Aux cotés d’Air France, Air Canada, Air Transat et Corsair, Zoom Airlines tire son épingle du jeu sur l’axe France-Canada. Fondée en mai 2002 par les frères Boyle, cette jeune compagnie régulière canadienne se félicite aujourd’hui des résultats de son escale française.
Sa liaison Paris-Montréal-Toronto inaugurée en mai 2005 – deux vols par semaine cet hiver - a affiché un taux de remplissage de 93% en septembre et de 88% en octobre.
Résultat : le transporteur basé à Ottawa a décidé non seulement d’opérer l’été prochain, comme la saison dernière, 4 vols par semaine sur cette ligne Paris-Montréal-Toronto, et également de redémarrer sa liaison saisonnière Paris-Calgary-Vancouver - lancée en juin dernier et qui a affiché 95% de taux de remplissage – avec le passage d’une à deux fréquences hebdomadaires l’été prochain.
« Cet été Zoom a transporté un total de 25.000 passagers en aller-retour entre Paris et le Canada dont 20% de français. Sur ce même axe la compagnie table sur 16 000 passagers cet hiver et sur 30 000 l’été prochain » précise Angela Grinblat, chef de produit France de Zoom chez APG, son représentant en France.
Sa liaison Paris-Montréal-Toronto inaugurée en mai 2005 – deux vols par semaine cet hiver - a affiché un taux de remplissage de 93% en septembre et de 88% en octobre.
Résultat : le transporteur basé à Ottawa a décidé non seulement d’opérer l’été prochain, comme la saison dernière, 4 vols par semaine sur cette ligne Paris-Montréal-Toronto, et également de redémarrer sa liaison saisonnière Paris-Calgary-Vancouver - lancée en juin dernier et qui a affiché 95% de taux de remplissage – avec le passage d’une à deux fréquences hebdomadaires l’été prochain.
« Cet été Zoom a transporté un total de 25.000 passagers en aller-retour entre Paris et le Canada dont 20% de français. Sur ce même axe la compagnie table sur 16 000 passagers cet hiver et sur 30 000 l’été prochain » précise Angela Grinblat, chef de produit France de Zoom chez APG, son représentant en France.
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Un cinquième B767 en juin 2007
Zoom, surtout présente sur l’axe Canada-Grande Bretagne, est en bonne santé et va recevoir son cinquième B 767 en juin prochain, confie Daniel Laik, son directeur du développement des affaires, basé à Montréal. Signe d’un environnement favorable, la compagnie emmène prochainement ses 270 salariés en voyage de découverte (et de récompense) en République dominicaine, l’une de ses destinations des Caraïbes (sur lesquelles elle vole en hiver surtout).
Question : quelle est la recette de Zoom ? Probablement son savant dosage permettant de coller au plus près à la demande des consommateurs. Coté low-cost, on retiendra par exemple le choix du Terminal 3 de Roissy, les écouteurs et les boissons alcoolisées payantes à bord, la commercialisation exclusive par internet (seule exception à la vente via son site flyzoom.com, son accord avec Go Voyages lui permettant d’être aussi – un peu - revendu par les agences).
On trouve ainsi – prime à la réservation précoce – des prix à partir de 199 euros HT le tronçon.
Pas de concessions sur le service
Zoom tient compte aussi des spécificités d’un vol long-courrier. La configuration 2-3-2 de ses appareils, soit 268 sièges (dont 66 pour son «éco améliorée» très accessible en termes de prix) alors que des B767 d’autres compagnies transportent jusqu'à 350 passagers, s’ajoutent à un service de repas complet gratuit. « Sur du long-courrier, même s’il s’agit d’une offre low-cost, nous sommes obligé de proposer une prestation de bonne qualité » soutient Daniel Laik.
Zoom Airlines étant la compagnie sœur du spécialiste de la vente directe Go Travel Direct présent au Canada et outre-manche, ce voyagiste s’implantera-t-il en France ? Pour Daniel Laik, « ce n’est pas à l’ordre du jour ».
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