Pour le moment, 187 salariés de TUI France et de l'ex-Transat France se portent candidats pour un départ volontaire, dans le cadre du plan ouvert par le groupe.
Tous les projets présentés à la commission de suivi de vendredi 21 juillet 2017 ont été validés. La prochaine commission se tiendra mercredi 26 juillet 2017.
Pour autant, toutes les candidatures ne sont pas encore bouclées. Selon Lazare Razkallah, secrétaire (CGT) du comité central d'entreprise (CCE) de TUI France, "40% des candidats sont en attente de remplaçants".
Ce sont des collaborateurs dont la catégorie socio-professionnelle (CSP) compte plus de volontaires que de postes ouverts au départ. Ceux qui ont le plus d'ancienneté sont sélectionnés en priorité dans ce cas de figure. Ce sont les autres à qui il faut aujourd'hui trouver des remplaçants.
Il appartient désormais à la commission de suivi "de veiller au bon déroulement des reclassements ou mobilités internes", prévient Lazare Razkallah.
Tous les projets présentés à la commission de suivi de vendredi 21 juillet 2017 ont été validés. La prochaine commission se tiendra mercredi 26 juillet 2017.
Pour autant, toutes les candidatures ne sont pas encore bouclées. Selon Lazare Razkallah, secrétaire (CGT) du comité central d'entreprise (CCE) de TUI France, "40% des candidats sont en attente de remplaçants".
Ce sont des collaborateurs dont la catégorie socio-professionnelle (CSP) compte plus de volontaires que de postes ouverts au départ. Ceux qui ont le plus d'ancienneté sont sélectionnés en priorité dans ce cas de figure. Ce sont les autres à qui il faut aujourd'hui trouver des remplaçants.
Il appartient désormais à la commission de suivi "de veiller au bon déroulement des reclassements ou mobilités internes", prévient Lazare Razkallah.
Précisions sur le recours du CCE
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Le secrétaire du CCE s'exprime dans un courrier adressé à l'ensemble des salariés de TUI France vendredi 21 juillet 2017. Il tente ainsi de répondre aux inquiétudes exprimées par les ex-Transat France qui souhaitent quitter la société.
LIRE : TUI France : les salariés de l'ex-Transat "pris en otage" par le secrétaire du CCE ?
Il y rappelle les missions du CCE, au premier rang desquelles "le maintien de vos emplois". Mais aussi la négociation des conditions de départ et veiller au bon fonctionnement de la procédure d'information-consultation.
Un dernier point sur lequel le "CCE a constaté de nombreuses irrégularités" non prises en compte par l'inspection du travail dans son homologation du plan de départs volontaires (PDV) qui porte sur 301 postes et envisage d'en créer 99 autres.
"C'est pourquoi, il est essentiel que vos représentants, dans l'intérêt des droits de tous les salariés, fassent respecter la conformité de la procédure", martèle le secrétaire du CCE.
Sur son intention de déposer un recours pour contester la décision de la Direccte, il explique qu'il n'aura lieu "que si le CCE, dans sa majorité, en décide ainsi après un vote favorable de la majorité des membres élus".
LIRE : TUI France : le CCE va contester le plan de départs volontaires devant le tribunal administratif
Selon Lazare Razkallah, "si la Direccte n'avait pas homologué le plan, c'est la direction qui aurait fait un recours".
Il termine ses explications en assurant que "le CCE et encore moins son secrétaire n'ont ni vocation ni le pouvoir, pas plus que la volonté, d'empêcher le départ des salariés qui souhaiteraient partir.
En effet, si un recours devait être diligenté et s'il aboutissait, les salariés qui auraient quitté l'entreprise ne seraient pas tenus de réintégrer TUI France."
LIRE : TUI France : les salariés de l'ex-Transat "pris en otage" par le secrétaire du CCE ?
Il y rappelle les missions du CCE, au premier rang desquelles "le maintien de vos emplois". Mais aussi la négociation des conditions de départ et veiller au bon fonctionnement de la procédure d'information-consultation.
Un dernier point sur lequel le "CCE a constaté de nombreuses irrégularités" non prises en compte par l'inspection du travail dans son homologation du plan de départs volontaires (PDV) qui porte sur 301 postes et envisage d'en créer 99 autres.
"C'est pourquoi, il est essentiel que vos représentants, dans l'intérêt des droits de tous les salariés, fassent respecter la conformité de la procédure", martèle le secrétaire du CCE.
Sur son intention de déposer un recours pour contester la décision de la Direccte, il explique qu'il n'aura lieu "que si le CCE, dans sa majorité, en décide ainsi après un vote favorable de la majorité des membres élus".
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Selon Lazare Razkallah, "si la Direccte n'avait pas homologué le plan, c'est la direction qui aurait fait un recours".
Il termine ses explications en assurant que "le CCE et encore moins son secrétaire n'ont ni vocation ni le pouvoir, pas plus que la volonté, d'empêcher le départ des salariés qui souhaiteraient partir.
En effet, si un recours devait être diligenté et s'il aboutissait, les salariés qui auraient quitté l'entreprise ne seraient pas tenus de réintégrer TUI France."