Summer School AsTRES : Du 25 juin au 23 juillet prochains, les 15 candidats élus découvriront quatre régions françaises, à savoir Nice et la Riviera, Toulouse et Midi-Pyrénées, Angers et le Val de Loire, Paris et l'Île-de-France - DR AsTRES
Les places seront chères : seuls 15 candidats seront admis pour la première édition d'un programme de formation réunissant les départements du tourisme de prestigieux instituts et universités françaises.
Créée en 2010 par plusieurs universités et écoles dans la formation et dans la recherche sur le tourisme, l'association Astres est devenue depuis la « French Tourism University - Astres ». En plus d'un colloque annuel et de journées professionnelles, elle lance donc sa « Summer School » pour fédérer les énergies et les initiatives autour d'un projet pédagogique collectif.
« Le projet démarrant, nous devons limiter le nombre d'étudiants pour garantir son succès », explique Maria Gravari-Barbas, chargée de la coordination AsTRES et professeur à l'université Paris-I-Panthéon-Sorbonne.
Davantage d'étudiants devraient être admis à l'avenir.
Créée en 2010 par plusieurs universités et écoles dans la formation et dans la recherche sur le tourisme, l'association Astres est devenue depuis la « French Tourism University - Astres ». En plus d'un colloque annuel et de journées professionnelles, elle lance donc sa « Summer School » pour fédérer les énergies et les initiatives autour d'un projet pédagogique collectif.
« Le projet démarrant, nous devons limiter le nombre d'étudiants pour garantir son succès », explique Maria Gravari-Barbas, chargée de la coordination AsTRES et professeur à l'université Paris-I-Panthéon-Sorbonne.
Davantage d'étudiants devraient être admis à l'avenir.
À la découverte de sites prestigieux et alternatifs
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Pour l'heure, du 25 juin au 23 juillet prochains, les heureux élus découvriront quatre régions françaises, à savoir Nice et la Riviera, Toulouse et Midi-Pyrénées, Angers et le Val de Loire, Paris et l'Île-de-France.
Dans chaque site, des spécificités touristiques seront étudiées, comme l'art culinaire toulousain, le patrimoine bâti dans la Loire, etc. À Paris, les étudiants visiteront les « lieux vitrine » mais également le « Paris alternatif et périphérique », indique Maria Gravari-Barbas.
Aux côtés des visites de terrain se tiendront des cours sur les thèmes suivants : e-tourisme, tourisme gastronomique et alimentaire, tourisme et environnement, tourisme côtier, montagnard et rural, tourisme patrimonial, tourisme urbain et métropolitain.
Les samedis seront dédiés aux transferts régionaux et les dimanches seront libres.
Dans chaque site, des spécificités touristiques seront étudiées, comme l'art culinaire toulousain, le patrimoine bâti dans la Loire, etc. À Paris, les étudiants visiteront les « lieux vitrine » mais également le « Paris alternatif et périphérique », indique Maria Gravari-Barbas.
Aux côtés des visites de terrain se tiendront des cours sur les thèmes suivants : e-tourisme, tourisme gastronomique et alimentaire, tourisme et environnement, tourisme côtier, montagnard et rural, tourisme patrimonial, tourisme urbain et métropolitain.
Les samedis seront dédiés aux transferts régionaux et les dimanches seront libres.
Apprendre et expérimenter tout en voyageant
Organisée avec des partenaires académiques et privés, la formation est également l'opportunité de développer son réseau professionnel ainsi qu'avec les étudiants d'horizons très divers.
En effet, les premiers dossiers de candidature reçus présentent un bagage universitaire (licence ou bachelor, a minima) en tourisme, mais également en communication ou en sciences humaines et sociales.
En provenance de Chine, d'Australie ou encore d'Italie, beaucoup de candidats possèdent une certaine expérience professionnelle et ont le désir de venir « se spécialiser en tourisme ''à la française'' », se réjouit Maria Gravari-Barbas.
Les frais s'élèvent à 5000 euros par étudiant et les organisateurs réfléchissent à un système de bourses peut-être opérationnel dès l'année prochaine.
À l'issue de la formation, les étudiants recevront un diplôme inter-universitaire intitulé « Tourism Destination Management Learning from France » et cosigné pas les treize organismes partenaires.
En effet, les premiers dossiers de candidature reçus présentent un bagage universitaire (licence ou bachelor, a minima) en tourisme, mais également en communication ou en sciences humaines et sociales.
En provenance de Chine, d'Australie ou encore d'Italie, beaucoup de candidats possèdent une certaine expérience professionnelle et ont le désir de venir « se spécialiser en tourisme ''à la française'' », se réjouit Maria Gravari-Barbas.
Les frais s'élèvent à 5000 euros par étudiant et les organisateurs réfléchissent à un système de bourses peut-être opérationnel dès l'année prochaine.
À l'issue de la formation, les étudiants recevront un diplôme inter-universitaire intitulé « Tourism Destination Management Learning from France » et cosigné pas les treize organismes partenaires.