Le questionnaire a été administré en ligne par le cabinet conseil interne à VVF courant mars auprès d’une population représentative de près de 4 000 répondants, dont 17 % déjà clients VVF au cours des 10 dernières années.
Il s’agit déjà de savoir si les intentions de départ sont affectées par les différentes causes négatives qui s’accumulent depuis le début de l’année ; et si ce contexte général serait finalement un coup de pouce supplémentaire pour inciter les Français à partir dans l’hexagone.
Pour 75 % des Français interrogés, la dégradation de l’environnement socio-économique, la guerre, les craintes sur le pouvoir d’achat, la hausse des carburants… les incitent à prévoir leurs prochaines vacances dans l’Hexagone plutôt qu’à l’étranger.
Et de plus, 48 % des Français ayant prévu de partir à l’étranger sont indécis sur la réalisation du projet.
Il s’agit déjà de savoir si les intentions de départ sont affectées par les différentes causes négatives qui s’accumulent depuis le début de l’année ; et si ce contexte général serait finalement un coup de pouce supplémentaire pour inciter les Français à partir dans l’hexagone.
Pour 75 % des Français interrogés, la dégradation de l’environnement socio-économique, la guerre, les craintes sur le pouvoir d’achat, la hausse des carburants… les incitent à prévoir leurs prochaines vacances dans l’Hexagone plutôt qu’à l’étranger.
Et de plus, 48 % des Français ayant prévu de partir à l’étranger sont indécis sur la réalisation du projet.
En attente de voir comment la situation va évoluer
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Près de la moitié des répondants prêts à partir à l’étranger préfèrent attendre de voir comment le conflit évolue avant de faire évoluer leur projet.
40 % affirment qu’ils ne les modifieront pas. Seulement 12 % ont pris la décision de les changer.
40 % affirment qu’ils ne les modifieront pas. Seulement 12 % ont pris la décision de les changer.
Le pouvoir d’achat : 1er facteur qui pourrait impacter les vacances des Français
Loin devant la Covid, la guerre ou les élections, les considérations financières sont les premières qui seraient susceptibles d’avoir un impact sur les vacances des Français.
Le pouvoir d’achat se positionne en 1er (31 %) talonné par la hausse du coût de l’essence (29 %).
La Covid n’a pas disparu des préoccupations des Français et supplante largement la guerre Russie/Ukraine (21 % vs 14 %). Les élections se classent en dernier (5 %)
Le pouvoir d’achat se positionne en 1er (31 %) talonné par la hausse du coût de l’essence (29 %).
La Covid n’a pas disparu des préoccupations des Français et supplante largement la guerre Russie/Ukraine (21 % vs 14 %). Les élections se classent en dernier (5 %)
La hausse des prix du carburant : 52 % modifient leurs projets
Pour les Français qui avaient prévu, à ce jour, de partir en vacances - 46 % pour Pâques et 74 % cet été - la hausse des carburants a de forts impacts. Elle modifie les projets de plus de la moitié d’entre eux (52 %) :
- 37 % partiront moins loin
- 7 % laisseront leur véhicule personnel au profit du train, covoiturage…
- 6 % reportent leurs vacances à une date ultérieure
- 2 % seulement les annulent
La guerre : 39 % attendent pour réserver leurs vacances
La guerre Russie/Ukraine impacte moins les intentions de vacances des Français que la hausse du carburant : 55 % maintiennent leurs projets initiaux.
Néanmoins, on note un certain attentisme pour 39 % d’entre eux qui prévoiront leurs congés en fonction de l’évolution de la situation. Seulement 6 % sont assez pessimistes pour envisager d’annuler leurs vacances.
Néanmoins, on note un certain attentisme pour 39 % d’entre eux qui prévoiront leurs congés en fonction de l’évolution de la situation. Seulement 6 % sont assez pessimistes pour envisager d’annuler leurs vacances.
Élections : 21 % des vacanciers se sont organisés pour être présents sur leur lieu de vote
Pour près d’un quart des vacanciers, les élections ne modifient pas leurs prévisions de départ : ils voteront par procuration ou s’abstiendront.
21 % sont prévoyants : ils ont organisé leurs dates de congés afin d’être présents pour mettre leur bulletin dans l’urne. On note quand même 1 % de vacanciers qui ont annulé leur départ afin de pouvoir voter.
Lire aussi :
- Nouvelle étude sur les vacances des Français, les agences à la peine
- France : VVF note le retour des voyages de groupes
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