Interrogé sur l’avenir des deux activités en difficulté, la France et le Canada, la réponse de Frank Meysman est claire : « sell it or fix it », traduisez « vendez ou redressez l‘entreprise.» /photo DR
Le Belge Frank Meysman qui a pris la présidence du groupe britannique Thomas Cook l’année dernière a dressé un premier bilan du travail accompli.
Dans une interview au quotidien Daily Telegraph à la veille de la publication des résultats semestriels, il verrait bien les activités françaises vendues plutôt que de devoir les redresser.
Si l'on en croit le Pdg, le groupe Thomas Cook est sur le chemin de la guérison.
A mi-chemin plus exactement, avec les différentes actions déjà réalisées : renégociation des lignes de crédit avec les banques, ventes de différents actifs en Inde, recrutement dernièrement d’un directeur général, restructuration de l’activité en Grande-Bretagne.
Par ailleurs, la vente des 17 appareils Condor sera soumise cette semaine à l'approbation des actionnaires.
Dans une interview au quotidien Daily Telegraph à la veille de la publication des résultats semestriels, il verrait bien les activités françaises vendues plutôt que de devoir les redresser.
Si l'on en croit le Pdg, le groupe Thomas Cook est sur le chemin de la guérison.
A mi-chemin plus exactement, avec les différentes actions déjà réalisées : renégociation des lignes de crédit avec les banques, ventes de différents actifs en Inde, recrutement dernièrement d’un directeur général, restructuration de l’activité en Grande-Bretagne.
Par ailleurs, la vente des 17 appareils Condor sera soumise cette semaine à l'approbation des actionnaires.
Franck Meysman rappelle son credo : toute entreprise doit être rentable
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Interrogé sur l’avenir des deux activités en difficulté, la France et le Canada, la réponse de Frank Meysman est claire : « sell it or fix it », traduisez « vendez ou redressez l‘entreprise. »
Et il précise bien l‘ordre de la recommandation: « l’option n’est pas redressez ou vendez, mais plutôt vendez ou redressez ».
Autrement dit, Thomas Cook va d’abord chercher à vendre ses activités françaises et si aucun acheteur ne se présente, il faudra alors tenter de redresser l’entreprise.
Car Franck Meysman rappelle son credo : toute entreprise doit être rentable.
Mais le président du groupe indique aussi qu’il n’est pas question de vendre dans la précipitation. Autrement dit, Yves Martin, recruté récemment pour une « mission », a un peu de temps devant lui pour la réaliser…
Et il précise bien l‘ordre de la recommandation: « l’option n’est pas redressez ou vendez, mais plutôt vendez ou redressez ».
Autrement dit, Thomas Cook va d’abord chercher à vendre ses activités françaises et si aucun acheteur ne se présente, il faudra alors tenter de redresser l’entreprise.
Car Franck Meysman rappelle son credo : toute entreprise doit être rentable.
Mais le président du groupe indique aussi qu’il n’est pas question de vendre dans la précipitation. Autrement dit, Yves Martin, recruté récemment pour une « mission », a un peu de temps devant lui pour la réaliser…