Si vous ne payez pas les surcharges fuel ça peut vous coûter votre licence, explique ce policier. En ira-t-il de même bientôt en France ?
L’agent de voyages de Papa a vécu ! Adieu brochures aux photos aguichantes langoureusement imprimées sur papier glacé.
C’est désormais Bloomberg TV qui s’affichera 24h/24 sur les écrans plasma des agences, scrutés avec anxiété par vendeurs et clients accros au cours du Brent !
Les agences de voyages sont en train de supplanter les pompistes et en passe de leur ravir la palme du meilleur vendeur de carburant.
De leur coté, les TO deviendront de véritables courtiers en carburants et nul doute que certains, soucieux de raccourcir les circuits de distribution, n’hésiteront pas à investir dans une raffinerie pétrolière (pour les usines à gaz, il suffit de consulter certaines grilles tarifaires ou certaines conditions particulières de vente pour constater que le créneau est occupé depuis longtemps…merci !)
Si l’on en croit le professeur C.- I. Neluktab, expert en certitudes en tout genre, le processus est enclenché et rien ne pourra l’arrêter : l’agent de voyages de demain sera « pompiste-percepteur de taxes » ou ne sera pas ! Qu’on se le dise, toute la profession est condamnée !
C’est désormais Bloomberg TV qui s’affichera 24h/24 sur les écrans plasma des agences, scrutés avec anxiété par vendeurs et clients accros au cours du Brent !
Les agences de voyages sont en train de supplanter les pompistes et en passe de leur ravir la palme du meilleur vendeur de carburant.
De leur coté, les TO deviendront de véritables courtiers en carburants et nul doute que certains, soucieux de raccourcir les circuits de distribution, n’hésiteront pas à investir dans une raffinerie pétrolière (pour les usines à gaz, il suffit de consulter certaines grilles tarifaires ou certaines conditions particulières de vente pour constater que le créneau est occupé depuis longtemps…merci !)
Si l’on en croit le professeur C.- I. Neluktab, expert en certitudes en tout genre, le processus est enclenché et rien ne pourra l’arrêter : l’agent de voyages de demain sera « pompiste-percepteur de taxes » ou ne sera pas ! Qu’on se le dise, toute la profession est condamnée !
Oui, il fallait oser mettre les pieds dans le plat !
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Toute ? Non, car un groupe d’irréductibles distributeurs résiste et se lève bien décidé à changer le cours de l’histoire… à défaut de changer celui du baril de pétrole. N’aie pas peur Petit Poucet-agent de voyages, ce n’était qu’un mauvais rêve ! Rendors-toi sans crainte, l’Alliance T est là qui vient te sauver !
On a envie de dire « il était temps ! » mais parce qu’on a une vraie tendresse – c’est génétique, sans doute – pour les rebelles et les empêcheurs de penser en rond de tous poils, on ne le dira pas.
Oui, il fallait le faire ! Oui, il fallait oser mettre les pieds dans le plat et croyez-moi, dans certains cas, il vaut mieux y mettre les pieds que la fourchette… si vous voyez ce que je veux dire…
Bien sûr, certains esprits chagrins ne manqueront pas de faire remarquer qu’une fois encore (de plus ? de trop ?) c’est un groupement commercial qui est monté au créneau là où on était en droit d’attendre une action collective institutionnelle et, en toute mauvaise foi, on ne peux les en blâmer.
Pour ne rien vous cacher, on rêve même secrètement d’un débat (combat ?) autour des surcharges carburants entre le Conseil des Distributeurs et le Conseil des Producteurs avec, dans le rôle de l’arbitre impartial, le Président du SNAV… mais de l’utopie à la réalité, il y a un gouffre… qu’on ne franchira pas !
On a envie de dire « il était temps ! » mais parce qu’on a une vraie tendresse – c’est génétique, sans doute – pour les rebelles et les empêcheurs de penser en rond de tous poils, on ne le dira pas.
Oui, il fallait le faire ! Oui, il fallait oser mettre les pieds dans le plat et croyez-moi, dans certains cas, il vaut mieux y mettre les pieds que la fourchette… si vous voyez ce que je veux dire…
Bien sûr, certains esprits chagrins ne manqueront pas de faire remarquer qu’une fois encore (de plus ? de trop ?) c’est un groupement commercial qui est monté au créneau là où on était en droit d’attendre une action collective institutionnelle et, en toute mauvaise foi, on ne peux les en blâmer.
Pour ne rien vous cacher, on rêve même secrètement d’un débat (combat ?) autour des surcharges carburants entre le Conseil des Distributeurs et le Conseil des Producteurs avec, dans le rôle de l’arbitre impartial, le Président du SNAV… mais de l’utopie à la réalité, il y a un gouffre… qu’on ne franchira pas !