Après Bordeaux en 2018, Nantes en 2019 ?
Ces dernières semaines, les rumeurs se font insistantes : easyJet s’apprêterait à ouvrir une nouvelle base en France et s’intéresserait de près à l’aéroport de Nantes Atlantique.
Une annonce, discrètement mise en ligne sur le site easyJet Careers, semble le confirmer et recherche le nouveau chef de base PNC à Nantes.
Une information que les bureaux français de la compagnie low cost britannique, et son directeur général François Bacchetta, ne nous démentent pas.
Mais la direction française reste prudente et nous a sobrement indiqué revoir régulièrement son réseau de destinations et être toujours ouverte à explorer de nouvelles opportunités « pour s’assurer de coïncider avec l’évolution de la demande de nos clients ».
D’après Ouest France, qui cite une « source interne bien informée », easyJet pourrait, dès l’été 2019, placer trois avions et une centaine de salariés à Nantes, comme elle l’a déjà fait à Bordeaux cette année. « Ce n’est plus un secret en interne, puisque les demandes d’affectations ont déjà circulé », relate aussi le quotidien.
Des informations que l’aéroport de Nantes, que nous avons contacté, se refuse de commenter pour le moment.
Ces dernières semaines, les rumeurs se font insistantes : easyJet s’apprêterait à ouvrir une nouvelle base en France et s’intéresserait de près à l’aéroport de Nantes Atlantique.
Une annonce, discrètement mise en ligne sur le site easyJet Careers, semble le confirmer et recherche le nouveau chef de base PNC à Nantes.
Une information que les bureaux français de la compagnie low cost britannique, et son directeur général François Bacchetta, ne nous démentent pas.
Mais la direction française reste prudente et nous a sobrement indiqué revoir régulièrement son réseau de destinations et être toujours ouverte à explorer de nouvelles opportunités « pour s’assurer de coïncider avec l’évolution de la demande de nos clients ».
D’après Ouest France, qui cite une « source interne bien informée », easyJet pourrait, dès l’été 2019, placer trois avions et une centaine de salariés à Nantes, comme elle l’a déjà fait à Bordeaux cette année. « Ce n’est plus un secret en interne, puisque les demandes d’affectations ont déjà circulé », relate aussi le quotidien.
Des informations que l’aéroport de Nantes, que nous avons contacté, se refuse de commenter pour le moment.
(Encore) de nouvelles embauches
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« Alors que nous ne sommes pas en position de donner plus de détails pour de futures bases, nous souhaitons rappeler qu’il n’est pas inédit pour une compagnie aérienne de recruter ponctuellement en dehors de ses bases afin de couvrir des besoins spécifiques de son planning de vols », ajoute le statement officiel que nous a envoyé la compagnie.
Car easyJet, après avoir largement recruté sur le marché français en 2018, s’apprête à continuer en 2019, un nouveau plan d’embauches étant en préparation.
« Nous avons récemment lancé une grande vague de recrutement à l’échelle européenne afin d’embaucher 1 200 personnels de cabine pour soutenir notre croissance, notamment en France avec plus de 100 offres d’emploi sur tout notre réseau », explique la compagnie, qui précise que l'aéroport Nantes, où easyJet propose déjà treize routes, est bien concerné.
Nantes deviendrait ainsi la septième base française de la compagnie low cost, après Orly, Roissy, Toulouse, Nice, Lyon et Bordeaux. easyJet viendrait y rejoindre deux de ses principaux concurrents : Volotea et Transavia, qui y basent déjà des avions.
Car easyJet, après avoir largement recruté sur le marché français en 2018, s’apprête à continuer en 2019, un nouveau plan d’embauches étant en préparation.
« Nous avons récemment lancé une grande vague de recrutement à l’échelle européenne afin d’embaucher 1 200 personnels de cabine pour soutenir notre croissance, notamment en France avec plus de 100 offres d’emploi sur tout notre réseau », explique la compagnie, qui précise que l'aéroport Nantes, où easyJet propose déjà treize routes, est bien concerné.
Nantes deviendrait ainsi la septième base française de la compagnie low cost, après Orly, Roissy, Toulouse, Nice, Lyon et Bordeaux. easyJet viendrait y rejoindre deux de ses principaux concurrents : Volotea et Transavia, qui y basent déjà des avions.