Le partenariat entre l'ENIT et la compagnie Alitalia prend un nouveau souffle et ce workshop, premier du genre organisé dans le magnifique salon Opéra de l'Intercontinental de Pars l'a bien démontré.
La France représente, avec quelque 3,2 millions d'arrivées, le deuxième marché émetteur européen pour l'Italie après l'Allemagne qui atteint le chiffre de 8 675 000 arrivées (45 400 000 nuitées).
Au plan mondial, elle prend la troisième place, après les Etats-Unis (4 230 000 arrivées - 10 160 000 nuitées).
Le charme de Venise opère sans frontière et arrive en tête des demandes, tous marchés confondus. Les dernières statistiques donnent le chiffre de près de 600 000 Français qui visitent (ou retrouvent) pour une durée moyenne de trois nuits la Cité des Doges. La Toscane, Rome, la Lombardie puis la Sicile suivent par ordre décroissant.
La France représente, avec quelque 3,2 millions d'arrivées, le deuxième marché émetteur européen pour l'Italie après l'Allemagne qui atteint le chiffre de 8 675 000 arrivées (45 400 000 nuitées).
Au plan mondial, elle prend la troisième place, après les Etats-Unis (4 230 000 arrivées - 10 160 000 nuitées).
Le charme de Venise opère sans frontière et arrive en tête des demandes, tous marchés confondus. Les dernières statistiques donnent le chiffre de près de 600 000 Français qui visitent (ou retrouvent) pour une durée moyenne de trois nuits la Cité des Doges. La Toscane, Rome, la Lombardie puis la Sicile suivent par ordre décroissant.
Quid de la Sardaigne et de la Sicile ? La Sardaigne a notamment été boostée par la programmation de Marmara.
Avec l'arrivée des low cost et le développement des autotours, la Sicile progresse aussi de façon significative. Les petites villes d'art italiennes sont aussi de plus en plus sollicitées.
Avec l'arrivée des low cost et le développement des autotours, la Sicile progresse aussi de façon significative. Les petites villes d'art italiennes sont aussi de plus en plus sollicitées.
Rencontre avec Lorenzo Donato, directeur Alitalia pour la France et la Suisse.
TourMaG.com. Vous avez été nommé voici peu de temps à Paris. Comment le marché français réagit -il à la « nouvelle » Alitalia ?
Lorenzo Donato . J'ai pris mes fonctions en juin 2009 après avoir été en poste en Algérie pour les marchés algérien et marocain. La nouvelle Alitalia avait été lancée six mois avant mon arrivée à Paris.
Tout avait été mis en place pour retrouver la confiance du marché. Cette confiance fut rétablie dès la fin 2009. Elle est aujourd'hui confortée il suffit de voir les résultats positifs du 3e trimestre 2010. (cf TourMaG.com du 2 novembre 2010).
T.M.c. Quels sont les objectifs à court terme de la compagnie ?
L.D. - Le fait d'être entré voici quelques mois dans la joint venture transatlantique Air France- Klm – Delta Airlines représente de nouvelles et importants opportunités en matière synergie.
Cela donne la possibilité aux passagers de combiner tous les tarifs et d'avoir le grand choix en matière d'horaires et de correspondances.
Nous poursuivons l'augmentation de nos fréquences sur l'Asie, l'Amérique du Sud et le Moyen-Orient. La desserte de Pékin est en phase d'étude. En code share avec Jet Airways, Alitalia relie Milan à New Delhi. Nous ajoutons une fréquence sur Tokyo.
Nous renforçons nos liaisons sur l'Amérique du Sud en ouvrant Rio de Janeiro qui s'ajoute à Sao Paulo, Caracas et Buenos Aires. Nous sommes très présents sur le Bassin Méditerranéen et sur le Moyen Orient. Nous ajontons une fréquence sur Téhéran…
T.M.c. Combien d'appareils à ce jour dans la flotte de la compagnie ?
L.D. La flotte Alitalia est composée de 159 avions. Les longs-courriers sont assurés avec 10 Boeing 777, 4 Airbus A330 (dont 2 nouveaux appareils avec la nouvelle configuration tri-classes : Magnifica - Classica Plus - Classica), 6 Boeing 767.
Pour les moyens-courriers la compagnie dispose de 23 Airbus A321, 55 Airbus A320 (dont 11 nouveaux appareils), 12 Airbus A319, 19 Mc Donnel Douglas MD80/MD82, 13 Boeing 737. A cela s'ajoutent 17 appareils dédiées aux liaisons régionales.
Lorenzo Donato . J'ai pris mes fonctions en juin 2009 après avoir été en poste en Algérie pour les marchés algérien et marocain. La nouvelle Alitalia avait été lancée six mois avant mon arrivée à Paris.
Tout avait été mis en place pour retrouver la confiance du marché. Cette confiance fut rétablie dès la fin 2009. Elle est aujourd'hui confortée il suffit de voir les résultats positifs du 3e trimestre 2010. (cf TourMaG.com du 2 novembre 2010).
T.M.c. Quels sont les objectifs à court terme de la compagnie ?
L.D. - Le fait d'être entré voici quelques mois dans la joint venture transatlantique Air France- Klm – Delta Airlines représente de nouvelles et importants opportunités en matière synergie.
Cela donne la possibilité aux passagers de combiner tous les tarifs et d'avoir le grand choix en matière d'horaires et de correspondances.
Nous poursuivons l'augmentation de nos fréquences sur l'Asie, l'Amérique du Sud et le Moyen-Orient. La desserte de Pékin est en phase d'étude. En code share avec Jet Airways, Alitalia relie Milan à New Delhi. Nous ajoutons une fréquence sur Tokyo.
Nous renforçons nos liaisons sur l'Amérique du Sud en ouvrant Rio de Janeiro qui s'ajoute à Sao Paulo, Caracas et Buenos Aires. Nous sommes très présents sur le Bassin Méditerranéen et sur le Moyen Orient. Nous ajontons une fréquence sur Téhéran…
T.M.c. Combien d'appareils à ce jour dans la flotte de la compagnie ?
L.D. La flotte Alitalia est composée de 159 avions. Les longs-courriers sont assurés avec 10 Boeing 777, 4 Airbus A330 (dont 2 nouveaux appareils avec la nouvelle configuration tri-classes : Magnifica - Classica Plus - Classica), 6 Boeing 767.
Pour les moyens-courriers la compagnie dispose de 23 Airbus A321, 55 Airbus A320 (dont 11 nouveaux appareils), 12 Airbus A319, 19 Mc Donnel Douglas MD80/MD82, 13 Boeing 737. A cela s'ajoutent 17 appareils dédiées aux liaisons régionales.
![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
