
L'homme de 64 ans a connu moult inspections avant d'obtenir ses cartes d'embarquement, étant régulièrement conduit à part pour des fouilles répétées.
John Smith, un citoyen irlandais résidant permanent au Canada, a appris les inconvénients de porter l'un des noms les plus répandus sur le continent nord-américain lorsque les autorités canadiennes et américaines ont commencé à s'intéresser à son dossier à la suite d'un voyage au Montana (nord-ouest) en juillet, a-t-il indiqué à l'AFP.
Depuis lors, l'homme de 64 ans a connu moult inspections avant d'obtenir ses cartes d'embarquement, étant régulièrement conduit à part pour des fouilles répétées.
"Ils vous donnent des ordres comme si vous étiez un animal. C'est dégradant", a déploré M. Smith qui ne plus vouloir prendre l'avion afin d'échapper à "toutes ces tracasseries".
Le prêtre établi sur la côte ouest canadienne a multiplié les plaintes auprès des ambassades des Etats-Unis et d'Irlande, ainsi que de compagnies aériennes et du bureau américain de la sécurité du transport, mais sans succès.
"Il y a une personne qui porte le même nom et qui est un terroriste connu ou présumé. Il s'agit d'un nom répandu. Dès lors, plusieurs personnes peuvent être confrontées à une telle situation pendant qu'elles tentent d'obtenir leur carte d'embarquement", a déclaré une porte-parole du bureau américain du transport, Jennifer Peppin.
Depuis lors, l'homme de 64 ans a connu moult inspections avant d'obtenir ses cartes d'embarquement, étant régulièrement conduit à part pour des fouilles répétées.
"Ils vous donnent des ordres comme si vous étiez un animal. C'est dégradant", a déploré M. Smith qui ne plus vouloir prendre l'avion afin d'échapper à "toutes ces tracasseries".
Le prêtre établi sur la côte ouest canadienne a multiplié les plaintes auprès des ambassades des Etats-Unis et d'Irlande, ainsi que de compagnies aériennes et du bureau américain de la sécurité du transport, mais sans succès.
"Il y a une personne qui porte le même nom et qui est un terroriste connu ou présumé. Il s'agit d'un nom répandu. Dès lors, plusieurs personnes peuvent être confrontées à une telle situation pendant qu'elles tentent d'obtenir leur carte d'embarquement", a déclaré une porte-parole du bureau américain du transport, Jennifer Peppin.