Au premier semestre (1er novembre 2012-30 avril 2013), le groupe Transat A.T. a enregistré une amélioration de ses performances financières par rapport à la même période un an plus tôt.
Ainsi, la perte d’exploitation avant amortissement et charge de restructuration se limite à 18,3 millions de dollars canadiens (13,5 millions d’euros) contre 58 millions de dollars (42,9 millions d’euros) canadiens au premier semestre 2011-2012.
Sur la même période, le groupe canadien a vu sa perte nette passer de 42,7 millions de dollars canadiens (31,6 millions d’euros) à 37,9 millions de dollars canadiens (28 millions d’euros) pour un chiffre d’affaires (CA) de 1,9 milliard de dollars canadiens (1,4 milliard d’euros) au premier semestre 2012-2013.
Le CA concède une baisse de 100 millions de dollars canadiens (73,9 millions d’euros). Un recul que la direction explique par sa décision de réduire la capacité sur ses marchés. Ce qui a généré une diminution du nombre de voyageurs de 13,7 %.
L’activité a ralenti en Europe (-11,6 %) plus que dans les filiales Nord-Américaines du groupe (-5,4 %).
Pour la France, il note que, par rapport à la même date en 2012, les ventes moyen-courriers sont "légèrement en avance" alors que les réservations long-courriers "accusent un léger retard". Quant aux prix, ils sont, eux, "légèrement supérieurs".
Ainsi, la perte d’exploitation avant amortissement et charge de restructuration se limite à 18,3 millions de dollars canadiens (13,5 millions d’euros) contre 58 millions de dollars (42,9 millions d’euros) canadiens au premier semestre 2011-2012.
Sur la même période, le groupe canadien a vu sa perte nette passer de 42,7 millions de dollars canadiens (31,6 millions d’euros) à 37,9 millions de dollars canadiens (28 millions d’euros) pour un chiffre d’affaires (CA) de 1,9 milliard de dollars canadiens (1,4 milliard d’euros) au premier semestre 2012-2013.
Le CA concède une baisse de 100 millions de dollars canadiens (73,9 millions d’euros). Un recul que la direction explique par sa décision de réduire la capacité sur ses marchés. Ce qui a généré une diminution du nombre de voyageurs de 13,7 %.
L’activité a ralenti en Europe (-11,6 %) plus que dans les filiales Nord-Américaines du groupe (-5,4 %).
Pour la France, il note que, par rapport à la même date en 2012, les ventes moyen-courriers sont "légèrement en avance" alors que les réservations long-courriers "accusent un léger retard". Quant aux prix, ils sont, eux, "légèrement supérieurs".