Voyageurs du Monde est une entreprise qui fait souvent rêver les jeunes étudiants en tourisme.
Sa philosophie du voyage, son engagement dans le tourisme durable et ses produits sur-mesure séduisent également les clients, chaque année de plus en plus nombreux à se presser dans ses boutiques.
Avec un chiffre d'affaires en constante croissance, l'entreprise doit donc embaucher pour faire face à ses besoins.
Après avoir engagé 30 personnes l'an passé (20 remplacements et 10 créations de postes), elle prépare actuellement sa prochaine session de recrutement.
Myriam Lallemand, la DRH doit trouver d'ici septembre prochain une dizaine de conseillers voyages.
Le TO n'étant pas opposé au télétravail, il donne la possibilité à ses futurs salariés d'intégrer au choix l'un de ses points de ventes dans 15 villes différentes.
Sa philosophie du voyage, son engagement dans le tourisme durable et ses produits sur-mesure séduisent également les clients, chaque année de plus en plus nombreux à se presser dans ses boutiques.
Avec un chiffre d'affaires en constante croissance, l'entreprise doit donc embaucher pour faire face à ses besoins.
Après avoir engagé 30 personnes l'an passé (20 remplacements et 10 créations de postes), elle prépare actuellement sa prochaine session de recrutement.
Myriam Lallemand, la DRH doit trouver d'ici septembre prochain une dizaine de conseillers voyages.
Le TO n'étant pas opposé au télétravail, il donne la possibilité à ses futurs salariés d'intégrer au choix l'un de ses points de ventes dans 15 villes différentes.
Un fort vivier de candidatures spontanées
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Pour recruter, Myriam Lallemand, la DRH de Voyageurs du Monde se base sur un important vivier de candidatures spontanées. DR
Pour postuler, le candidat doit faire preuve d'une parfaite maîtrise d'un pays ou d'une région du monde, soit parce qu'il y a vécu, soit parce qu'il en est originaire. Les zones les plus recherchées actuellement concernent la Turquie, le Japon, ou Cuba.
Un socle de connaissances précises auquel devra s'ajouter une solide culture générale et un excellent sens de la relation client.
"Nos conseillers doivent faire preuve d'une grande qualité d'écoute et d'une forte empathie envers nos voyageurs," explique Myriam Lallemand.
Nul besoin en revanche d'être un expert des GDS ou dans la manipulation des services de IATA.
Car à son arrivée, chaque nouveau salarié est formé pendant un mois au maniement de Galiléo, aux procédures de réservations ainsi qu'aux produits du TO.
"Les gens que nous recrutons ont déjà un niveau Bac +3 ou +4, ils ont savent s'adapter rapidement à un nouvel environnement ainsi qu'à la manipulation d'outils techniques" assure la DRH.
Par conséquent, les équipes de Voyageurs du Monde réunissent des employés au parcours très éclectique. Certains viennent de sciences humaines, d'autres d'études d'histoire ou de géographie et bien rarement du tourisme.
Leur point commun : l'expérience du voyage.
"Il est très important de mettre en avant sa passion du voyage dans le CV. Celle-ci est souvent reléguée en bas de page en une simple phrase dans la rubrique centres d'intérêts. Elle devrait au contraire être à la base d'une candidature" regrette Myriam Lallemand.
Pour recruter, Voyageurs du Monde n'a pas à chercher bien loin.
Sa renommée est telle que les dizaines de candidatures spontanées envoyées sur son site internet suffisent à ses besoins.
La DRH trie environ une quarantaine de CV par semaine, puis en conserve 70% dans sa base de données. "Lorsque le candidat nous plait, nous le rappelons dès qu'un poste se libère, parfois six à huit mois plus tard".
Un socle de connaissances précises auquel devra s'ajouter une solide culture générale et un excellent sens de la relation client.
"Nos conseillers doivent faire preuve d'une grande qualité d'écoute et d'une forte empathie envers nos voyageurs," explique Myriam Lallemand.
Nul besoin en revanche d'être un expert des GDS ou dans la manipulation des services de IATA.
Car à son arrivée, chaque nouveau salarié est formé pendant un mois au maniement de Galiléo, aux procédures de réservations ainsi qu'aux produits du TO.
"Les gens que nous recrutons ont déjà un niveau Bac +3 ou +4, ils ont savent s'adapter rapidement à un nouvel environnement ainsi qu'à la manipulation d'outils techniques" assure la DRH.
Par conséquent, les équipes de Voyageurs du Monde réunissent des employés au parcours très éclectique. Certains viennent de sciences humaines, d'autres d'études d'histoire ou de géographie et bien rarement du tourisme.
Leur point commun : l'expérience du voyage.
"Il est très important de mettre en avant sa passion du voyage dans le CV. Celle-ci est souvent reléguée en bas de page en une simple phrase dans la rubrique centres d'intérêts. Elle devrait au contraire être à la base d'une candidature" regrette Myriam Lallemand.
Pour recruter, Voyageurs du Monde n'a pas à chercher bien loin.
Sa renommée est telle que les dizaines de candidatures spontanées envoyées sur son site internet suffisent à ses besoins.
La DRH trie environ une quarantaine de CV par semaine, puis en conserve 70% dans sa base de données. "Lorsque le candidat nous plait, nous le rappelons dès qu'un poste se libère, parfois six à huit mois plus tard".
Devenir chef de produits après 5 ans
La patience est donc une qualité essentielle si l'on veut espérer décrocher un entretien.
Mais Myriam Lallemand insiste : "il ne faut pas hésiter à postuler car le recrutement se fait sur une rencontre, une envie commune de travailler ensemble. Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux talents".
Une fois intégré à l'équipe, le nouveau conseiller voyages peut rapidement évoluer et être nommé après 4 ou 5 ans d'expérience au poste tant convoité de chef de produits, appelé ici conseiller référent.
Ils sont aujourd'hui 80, chacun expert sur sa zone géographique, pour concevoir les futurs séjours du TO.
Mais ces derniers ne restent jamais isolés dans leur bureau ou en voyage à l'autre bout de la planète.
Ils continuent à rester vendeur car "pour être un bon producteur, il faut savoir à qui s'adresse le produit et garder le contact avec le client".
Mais Myriam Lallemand insiste : "il ne faut pas hésiter à postuler car le recrutement se fait sur une rencontre, une envie commune de travailler ensemble. Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux talents".
Une fois intégré à l'équipe, le nouveau conseiller voyages peut rapidement évoluer et être nommé après 4 ou 5 ans d'expérience au poste tant convoité de chef de produits, appelé ici conseiller référent.
Ils sont aujourd'hui 80, chacun expert sur sa zone géographique, pour concevoir les futurs séjours du TO.
Mais ces derniers ne restent jamais isolés dans leur bureau ou en voyage à l'autre bout de la planète.
Ils continuent à rester vendeur car "pour être un bon producteur, il faut savoir à qui s'adresse le produit et garder le contact avec le client".