En janvier, l'OMT avait indiqué qu'en nombre d'arrivées de touristes, la hausse en 2004 était de 10% par rapport à 2003, avec 760 millions d'arrivées, malgré une contre-performance de la zone Europe.
Dans un entretien téléphonique avec l'AFP, M. Frangialli a indiqué qu'en 2004, selon des chiffres qui seront publiés la semaine prochaine par l'OMT dans son prochain baromètre, "les recettes touristiques mondiales ont été en hausse de 13,5%, à 620 milliards de dollars".
En janvier, l'OMT avait indiqué qu'en nombre d'arrivées de touristes, la hausse en 2004 était de 10% par rapport à 2003, avec 760 millions d'arrivées, malgré une contre-performance de la zone Europe.
"Nous ne pouvons espérer une telle hausse en 2005. C'est impossible deux années de suite. Mais je ne serais pas surpris d'une croissance de 5%, 6%, ou 7%", a déclaré M. Frangialli.
Selon lui, l'impact de la hausse du pétrole devrait être relativisé du fait que "depuis trois ou quatre ans le coût du pétrole n'est pas déterminant en matière de voyage". "La proportion du prix du transport s'est réduite dans les forfaits touristiques", dit-il.
De même, selon lui, "les avions consomment moins" et "la fragmentation des séjours favorise les loisirs de proximité".
"Les obstacles au voyage, aujourd'hui, ne sont pas tellement d'ordre économique, mais tiennent à la sécurité, aux conditions d'attribution de visas et aux contrôles aux frontières, etc.", a-t-il ajouté.
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
En janvier, l'OMT avait indiqué qu'en nombre d'arrivées de touristes, la hausse en 2004 était de 10% par rapport à 2003, avec 760 millions d'arrivées, malgré une contre-performance de la zone Europe.
"Nous ne pouvons espérer une telle hausse en 2005. C'est impossible deux années de suite. Mais je ne serais pas surpris d'une croissance de 5%, 6%, ou 7%", a déclaré M. Frangialli.
Selon lui, l'impact de la hausse du pétrole devrait être relativisé du fait que "depuis trois ou quatre ans le coût du pétrole n'est pas déterminant en matière de voyage". "La proportion du prix du transport s'est réduite dans les forfaits touristiques", dit-il.
De même, selon lui, "les avions consomment moins" et "la fragmentation des séjours favorise les loisirs de proximité".
"Les obstacles au voyage, aujourd'hui, ne sont pas tellement d'ordre économique, mais tiennent à la sécurité, aux conditions d'attribution de visas et aux contrôles aux frontières, etc.", a-t-il ajouté.
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com