Le quai d’Orsay a levé vendredi dernier les restrictions de voyage vers les grands sites touristiques égyptiens.
Pas trop tôt diront certains professionnels.
« Le ministère prend trop de précautions » renchérit Amin Salama, le directeur de Tour Indicom.
En effet, mis à part quelques manifestations, la Mer Rouge est restée très sûre pour les touristes.
Tour Indicom reprend donc son activité balnéaire, mais également ses croisières sur le Nil.
«Concernant le Caire et Alexandrie, nous attendront de voir l’évolution de la situation début mars » assure Amin Salama.
Pas trop tôt diront certains professionnels.
« Le ministère prend trop de précautions » renchérit Amin Salama, le directeur de Tour Indicom.
En effet, mis à part quelques manifestations, la Mer Rouge est restée très sûre pour les touristes.
Tour Indicom reprend donc son activité balnéaire, mais également ses croisières sur le Nil.
«Concernant le Caire et Alexandrie, nous attendront de voir l’évolution de la situation début mars » assure Amin Salama.
Des pertes limitées par les reports
L’Egypte représente près de 20% de son chiffre d’affaires pour 7000 à 10 000 passagers par an. Il organise un départ par semaine, sans compter les vols avec Egyptair.
Pour l’instant il se refuse à évaluer précisément le préjudice financier de cette crise. D’autant plus que ses marges sur la destination sont très importantes.
Mais par chance, seul 10 à 15% des voyageurs ont décidé d’annuler leur séjour. Les autres se sont reportés sur une des autres destinations du TO, notamment la Croatie, Madère et la Norvège.
Amin Salama assure que la couverture médiatique des évènements et l’embrassement de la région n’empêcheront pas les touristes de revenir. « Nous avons l’habitude en Egypte, une année on travaille bien, la suivante un peu moins ».
Il a déjà des nouvelles demandes de devis, mais aucune confirmation. « Le printemps est fini mais nous nous rattraperons sur les vacances de Pâques et sur l’été ».
En attendant, les visiteurs peuvent partir en toute quiétude sur les rives du Nil ou la Mer Rouge.
Pour l’instant il se refuse à évaluer précisément le préjudice financier de cette crise. D’autant plus que ses marges sur la destination sont très importantes.
Mais par chance, seul 10 à 15% des voyageurs ont décidé d’annuler leur séjour. Les autres se sont reportés sur une des autres destinations du TO, notamment la Croatie, Madère et la Norvège.
Amin Salama assure que la couverture médiatique des évènements et l’embrassement de la région n’empêcheront pas les touristes de revenir. « Nous avons l’habitude en Egypte, une année on travaille bien, la suivante un peu moins ».
Il a déjà des nouvelles demandes de devis, mais aucune confirmation. « Le printemps est fini mais nous nous rattraperons sur les vacances de Pâques et sur l’été ».
En attendant, les visiteurs peuvent partir en toute quiétude sur les rives du Nil ou la Mer Rouge.