Il n’y a pas si longtemps, Denis Wathier, président de la filiale du Groupe et croque marmot de service, clamait qu’il visait, qu'il voulait (exigeait ?) le leadership en France.
Il voulait être le premier réseau de distribution français, ferraillait dur avec AS Voyages à propos des agences Jet tours, mettait à genoux ses franchisés en leur imposant des taux de vente draconiens, quittait le Snav pour créer l’Udiv et rêvait d’une Fédération des professionnels du tourisme dont il tirerait les ficelles.
Pour corser le tout, en août 2011, il donnait l’ordre de taxer d’office les tour opérateurs d’1,5 point de commission supplémentaire.
Il voulait être le premier réseau de distribution français, ferraillait dur avec AS Voyages à propos des agences Jet tours, mettait à genoux ses franchisés en leur imposant des taux de vente draconiens, quittait le Snav pour créer l’Udiv et rêvait d’une Fédération des professionnels du tourisme dont il tirerait les ficelles.
Pour corser le tout, en août 2011, il donnait l’ordre de taxer d’office les tour opérateurs d’1,5 point de commission supplémentaire.
Puis, la roche tarpéienne étant toujours près du Capitole, a commencé la longue et lente descente aux enfers.
Le Printemps arabe est venu mettre fin aux rêves mégalomanes du PDG irascible, balayé par des actionnaires excédés.
Il a fallu faire des économies, créer un call center pour Jet tours en Tunisie puis le rapatrier pour cause d’échec retentissant...
Aujourd’hui, le Groupe en grande difficulté ne veut pas, ne veut plus d’une filiale qu’il traîne comme un boulet et qui pourrait l’envoyer par le fond.
Frank Meysman, patron de Thomas Cook est très clair : vendre ou redresser si on ne parvient pas à vendre...
L'affaire vient juste de commencer mais... quel gâchis !
Le Printemps arabe est venu mettre fin aux rêves mégalomanes du PDG irascible, balayé par des actionnaires excédés.
Il a fallu faire des économies, créer un call center pour Jet tours en Tunisie puis le rapatrier pour cause d’échec retentissant...
Aujourd’hui, le Groupe en grande difficulté ne veut pas, ne veut plus d’une filiale qu’il traîne comme un boulet et qui pourrait l’envoyer par le fond.
Frank Meysman, patron de Thomas Cook est très clair : vendre ou redresser si on ne parvient pas à vendre...
L'affaire vient juste de commencer mais... quel gâchis !
Autres articles
-
Affaire Marsans : la condamnation de Thomas Cook confirmée en Cour d'Appel
-
Thomas Cook France : le CCE rejette le PSE et dénonce la "provocation" faite aux salariés
-
Smartbox : Denis Wathier déplore les ventes en chute libre dans les agences de voyages
-
Thomas Cook France : "plutôt vendre que redresser" indique le président du groupe
-
Sondage : ‘’Thomas Cook, croyez-vous à la relance en France ?’’