Carlos da Silva et Nicolas Brumelot, ce tandem infernal à qui le monde du tourisme est grand ouvert - DR
Vous l’aurez compris, il s’agit de Nicolas Brumelot et Carlos da Silva, ce tandem infernal à qui le monde du tourisme est grand ouvert.
Pour une fois que j’ai l’occasion de saluer une belle performance, il est hors de question de s’en priver.
Car le grand et le petit méritent amplement cet amical coup de chapeau que j’ai envie de leur passer aujourd’hui.
J’oserai (car j’ose tout, vous le savez bien, même si parfois ça peut être très dangereux) dire que ces deux mecs font honneur à la profession.
Sans se prendre la grosse tête, sans ostentation, sans fanfare, sans rien. Simplement en conduisant leur entreprise en toute sérénité, en respectant et les clients et les fournisseurs, en innovant constamment.
Et surtout en inculquant à leurs salariés de vraies valeurs.
Je n’en ai d’ailleurs pas rencontré un seul qui soit mécontent de travailler chez Misterfly, cette petite entreprise lancée en 2015 et qui, en à peine deux petites années d’existence, se classe déjà parmi les toutes grandes entreprises du tourisme.
Pour une fois que j’ai l’occasion de saluer une belle performance, il est hors de question de s’en priver.
Car le grand et le petit méritent amplement cet amical coup de chapeau que j’ai envie de leur passer aujourd’hui.
J’oserai (car j’ose tout, vous le savez bien, même si parfois ça peut être très dangereux) dire que ces deux mecs font honneur à la profession.
Sans se prendre la grosse tête, sans ostentation, sans fanfare, sans rien. Simplement en conduisant leur entreprise en toute sérénité, en respectant et les clients et les fournisseurs, en innovant constamment.
Et surtout en inculquant à leurs salariés de vraies valeurs.
Je n’en ai d’ailleurs pas rencontré un seul qui soit mécontent de travailler chez Misterfly, cette petite entreprise lancée en 2015 et qui, en à peine deux petites années d’existence, se classe déjà parmi les toutes grandes entreprises du tourisme.
Un succès vérifié : plus de 100 millions d'euros de volume d’affaires en un semestre, des centaines de milliers de clients, une masse salariale qui augmente sans arrêt.
D’ailleurs, Misterfly cherche encore des collaborateurs. Je sais, je vais me faire engueuler par le service des annonces de TourMaG, mais tant pis. C’est gratos !
Il fait bon y travailler (ouais, faut pas exagérer je sais, mais en même temps c’est vrai) . Parce Brumelot et da Silva ne sont pas des patrons à la grosse tête, ne se prennent pas (trop) au sérieux et manifestent toujours le lien social constructif.
Sans oublier leur engagement indéfectible envers ces enfants qui souffrent… Imagine for Margot notamment.
Quant à leur pratique en affaire, c’est simple, droit, clair !
Il y a maintenant quelques années, c’était quasi pareil chez GO Voyages. Et ce n’est pas pour rien que l’entreprise avait fait la convoitise de bon nombre d’affairistes avides.
D’ailleurs, Misterfly cherche encore des collaborateurs. Je sais, je vais me faire engueuler par le service des annonces de TourMaG, mais tant pis. C’est gratos !
Il fait bon y travailler (ouais, faut pas exagérer je sais, mais en même temps c’est vrai) . Parce Brumelot et da Silva ne sont pas des patrons à la grosse tête, ne se prennent pas (trop) au sérieux et manifestent toujours le lien social constructif.
Sans oublier leur engagement indéfectible envers ces enfants qui souffrent… Imagine for Margot notamment.
Quant à leur pratique en affaire, c’est simple, droit, clair !
Il y a maintenant quelques années, c’était quasi pareil chez GO Voyages. Et ce n’est pas pour rien que l’entreprise avait fait la convoitise de bon nombre d’affairistes avides.
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Hélas, et c’est quand même dramatique, n’est pas un bon patron qui veut.
Encore une fois, ces grands « industriels du tourisme », qui n’ont rien compris aux différents marchés qu’ils envahissent à coup de dollars, finissent par se planter lamentablement.
Quelle décadence que GO Voyages en si peu de temps.
Certes, au prétexte d’une réorganisation « destinée à mieux servir le client », le groupe Odigeo Go Voyages n’entend maintenir sa présence en France qu’avec l’appui d’une vingtaine de personnes.
Du temps de Carlos et Nicolas, l’entreprise employait 480 salariés.
Que dire de plus ?
Encore une fois, ces grands « industriels du tourisme », qui n’ont rien compris aux différents marchés qu’ils envahissent à coup de dollars, finissent par se planter lamentablement.
Quelle décadence que GO Voyages en si peu de temps.
Certes, au prétexte d’une réorganisation « destinée à mieux servir le client », le groupe Odigeo Go Voyages n’entend maintenir sa présence en France qu’avec l’appui d’une vingtaine de personnes.
Du temps de Carlos et Nicolas, l’entreprise employait 480 salariés.
Que dire de plus ?