Lancé en 2020, le concept de Parcel Tiny House est en plein développement.
Déjà implanté dans plus de 25 destinations en France, Parcel vise une centaine de Tiny House d'ici 2025
"Concept de tourisme durable au cœur des campagnes françaises, Parcel finance et installe des cabanes minimalistes et écoresponsables, les Tiny House, sur les terres d'exploitants agricoles.
Un tourisme en mode raisonné qui permet de redécouvrir le plaisir des choses simples : environnement préservé, aventures nature à partager ou encore richesse gastronomique du terroir français."
Déjà implanté dans plus de 25 destinations en France, Parcel vise une centaine de Tiny House d'ici 2025
"Concept de tourisme durable au cœur des campagnes françaises, Parcel finance et installe des cabanes minimalistes et écoresponsables, les Tiny House, sur les terres d'exploitants agricoles.
Un tourisme en mode raisonné qui permet de redécouvrir le plaisir des choses simples : environnement préservé, aventures nature à partager ou encore richesse gastronomique du terroir français."
Le rôle des agriculteurs
Pour pouvoir se développer, Parcel est à la recherche d’une centaine de partenaires agriculteurs - Parcel
Pour se développer, Parcel est à la recherche d’une centaine de partenaires agriculteurs. Les Tiny House sont installées chez eux. Ils accueillent et partagent ensuite leur quotidien avec les voyageurs.
Sur place, les différentes activités (repas fermiers, visites guidées, dégustations ou participation à la vie de la ferme) sont proposées à l'initiative des agriculteurs. Le coût de ces expériences locales vient se rajouter au prix de la nuit en Tiny House.
Ce dernier perçoit une commission pour chaque nuit passée dans la Tiny House, ce qui lui permet de bénéficier d'un revenu complémentaire à son activité agricole. En fonction de l'activité, le revenu additionnel peut s'élever entre 5 000 € et 11 000 € par an et par Tiny House installée.
Parcel recherche des agriculteurs qui, en plus de posséder un cadre naturel idéal pour abriter une Tiny House, démontrent un réel désir d'accueillir et de partager leur savoir-faire avec leurs hôtes, mettant ainsi l'échange au cœur de l’expérience. Ils doivent disposer d'un habitat réellement situé en pleine nature, sans nuisance sonore ou visuelle. Ils doivent aussi être situés à proximité d'une ville pour en faciliter l'accès.
Pour proposer sa ferme c'est ici
Sur place, les différentes activités (repas fermiers, visites guidées, dégustations ou participation à la vie de la ferme) sont proposées à l'initiative des agriculteurs. Le coût de ces expériences locales vient se rajouter au prix de la nuit en Tiny House.
Ce dernier perçoit une commission pour chaque nuit passée dans la Tiny House, ce qui lui permet de bénéficier d'un revenu complémentaire à son activité agricole. En fonction de l'activité, le revenu additionnel peut s'élever entre 5 000 € et 11 000 € par an et par Tiny House installée.
Parcel recherche des agriculteurs qui, en plus de posséder un cadre naturel idéal pour abriter une Tiny House, démontrent un réel désir d'accueillir et de partager leur savoir-faire avec leurs hôtes, mettant ainsi l'échange au cœur de l’expérience. Ils doivent disposer d'un habitat réellement situé en pleine nature, sans nuisance sonore ou visuelle. Ils doivent aussi être situés à proximité d'une ville pour en faciliter l'accès.
Pour proposer sa ferme c'est ici
Parcel : une expansion en cours
Parcel a toujours pour projet d’atteindre son expansion de 100 Tiny House pour 2025. Une expansion en dehors de l’hexagone n’est pas encore sur la table, « Ce n’est pas au programme, il y a assez de territoires en France à exploiter, mais nous ne sommes pas entièrement fermés sur le sujet. » nous dit, Géraldine Boyer, la co-fondatrice de Parcel, lors d’une interview.
Parcel n'a pas encore signé de partenariats avec des agences, des Tour-opérateurs ou des acteurs du voyage en ligne, "nous ne sommes pas fermés. Nous n’avons pas encore entamé de discussion sur ce sujet, mais c’est un univers sur lequel nous gardons un œil ouvert." précise t-elle.
Parcel n'a pas encore signé de partenariats avec des agences, des Tour-opérateurs ou des acteurs du voyage en ligne, "nous ne sommes pas fermés. Nous n’avons pas encore entamé de discussion sur ce sujet, mais c’est un univers sur lequel nous gardons un œil ouvert." précise t-elle.
Un séjour dans un Tiny House pour les fêtes
Des bons cadeaux sont vendus sur la période des fêtes de fin d'année. Cependant le pic de réservation se voit surtout en été pendant la saison estivale qui est plus soutenue. "Les Tiny House sont ouvertes toute l’année, et on a un remplissage correct avec les Parisiens qui veulent se mettre au vert ou encore les familles qui profitent des vacances scolaires pour les découvrir". Certaines familles choisissent ce mode d'hébergement comme alternative au ski.
La clientèle est davantage adepte du Last minute, préférant se fier à la météo avant de réserver. "Nous croyons tout d'abord qu'il est essentiel de promouvoir un tourisme raisonné, avec une empreinte écologique minimale.
Nous voulons aussi renouveler l'offre de tourisme rural en éveillant l'appétit et la curiosité des voyageurs par une exploration authentique du terroir, tout en respectant le développement durable des territoires et l'équité dans la rémunération des acteurs locaux. Ce qui nous anime profondément, c'est de mettre la rencontre humaine au cœur de notre projet, en créant des opportunités authentiques d'interactions et d'échanges entre les voyageurs et les agriculteurs." a expliqué Géraldine Boyer dans un communiqué.
A lire aussi : Tiny houses : pour vivre heureux, vivons petits
La clientèle est davantage adepte du Last minute, préférant se fier à la météo avant de réserver. "Nous croyons tout d'abord qu'il est essentiel de promouvoir un tourisme raisonné, avec une empreinte écologique minimale.
Nous voulons aussi renouveler l'offre de tourisme rural en éveillant l'appétit et la curiosité des voyageurs par une exploration authentique du terroir, tout en respectant le développement durable des territoires et l'équité dans la rémunération des acteurs locaux. Ce qui nous anime profondément, c'est de mettre la rencontre humaine au cœur de notre projet, en créant des opportunités authentiques d'interactions et d'échanges entre les voyageurs et les agriculteurs." a expliqué Géraldine Boyer dans un communiqué.
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