Les récents évènements qui ont perturbé la vie touristique à Tahiti pourraient signifier le début d'une "débâcle touristique sans précédent", comme l'écrivent noir sur blanc les professionnels de l'île, dans une lettre ouverte, jeudi 23 août 2012.
Adressée au gouvernement, aux représentants de l’assemblée et aux organisations syndicales, elle est signée des représentants d’institutions du tourisme*.
Ces derniers considèrent que la Polynésie est perçue comme "une destination soleil peu fiable" à cause d'une accumulation d'évènements (grève, coût d’accès très élevé, problèmes de visas, difficultés à structurer le produit et a en assurer la qualité, etc.).
Adressée au gouvernement, aux représentants de l’assemblée et aux organisations syndicales, elle est signée des représentants d’institutions du tourisme*.
Ces derniers considèrent que la Polynésie est perçue comme "une destination soleil peu fiable" à cause d'une accumulation d'évènements (grève, coût d’accès très élevé, problèmes de visas, difficultés à structurer le produit et a en assurer la qualité, etc.).
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Selon eux, les conséquences pourraient se traduire par l’anéantissement du travail de promotion et des budgets investis par les professionnels, le renforcement des destinations soleil concurrentes, les difficultés économiques du secteur, la nécessité de rassurer plutôt que de promouvoir et la baisse des recettes fiscales du pays.
Sollicitant l'aide du monde politique, ils préconisent de "définir le tourisme comme une priorité notamment en revoyant à la hausse pour 2013 le budget de promotion et d’animation de la destination, protéger et valoriser les richesses environnementales, rendre le ciel attractif et faciliter les flux intérieurs".
Mais aussi "pérenniser la rentabilité des entreprises touristiques, faire de Papeete une capitale culturelle et récréative du tourisme polynésien, valoriser et rentabiliser les sites touristiques, créer, planifier et pérenniser des évènements, garantir une qualité de service via la formation et la labellisation".
* l’Association des hôtels de famille de Tahiti et des îles (AHFTI), l’Union polynésienne de l’hôtellerie (UPHO), Intercontinental, Conseil des professionnels de l’hôtellerie (CPH), le syndicat des agences de voyage, la Fédération de l’hôtellerie indépendante, Tahiti Tourisme, la CGPME et le groupe Tahiti Nui Travel/
Sollicitant l'aide du monde politique, ils préconisent de "définir le tourisme comme une priorité notamment en revoyant à la hausse pour 2013 le budget de promotion et d’animation de la destination, protéger et valoriser les richesses environnementales, rendre le ciel attractif et faciliter les flux intérieurs".
Mais aussi "pérenniser la rentabilité des entreprises touristiques, faire de Papeete une capitale culturelle et récréative du tourisme polynésien, valoriser et rentabiliser les sites touristiques, créer, planifier et pérenniser des évènements, garantir une qualité de service via la formation et la labellisation".
* l’Association des hôtels de famille de Tahiti et des îles (AHFTI), l’Union polynésienne de l’hôtellerie (UPHO), Intercontinental, Conseil des professionnels de l’hôtellerie (CPH), le syndicat des agences de voyage, la Fédération de l’hôtellerie indépendante, Tahiti Tourisme, la CGPME et le groupe Tahiti Nui Travel/