Culturespaces a changé d’actionnaires à la suite du recentrage de son ancien actionnaire, Engie, sur son « core business » énergétique.
En l’espace de 30 ans, Culturespaces fondé et toujours présidé par Bruno Monnier, a acquis une expertise et une réputation mondiale dans la gestion privée d’institutions culturelles comme le musée Jacquemart André, la Villa Ephrussi de Rothschild à Saint-Jean-Cap-Ferrat, l’Hôtel de Caumont, etc.
Plus récemment, il s’est ouvert à la création de centres d’art numérique et d’expositions immersives en reprenant les Carrières des Lumières des Baux de Provence, puis en créant l’Atelier des Lumières à Paris et les Bassins des Lumières dans l’ancienne base sous-marine de Bordeaux.
En l’espace de 30 ans, Culturespaces fondé et toujours présidé par Bruno Monnier, a acquis une expertise et une réputation mondiale dans la gestion privée d’institutions culturelles comme le musée Jacquemart André, la Villa Ephrussi de Rothschild à Saint-Jean-Cap-Ferrat, l’Hôtel de Caumont, etc.
Plus récemment, il s’est ouvert à la création de centres d’art numérique et d’expositions immersives en reprenant les Carrières des Lumières des Baux de Provence, puis en créant l’Atelier des Lumières à Paris et les Bassins des Lumières dans l’ancienne base sous-marine de Bordeaux.
Culturespaces a perdu la gestion du Théâtre antique d'Orange ainsi que des arènes de Nîmes (© ville d'Orange)
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Il connaît parfois quelques déconvenues comme à Orange où il a perdu au profit du concurrent Edeis la gestion animée du Théâtre antique.
Ce même concurrent qui lui a déjà pris la gestion des arènes de Nîmes, il y a quelques mois.
Une des raisons depuis trois ans, pour laquelle Culturespaces vise l’international avec deux premières ouvertures de centres d’art numérique : Jeju en Corée du Sud et Dubaï en 2021.
En année pleine, pré Covid, le groupe accueille plus de 4,5 millions de visiteurs sur ces 14 différents sites. Il est devenu une référence mondiale dans la transformation de lieux en friche en attraction numérique immersive mais il a besoin d’être soutenu financièrement pour accélérer son développement international.
Ce même concurrent qui lui a déjà pris la gestion des arènes de Nîmes, il y a quelques mois.
Une des raisons depuis trois ans, pour laquelle Culturespaces vise l’international avec deux premières ouvertures de centres d’art numérique : Jeju en Corée du Sud et Dubaï en 2021.
En année pleine, pré Covid, le groupe accueille plus de 4,5 millions de visiteurs sur ces 14 différents sites. Il est devenu une référence mondiale dans la transformation de lieux en friche en attraction numérique immersive mais il a besoin d’être soutenu financièrement pour accélérer son développement international.
Une stratégie davantage tournée vers l'international
C’est le sens de l’arrivée des deux nouveaux actionnaires qui parient sur la mise en lumière et en spectacle de la Culture. D’ores et déjà, trois projets doivent voir le jour cette année à :
• New-York : Hall des Lumières en association avec IMG en plein cœur de Manhattan ;
• Amsterdam : Fabrique des Lumières dans l'ancienne usine à gaz de Westergasfabriek (Ouverture le 22 avril).
• et Séoul : Théâtre des Lumières dans le majestueux Walkerhill Hotel, sur les pentes de la montagne Acha, un ancien cabaret aux dimensions monumentales (Ouverture le 22 mai).
• New-York : Hall des Lumières en association avec IMG en plein cœur de Manhattan ;
• Amsterdam : Fabrique des Lumières dans l'ancienne usine à gaz de Westergasfabriek (Ouverture le 22 avril).
• et Séoul : Théâtre des Lumières dans le majestueux Walkerhill Hotel, sur les pentes de la montagne Acha, un ancien cabaret aux dimensions monumentales (Ouverture le 22 mai).
L’exploitation de la culture via des technologies nouvelles, outre la gestion plus traditionnelle de sites muséaux, avait permis de dégager un bénéfice net de 4 M€ en 2019.
La crise sanitaire a marqué un coup d’arrêt et généré un lourd manque à gagner de 14 M€, mais la situation de 2021 est déjà plus saine, avec 41 M€ de chiffre d’affaires et un retour à l’équilibre. Place désormais à la conquête de nouveaux sites avec des projets déjà bien avancés à Hambourg et Bruxelles.
La crise sanitaire a marqué un coup d’arrêt et généré un lourd manque à gagner de 14 M€, mais la situation de 2021 est déjà plus saine, avec 41 M€ de chiffre d’affaires et un retour à l’équilibre. Place désormais à la conquête de nouveaux sites avec des projets déjà bien avancés à Hambourg et Bruxelles.
L’IDI, pionnier du capital investissement en France, est une société d’investissement cotée spécialisée depuis 50 ans dans l’accompagnement des PME et ETI, qui gère 600 M€ d’actifs.
Le Groupe Chevrillon est une société d’investissement familiale qui investit depuis 25 ans dans des entreprises de croissance avec plus de 500 M€ de fonds propres et pas de dette.
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