TourMaG.com enquêtait depuis quelque temps déjà sur l'étrange fonctionnement de la centrale de paiement T-B2B-C.
Une centrale utilisée, entre autres, par les 130 agences franchisées de Carlson Wagonlit ou encore le réseau Boiloris.
Une centrale qui multipliait les incidents de paiement, faisant le désespoir de certaines agences et tour-opérateurs.
Les retards de paiements et les faux litiges s’enchaînaient.
A tel point que de nombreux tour-opérateurs ont fini par couper le "robinet" et plus voulu travailler avec cet intermédiaire.
Kuoni a été le premier à tirer la sonnette d'alarme.
Dans un courrier adressé à un distributeur en octobre dernier, le TO rappelait que l'agent de voyages restait "juridiquement le seul responsable du paiement des factures".
Une centrale utilisée, entre autres, par les 130 agences franchisées de Carlson Wagonlit ou encore le réseau Boiloris.
Une centrale qui multipliait les incidents de paiement, faisant le désespoir de certaines agences et tour-opérateurs.
Les retards de paiements et les faux litiges s’enchaînaient.
A tel point que de nombreux tour-opérateurs ont fini par couper le "robinet" et plus voulu travailler avec cet intermédiaire.
Kuoni a été le premier à tirer la sonnette d'alarme.
Dans un courrier adressé à un distributeur en octobre dernier, le TO rappelait que l'agent de voyages restait "juridiquement le seul responsable du paiement des factures".
Le système en place était bien huilé
L’argent qui n’arrivait pas en temps et en heure chez les producteurs retardait d’autant le paiement de leurs fournisseurs.
Ne voyant pas les traites honorées, certains hôteliers s’inquiétaient de la santé de ces tour-opérateurs...
Eux mêmes regardaient d'un air suspicieux les agences qui assuraient la main sur le cœur avoir réglé leur dû.
Force est de reconnaître que le système en place était bien huilé.
Comme l'argent n'arrivait pas dans les caisses, les distributeurs étaient accusés de ne pas régler leurs factures alors même qu’ils avaient été débités par la centrale en temps et en heure !
De quoi pourrir la relation commerciale la plus harmonieuse…
Pourquoi ces dysfonctionnements ? Ont-ils été causés volontairement par la centrale de paiement ? Y-a-t-il eu détournement de fonds et par qui ?
Il est trop tôt, faute d'enquête, pour dire si le délit d'escroquerie est constitué.
Toujours est-il qu’une ex-employée qui aurait été accusée de détournement de fonds par le gérant de la centrale de paiement, Ronan O’Neill, a porté plainte en diffamation contre son ancien employeur.
Pour elle, le gérant de cette centrale aurait manqué de sérieux sur toute la ligne. Tout d’abord en affirmant que la centrale était une extension de l’entreprise italienne Média factoring.
Ne voyant pas les traites honorées, certains hôteliers s’inquiétaient de la santé de ces tour-opérateurs...
Eux mêmes regardaient d'un air suspicieux les agences qui assuraient la main sur le cœur avoir réglé leur dû.
Force est de reconnaître que le système en place était bien huilé.
Comme l'argent n'arrivait pas dans les caisses, les distributeurs étaient accusés de ne pas régler leurs factures alors même qu’ils avaient été débités par la centrale en temps et en heure !
De quoi pourrir la relation commerciale la plus harmonieuse…
Pourquoi ces dysfonctionnements ? Ont-ils été causés volontairement par la centrale de paiement ? Y-a-t-il eu détournement de fonds et par qui ?
Il est trop tôt, faute d'enquête, pour dire si le délit d'escroquerie est constitué.
Toujours est-il qu’une ex-employée qui aurait été accusée de détournement de fonds par le gérant de la centrale de paiement, Ronan O’Neill, a porté plainte en diffamation contre son ancien employeur.
Pour elle, le gérant de cette centrale aurait manqué de sérieux sur toute la ligne. Tout d’abord en affirmant que la centrale était une extension de l’entreprise italienne Média factoring.