Le dépôt de bilan du groupiste Vision du Globe vendredi dernier, confirme un état des lieux catastrophique.
L’APST qui prend désormais en charge les départs confirme que la facture pour l’association devrait atteindre le million d’euros, compte tenu de la dizaine de groupes à gérer d’ici à la fin du mois d’avril, comme vous le révélait vendredi votre portail préféré.
Mais ce n’est qu‘une partie de la catastrophe. De source très bien Informée, le BSP va prendre aussi sa plus grosse ardoise depuis 2008. Bien plus importante que celle de Marsans !
L’impayé de l’échéance du 15 mars et les émissions suivantes jusqu’à ce que les compagnies stoppent les autorisations, s’élève à un peu moins de 1,2 million d’euros dont environ 500 000 euros pour le seul groupe Air France.
Autant dire que la compagnie aérienne devrait tout faire pour récupérer cette somme… jusqu’à traîner les dirigeants de l’entreprise devant les tribunaux, au pénal s’il le faut, comme le prévoient les statuts de l‘IATA.
L’APST qui prend désormais en charge les départs confirme que la facture pour l’association devrait atteindre le million d’euros, compte tenu de la dizaine de groupes à gérer d’ici à la fin du mois d’avril, comme vous le révélait vendredi votre portail préféré.
Mais ce n’est qu‘une partie de la catastrophe. De source très bien Informée, le BSP va prendre aussi sa plus grosse ardoise depuis 2008. Bien plus importante que celle de Marsans !
L’impayé de l’échéance du 15 mars et les émissions suivantes jusqu’à ce que les compagnies stoppent les autorisations, s’élève à un peu moins de 1,2 million d’euros dont environ 500 000 euros pour le seul groupe Air France.
Autant dire que la compagnie aérienne devrait tout faire pour récupérer cette somme… jusqu’à traîner les dirigeants de l’entreprise devant les tribunaux, au pénal s’il le faut, comme le prévoient les statuts de l‘IATA.
Quid des avances clients du Groupiste ?
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Car la défaillance de Vision du Globe comporte des zones d’ombre que personne, dans l’entreprise, ne semble vouloir éclaircir en dépit de nos sollicitations.
Comment un groupiste qui fait payer ses clients d’avance peut-il se retrouver ainsi à court de trésorerie ?
Difficle de ne pas faire un raccourci et se souvenir que Irvin Rosental avait déjà connu une faillite fracassante par le passé avec son groupe Mediacom.
Au vu du dossier et bien qu'étant une entité juridique séparée (domiciliée à la même adresse que le Groupe), la marque Longs Courriers devrait également déposer le bilan incessamment sous peu.
Dans le cas contraire elle devrait, selon des sources proches du dossier, faire l'objet d'une extension de passif par le Tribunal de commerce, compte tenu de son bilan négatif de 300 000 euros en 2010.
Comment un groupiste qui fait payer ses clients d’avance peut-il se retrouver ainsi à court de trésorerie ?
Difficle de ne pas faire un raccourci et se souvenir que Irvin Rosental avait déjà connu une faillite fracassante par le passé avec son groupe Mediacom.
Au vu du dossier et bien qu'étant une entité juridique séparée (domiciliée à la même adresse que le Groupe), la marque Longs Courriers devrait également déposer le bilan incessamment sous peu.
Dans le cas contraire elle devrait, selon des sources proches du dossier, faire l'objet d'une extension de passif par le Tribunal de commerce, compte tenu de son bilan négatif de 300 000 euros en 2010.