Hormis la zone centrale d'Ayuthaya qui a été perturbée la semaine dernière, tous les sites touristiques sont ouverts et sans danger. Photo DR
"Seulement 15% du territoire thaïlandais est concerné par les inondations, martèle Christine Crispin, PDG de Climats du Monde.
Je reviens de 3 semaines en Thaïlande, où je me suis rendue partout, notamment à Bangkok, où je viens de passer 8 jours dans un hôtel au bord du fleuve Chao Phraya, sans voir aucune inondation, ni même une flaque d'eau".
Chez Climats du Monde, comme chez Visiteurs ou Asia, le discours est unanime : hormis la zone centrale d'Ayuthaya qui a été perturbée la semaine dernière, tous les sites touristiques sont ouverts et sans danger.
"Nous ne comptons aucune annulation sur la période, précise Christine Crispin, parmi les 200 personnes sur place en ce moment même. La seule modification de programme a eu lieu la semaine dernière sur ce fameux site d'Ayuthaya, inaccessible alors, que nous avons remplacé par une autre visite".
Je reviens de 3 semaines en Thaïlande, où je me suis rendue partout, notamment à Bangkok, où je viens de passer 8 jours dans un hôtel au bord du fleuve Chao Phraya, sans voir aucune inondation, ni même une flaque d'eau".
Chez Climats du Monde, comme chez Visiteurs ou Asia, le discours est unanime : hormis la zone centrale d'Ayuthaya qui a été perturbée la semaine dernière, tous les sites touristiques sont ouverts et sans danger.
"Nous ne comptons aucune annulation sur la période, précise Christine Crispin, parmi les 200 personnes sur place en ce moment même. La seule modification de programme a eu lieu la semaine dernière sur ce fameux site d'Ayuthaya, inaccessible alors, que nous avons remplacé par une autre visite".
Bangkok n'est pas sous l'eau
Même topo chez Visiteurs. "Le mois d’octobre en Thaïlande est toujours synonyme de mousson, les clients le savent et il ne s'agit pas de la plus haute saison de l'année, commente Patricia Bessac, responsable des réservations individuelles du TO.
Bien sûr, cette année, il y a eu beaucoup plus de pluie. Mais ce qu'ont oublié de mentionner les médias concernant la région d' Ayuthaya - la seule touchée pour le tourisme - c'est qu'un barrage s'est également effondré la semaine dernière un peu plus au nord. Les fortes pluies ne sont pas l'unique cause de cette situation".
Chez Visiteurs, sur la trentaine de clients prévus au départ le 19 octobre dernier, tous sont partis. Côté groupe, un seul voyage a été reporté sur 6 groupes prévus.
"Bangkok n'est pas sous l'eau, comme on nous le fait penser dans les médias, mais seulement une partie de la banlieue de la capitale".
"Nous surveillons la situation de près, précise Jean-Paul Chantraine, le président d’Asia, en particulier les 28 et 29 octobre, date des prochaines marées.
Mais la quasi-totalité de nos voyages sont assurés, puisque hormis la zone de la plaine centrale, Bangkok, le Triangle d'Or et la zone balnéaire fonctionnent.
Nous aménageons donc le programme s'il le faut et nous pensons reporter ou modifier seulement un circuit début novembre, car il est axé principalement sur le centre du pays".
Bien sûr, cette année, il y a eu beaucoup plus de pluie. Mais ce qu'ont oublié de mentionner les médias concernant la région d' Ayuthaya - la seule touchée pour le tourisme - c'est qu'un barrage s'est également effondré la semaine dernière un peu plus au nord. Les fortes pluies ne sont pas l'unique cause de cette situation".
Chez Visiteurs, sur la trentaine de clients prévus au départ le 19 octobre dernier, tous sont partis. Côté groupe, un seul voyage a été reporté sur 6 groupes prévus.
"Bangkok n'est pas sous l'eau, comme on nous le fait penser dans les médias, mais seulement une partie de la banlieue de la capitale".
"Nous surveillons la situation de près, précise Jean-Paul Chantraine, le président d’Asia, en particulier les 28 et 29 octobre, date des prochaines marées.
Mais la quasi-totalité de nos voyages sont assurés, puisque hormis la zone de la plaine centrale, Bangkok, le Triangle d'Or et la zone balnéaire fonctionnent.
Nous aménageons donc le programme s'il le faut et nous pensons reporter ou modifier seulement un circuit début novembre, car il est axé principalement sur le centre du pays".
Le report proposé en cas de nécessité
En attendant, les TO se réfèrent au Quai d'Orsay, qui conseille simplement la prudence aux voyageurs et à leurs équipes sur place.
"Si le moindre risque se présente, nous proposerons le report, assure Christine Crispin. Mais pour l'instant, nous évaluons la situation au jour le jour. D'autant plus que les vols ne sont pas suspendus".
Côte ventes, un ralentissement a été perçu depuis samedi chez Climats du Monde, sur les ventes de dernière minute, mais celles pour le plein hiver ne sont pas du tout affectées. "Bien au contraire, elles sont à + 47% entre décembre et avril 2012, s'enthousiasme Christine Crispin.
Il est simplement regrettable que les photos et les vidéos qui apparaissent dans les médias présentent la situation comme étant générale, en nous montrant par exemple, l'aéroport de Don Mueang sous les eaux, alors qu'il n'est utilisé ni pour les vols internationaux, ni pour les vols domestiques à destination des stations balnéaires."
A bon entendeur...
"Si le moindre risque se présente, nous proposerons le report, assure Christine Crispin. Mais pour l'instant, nous évaluons la situation au jour le jour. D'autant plus que les vols ne sont pas suspendus".
Côte ventes, un ralentissement a été perçu depuis samedi chez Climats du Monde, sur les ventes de dernière minute, mais celles pour le plein hiver ne sont pas du tout affectées. "Bien au contraire, elles sont à + 47% entre décembre et avril 2012, s'enthousiasme Christine Crispin.
Il est simplement regrettable que les photos et les vidéos qui apparaissent dans les médias présentent la situation comme étant générale, en nous montrant par exemple, l'aéroport de Don Mueang sous les eaux, alors qu'il n'est utilisé ni pour les vols internationaux, ni pour les vols domestiques à destination des stations balnéaires."
A bon entendeur...