirme par l’action.
C’est un militantisme pragmatique : on a besoin de transparence, de précision, d’engagement. Et si je veux que tout ça ait un impact, il faut que ma boîte marche.
Il faut être précis sur ces sujets-là. L’écologie ça n’est pas une philosophie, ce sont des totaux de calculs d’empreinte carbone sur un fichier Excel.
Les Césars du Voyage Responsable
Rappelons que TourMaG et le Petit Futé organisent "Les Césars du Voyage Responsable".
Forts d’une audience mensuelle de plusieurs millions d’internautes, les deux titres assureront la promotion BtoBtoC des projets candidats.
Cet événement débutera en septembre 2022 avec la phase des votes qui durera jusqu'en février 2023.
La cérémonie des Césars du Voyage Responsable, quant à elle, aura lieu en mars 2023.
Si vous souhaitez candidater, prenez rendez-vous ci-dessous avec Fabien da Luz, DG associé de TourMaG.com.
A lire aussi : Césars du Voyage Responsable : “Il y a une urgence à agir dans notre métier…”
Forts d’une audience mensuelle de plusieurs millions d’internautes, les deux titres assureront la promotion BtoBtoC des projets candidats.
Cet événement débutera en septembre 2022 avec la phase des votes qui durera jusqu'en février 2023.
La cérémonie des Césars du Voyage Responsable, quant à elle, aura lieu en mars 2023.
Si vous souhaitez candidater, prenez rendez-vous ci-dessous avec Fabien da Luz, DG associé de TourMaG.com.
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