"Qu'on le veuille ou non, ce bon Javier a été viré" - DR : © momius Fotolia.com
Je ne peux m'empêcher de citer, en préambule, ce tweet (que l'on peut traduire, avec beaucoup d'improbabilité en gazouillis, mais c'est un terme qui me va bien), de mon camarade JF Rial et que je vous cite ci-après:
"Comme les salariés de #Go voyages je ne regretterai pas le départ du patron d'#Odigeo aveuglé par des pseudos #synergies désastreuses". (Voir ci-dessous)
Eh bien, Monsieur Rial, cette fois, je suis entièrement d'accord avec vous…
Bien qu'il soit hélas, beaucoup trop tard pour tenter de sauver quelque chose du gâchis industriel commis par les différents dirigeants du Groupe Odigeo et le dernier en date, Javier Perez Tenessa de Block.
Dans un communiqué (en anglais, faut pas déconner), publié hier, on apprend que le Javier "quitte ses fonctions pour raisons personnelles", mais reste quand même Président d'Honneur !
Et ta sœur !
Enfin, les actionnaires, après avoir suivi les péripéties insoutenables du Président, ont enfin compris que la stratégie était non seulement stupide, mais détruisait l'ensemble de la construction.
Et, qu'on le veuille ou non, ce bon Javier a été viré… avec les honneurs, certes, parce que chez ces gens-là, monsieur, madame, on lave son linge sale en famille.
"Comme les salariés de #Go voyages je ne regretterai pas le départ du patron d'#Odigeo aveuglé par des pseudos #synergies désastreuses". (Voir ci-dessous)
Eh bien, Monsieur Rial, cette fois, je suis entièrement d'accord avec vous…
Bien qu'il soit hélas, beaucoup trop tard pour tenter de sauver quelque chose du gâchis industriel commis par les différents dirigeants du Groupe Odigeo et le dernier en date, Javier Perez Tenessa de Block.
Dans un communiqué (en anglais, faut pas déconner), publié hier, on apprend que le Javier "quitte ses fonctions pour raisons personnelles", mais reste quand même Président d'Honneur !
Et ta sœur !
Enfin, les actionnaires, après avoir suivi les péripéties insoutenables du Président, ont enfin compris que la stratégie était non seulement stupide, mais détruisait l'ensemble de la construction.
Et, qu'on le veuille ou non, ce bon Javier a été viré… avec les honneurs, certes, parce que chez ces gens-là, monsieur, madame, on lave son linge sale en famille.
En attendant, et c'est encore une fois trop tard, la maison Go Voyages n'est plus qu'un tas de cendres, fumantes, que, sous prétexte de synergies imbéciles et irréfléchies, le service au client, le cœur même de la maison construite avec patience et ténacité par Nicolas et Carlos (et vice versa), a été irrémédiablement détruit.
Avec, au départ, la bénédiction de ces mêmes actionnaires. Je ne peux d'ailleurs m'empêcher de faire un parallèle avec les actionnaires, de TUI, dans des temps déjà plus anciens, qui ont cautionné l'irresponsabilité de leur Président de l'époque, J.-M. Siano.
Coût de l'opération : un plan social de plus de 800 personnes, et pas loin d'un milliard d'euros engloutis. En cinq ans, faut le faire.
Mais, comme le dit très souvent Chien Charly, ça va ça vient, c'est comme la queue du chien.
Ou, pour faire rigolo, le même parallèle avec les actionnaires de Thomas Cook, lesquels ont cautionné avec passion (et encouragé) la politique de l'inénarrable Wathier… Jusqu'au jour où les fonds ont disparus et que, encore une fois, les salariés se sont retrouvés SDF !
Comme le dit mon camarade Rial, "tout ceci n'est qu'une vaste orgie humaine" !
Avec, au départ, la bénédiction de ces mêmes actionnaires. Je ne peux d'ailleurs m'empêcher de faire un parallèle avec les actionnaires, de TUI, dans des temps déjà plus anciens, qui ont cautionné l'irresponsabilité de leur Président de l'époque, J.-M. Siano.
Coût de l'opération : un plan social de plus de 800 personnes, et pas loin d'un milliard d'euros engloutis. En cinq ans, faut le faire.
Mais, comme le dit très souvent Chien Charly, ça va ça vient, c'est comme la queue du chien.
Ou, pour faire rigolo, le même parallèle avec les actionnaires de Thomas Cook, lesquels ont cautionné avec passion (et encouragé) la politique de l'inénarrable Wathier… Jusqu'au jour où les fonds ont disparus et que, encore une fois, les salariés se sont retrouvés SDF !
Comme le dit mon camarade Rial, "tout ceci n'est qu'une vaste orgie humaine" !
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Tiens, juste dans le cas d'Odigeo Go Voyages, souvenez-vous que le jour même de l'annonce du plan social (112 personnes quand même), la DRH du groupe envoyait une note interne à tout le personnel pour postuler à un nouvel emploi… en Espagne !
Tiens, heureusement, une bonne nouvelle, c'est que le nouveau concept auquel travaillent les fondateurs de Go Voyages, Nicolas Brumelot et Carlos da Silva est en train de prendre forme.
Et que, enfin, nous aurons à nouveau certains fondements de la profession qui vont renaitre, sous une forme surement plus contemporaine, mais avec ce qui fait aussi la force de cette profession: le goût de l'humain.
Et qu'un jour peut-être, les margoulins de tous poils seront enfin bannis de ce monde crétin.
Et aussi parce que j'en ai marre d'assister, impuissant, à toute cette gabegie.
Un jour prochain, je vous raconterai enfin, la belle histoire de cette jolie jeune fille qui, avant de choisir ses lectures, sentait les livres…
Mais, là, faudra acheter le bouquin !
Tiens, heureusement, une bonne nouvelle, c'est que le nouveau concept auquel travaillent les fondateurs de Go Voyages, Nicolas Brumelot et Carlos da Silva est en train de prendre forme.
Et que, enfin, nous aurons à nouveau certains fondements de la profession qui vont renaitre, sous une forme surement plus contemporaine, mais avec ce qui fait aussi la force de cette profession: le goût de l'humain.
Et qu'un jour peut-être, les margoulins de tous poils seront enfin bannis de ce monde crétin.
Et aussi parce que j'en ai marre d'assister, impuissant, à toute cette gabegie.
Un jour prochain, je vous raconterai enfin, la belle histoire de cette jolie jeune fille qui, avant de choisir ses lectures, sentait les livres…
Mais, là, faudra acheter le bouquin !
Comme les salariés de #Go voyages je ne regretterai pas le départ du patron d'#Odigeo aveuglé par des pseudos #synergies désastreuses
— Jean-François Rial (@jfrial) January 26, 2015