Bien que suivi en permanence par les bâtiments de la Marine française, le Ponant arraisonné par des pirates qui ont pris en otage vendredi dans le Golde d'Aden les 32 membres d'équipage, dont 20 marins français, poursuit sa route en longeant les côtes somaliennes. Le gouvernement français qui a déclenché le Plan pirate, a choisi de ne pas intervenir face à une dizaine d'hommes déterminés, afin de ne pas mettre en danger la vie des otages. Selon des spécialistes, il sera très difficile de délivrer l'équipage par une action armée. La négociation et donc le paiement d'une rançon, semblent être les voies privilégiées (LIRE). Voilà une "publicité" dont l'industrie de la croisière se serait bien passée...