Crise économique, rigueur budgétaire, accélération du rythme de vie... on a de plus en plus besoin de se faire "cocooner", de prendre soin de soi, de s'échapper le temps d'un spa ou d'une thalasso.
Brève pause, week-end ou semaine de break, les Français n'échappent pas à cette tendance.
Selon une étude Raffour pour l’agence Thalasseo.com, en 2011, ils étaient 9 millions à s'être laissé tenter par un soin bien-être au cours des 24 derniers mois, soit 1 adulte sur 7.
D'autant que le bien-être n'est plus un luxe réservé aux privilégiés qui peuvent se permettre de descendre dans des 4 et 5* ou encore débourser plus de 100 € pour un massage.
Non, aujourd'hui, le spa et la thalasso sont en voie de démocratisation.
Les 3* sont de plus en plus nombreux à proposer à leurs hôtes des espaces de détente, des fitness et des spas.
Même certains 2* s'y mettent. Bien sûr, peu proposent des installations très développées.
Il suffit souvent d'un bain bouillonnant ou d'un sauna, pour qu'ils s'accolent le titre de spa. Comme le FastHotel La Rochelle.
Par contre plus intéressant pour baisser la note finale d'un séjour bien-être en réduisant la facture hébergement, se loger dans des hôtels économiques ou moyen de gamme à proximité de centre de thalasso.
Thalassa Sea & Spa l'a d'ailleurs bien compris avec ses Ibis. Ou encore, dans l'hôtellerie indépendante, le Clos Joli qui propose des forfaits balnéo en se servant des installations thermales de Bagnoles-de-l'Orne.
Brève pause, week-end ou semaine de break, les Français n'échappent pas à cette tendance.
Selon une étude Raffour pour l’agence Thalasseo.com, en 2011, ils étaient 9 millions à s'être laissé tenter par un soin bien-être au cours des 24 derniers mois, soit 1 adulte sur 7.
D'autant que le bien-être n'est plus un luxe réservé aux privilégiés qui peuvent se permettre de descendre dans des 4 et 5* ou encore débourser plus de 100 € pour un massage.
Non, aujourd'hui, le spa et la thalasso sont en voie de démocratisation.
Les 3* sont de plus en plus nombreux à proposer à leurs hôtes des espaces de détente, des fitness et des spas.
Même certains 2* s'y mettent. Bien sûr, peu proposent des installations très développées.
Il suffit souvent d'un bain bouillonnant ou d'un sauna, pour qu'ils s'accolent le titre de spa. Comme le FastHotel La Rochelle.
Par contre plus intéressant pour baisser la note finale d'un séjour bien-être en réduisant la facture hébergement, se loger dans des hôtels économiques ou moyen de gamme à proximité de centre de thalasso.
Thalassa Sea & Spa l'a d'ailleurs bien compris avec ses Ibis. Ou encore, dans l'hôtellerie indépendante, le Clos Joli qui propose des forfaits balnéo en se servant des installations thermales de Bagnoles-de-l'Orne.
Les concepts low-cost
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Autre phénomène de la vague spa qui déferle en occident : le bien-être à bas prix. Pas un jour sans que ma boîte emails soit abreuvée par les newsletters de sites de ventes groupées proposant une heure de massage à 19 €, une journée au spa à 60€ et j'en passe.
Mais il ne faut pas s'y tromper. Ces offres sont souvent une opération promotionnelle avec des réductions pouvant dépasser les 60%... histoire de se faire connaître.
La seule façon de faire du bien-être à petit prix passe bien sûr par une réduction des coûts... donc de la main d’œuvre.
Les concepts "low-cost" que l'on voit éclore - comme Zen - le bar à sieste à Paris - et les spas Tera ' Chi dans la capitale et plusieurs villes de province. Pour proposer des massages d'une heure à 28 €, ils ont remplacé masseurs et masseuses par des fauteuils "apesanteur" ou des lits shiatsu.
Et lorsque les deux offres - machine et thérapeute - co-existent la différence de prix est flagrante : 25 €, la demi-heure de matelas hydrojet, à partir de 65 €.
Le massage traditionnel, Massäg & Aesthetic, pour sa part, fait varier les prix selon qu'on est en heure creuse ou pleine : 55 € dans le premier cas, 75 € dans le second pour une heure de massage traditionnel.
Attention, les vrais amateurs de massage ne seront pas convaincus par ces machines.
Mieux vaut les orienter, s'ils ont un petit budget, vers des établissements qui facturent les soins à la minute. On peut ainsi aller chez Easy Spa à Montpellier ou dans un Passage Bleu, que l'on trouve désormais aux quatre coins du pays.
Mais il ne faut pas s'y tromper. Ces offres sont souvent une opération promotionnelle avec des réductions pouvant dépasser les 60%... histoire de se faire connaître.
La seule façon de faire du bien-être à petit prix passe bien sûr par une réduction des coûts... donc de la main d’œuvre.
Les concepts "low-cost" que l'on voit éclore - comme Zen - le bar à sieste à Paris - et les spas Tera ' Chi dans la capitale et plusieurs villes de province. Pour proposer des massages d'une heure à 28 €, ils ont remplacé masseurs et masseuses par des fauteuils "apesanteur" ou des lits shiatsu.
Et lorsque les deux offres - machine et thérapeute - co-existent la différence de prix est flagrante : 25 €, la demi-heure de matelas hydrojet, à partir de 65 €.
Le massage traditionnel, Massäg & Aesthetic, pour sa part, fait varier les prix selon qu'on est en heure creuse ou pleine : 55 € dans le premier cas, 75 € dans le second pour une heure de massage traditionnel.
Attention, les vrais amateurs de massage ne seront pas convaincus par ces machines.
Mieux vaut les orienter, s'ils ont un petit budget, vers des établissements qui facturent les soins à la minute. On peut ainsi aller chez Easy Spa à Montpellier ou dans un Passage Bleu, que l'on trouve désormais aux quatre coins du pays.