Les projections de flux aériens vers Paris en février et mars 2022 font état d'une hausse de + 340,7 % à date par rapport à 2021 et - 52,5 % par rapport à 2019. Depositphotos Auteur revoc9
L'Office du Tourisme et des Congrès de Paris vient de publier son baromètre du tourisme parisien, qui fait état de perspectives encourageantes pour le 1er semestre 2022.
Les projections de flux aériens vers Paris en février et mars 2022 font état d'une hausse de + 340,7 % à date par rapport à 2021 et - 52,5 % par rapport à 2019.
La capacité aérienne suit la même la courbe : elle est en hausse de + 197,3 % par rapport à 2021 et en recul de - 20,2 % par rapport à 2019. Le nombre de sièges des compagnies low cost est en légère hausse par rapport à 2019 (+ 1,6 %).
Il est également à noter que le volume de recherches « Hotel Paris » est en hausse de + 7,3 points entre le 1er et le 20 janvier 2022 par rapport à la période du 1er au 20 décembre 2021 (index 100).
L'OTCP précise que les volumes de réservation pour Paris ne se sont pas effondrés avec le variant Omicron.
Les projections de flux aériens vers Paris en février et mars 2022 font état d'une hausse de + 340,7 % à date par rapport à 2021 et - 52,5 % par rapport à 2019.
La capacité aérienne suit la même la courbe : elle est en hausse de + 197,3 % par rapport à 2021 et en recul de - 20,2 % par rapport à 2019. Le nombre de sièges des compagnies low cost est en légère hausse par rapport à 2019 (+ 1,6 %).
Il est également à noter que le volume de recherches « Hotel Paris » est en hausse de + 7,3 points entre le 1er et le 20 janvier 2022 par rapport à la période du 1er au 20 décembre 2021 (index 100).
L'OTCP précise que les volumes de réservation pour Paris ne se sont pas effondrés avec le variant Omicron.
Des perspectives intéressantes s’ouvrent avec la levée des restrictions
Sans encore revenir à des niveaux pré-pandémiques, des perspectives intéressantes s’ouvrent avec la levée des restrictions. Le report de salons prévus ces derniers mois (Maison&Objet, Museum Connexions, etc.) contribuera à dynamiser l’activité de la destination à la fin du trimestre.
Les marchés européens manifestent leur intérêt pour les événements (le match de rugby France – Angleterre, le 19 mars, attire les Britanniques) et les ponts, avec de premiers pics de réservations pour les week-ends de Pâques (le 17 avril) et l’Ascension (le 26 mai).
Les marchés britannique et espagnol sont aujourd’hui les plus réactifs ; le marché allemand reste en retrait. Le marché brésilien montre des signes de reprise. Les réservations américaines, comparables à celles de novembre, tardent encore à repartir à la hausse.
Les marchés européens manifestent leur intérêt pour les événements (le match de rugby France – Angleterre, le 19 mars, attire les Britanniques) et les ponts, avec de premiers pics de réservations pour les week-ends de Pâques (le 17 avril) et l’Ascension (le 26 mai).
Les marchés britannique et espagnol sont aujourd’hui les plus réactifs ; le marché allemand reste en retrait. Le marché brésilien montre des signes de reprise. Les réservations américaines, comparables à celles de novembre, tardent encore à repartir à la hausse.